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Nourane Foster n’a pas encore démissionnée du Pcrn de Cabral Libii

diangonange

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Nourane Foster n’a pas encore démissionnée du Pcrn de Cabral Libii
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La lettre qui annonce le départ de la député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) est fausse.

Nourane Foster reste militante du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), du moins pour le moment. En effet, selon une source bien introduite, la lettre annonçant la démission de l’élue de la nation de cette formation politique de l’opposition est fausse. Chez nos confrères d’Afrik Inform, qui ont contacté le cabinet de l’honorable Nourane Foster, l’on souligne qu’elle est encore pour le moment militante du Pcrn.

L’on apprend dans la foulée, que même si, l’équipe de communication de Nourane Foster  reconnaît une « prise de distance idéologique » entre celle-ci et son parti, elle rapporte que « pour l’heure, Nourane n’a pas démissionné du Pcrn ». La semaine dernière déjà, Nourane Foster se désabonnait de la page Facebook de Cabral Libii, le président national du Pcrn.

…les réponses apportées m’amène à reconsidérer mon positionnement

Un acte qui intervenait  après l’annonce par le président du Pcrn de la reconnaissance de la victoire de Paul Biya à l’élection présidentielle.   Une attitude qui avait fait croire à certains observateurs de notre landerneau qu’elle claquera bientôt les portes du Pcrn. Aussi,  le 21 octobre 2025, son mari, Firmin Fotsing annonçait sa démission de cette formation politique.

« Je crois fermement que les engagements politiques doivent se traduire par des actions concrètes, porteuses d’espoir et de changement. Or, le décalage entre les attentes profondes de nos jeunes compatriotes et les réponses apportées m’amène à reconsidérer mon positionnement. Mon devoir de conscience me pousse à me désolidariser d’un système qui, à mon sens tarde à incarné l’alternative promise », écrivait-il.

 Nourane Foster, Nourane Foster,

 

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cap sur les élections locales

diangonange

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cap sur les élections locales
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Dans un message adressé à ses militants, le président national du FDC les invite à tourner la page de la présidentielle 2025 pour viser les élections locales de 2026.

« Ne vous trompez plus ! Si vous réussissez à obtenir la majorité des Sièges, c’est vous qui formerez le Gouvernement dans ce système semi-présidentiel qui est celui du Cameroun », prévient Denis Emilien Atangana.

« À nous les élections municipales et législatives de 2026 chers camarades et sympathisants du FDC

Maintenant que l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 est définitivement terminée avec la prestation de serment du Président de la République M.Paul Biya le jeudi 6 novembre 2025. Notre principal objectif est désormais la participation du Front des Démocrates Camerounais (FDC) aux prochaines élections municipales et Législatives de 2026 .

Je vous demande de sensibiliser et encourager les Citoyens en âge de Voter à aller s’inscrire plus massivement sur les listes électorales dès janvier 2026. Je le demande encore plus aux jeunes qui constituent une Grande Force pour notre Parti. Notre Avenir commun en dépend !
C’est dans les Communes et à l’Assemblée Nationale que se trouve une Bonne Partie de la Souveraineté Nationale et du Vrai Pouvoir du Peuple. Ne tombons plus dans le Piège de « Etoudi ou Rien » qui nous entraine dans le même Cycle de Déceptions dans lequel nos Ainés nous ont plongés d’années en années.

C’est dans les Conseils Municipaux qu’on apprend la vraie politique pour les jeunes en particulier. C’est ici qu’on expérimente la gestion du bien public et du vrai développement local. Être Conseiller Municipal et probablement Maire dans une Commune est fortement valorisant et même plus revalorisant que vous ne l’imaginer. C’est dans la Commune que se construit notre quotidien à travers la participation citoyenne à l’Action Publique Locale.

Plus loin, vous avez la place dans l’Assemblée Nationale où 180 Députés élaborent et votent les Lois qui régissent tous les domaines de la Vie Nationale, en passant par exemple par le Vote du Budget Annuel de la Nation. C’est ici que vous contrôlerez l’Action Gouvernementale et que vous pourrez la sanctionner d’une manière ou d’une autre. Ne vous trompez plus ! Si vous réussissez à obtenir la majorité des Sièges, c’est vous qui formerez le Gouvernement dans ce système semi-présidentiel qui est celui du Cameroun.

Je vous invite à rester mobilisés, à ne pas laisser cet incident isolé briser l’unité que nous avons construite au prix de tant d’efforts au sein du Front des Démocrates Camerounais (FDC) dans la perspective du Vrai Changement.

Ensemble, réparons et relevons-nous. Ensemble avançons, soyons plus forts et restons focaliser sur les défis du Futur qui sont notamment les Elections Législatives et Municipales de 2026. Travaillons pour pouvoir gagner des sièges dans les Communes et à l’Assemblée Nationale. De cette façon, nous allons participer plus directement à la prise des décisions relatives à la Gestion des Affaires Publiques de notre pays.

Veuillez recevoir, Chers Militants, Cadres et Sympathisants, tout mon respect et ma reconnaissance pour votre Attachement au Front des Démocrates Camerounais (FDC). L’Avenir vous Appartient dans ce Destin Commun ! »

Le Président National du FDC
Denis Emilien ATANGANA

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plus de 2 000 personnes interpellées et gardées à vue dans les geôles de plusieurs villes camerounaises

ange1poireau

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plus de 2 000 personnes interpellées et gardées à vue dans les geôles de plusieurs villes camerounaises
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C’est le rapport fait par Me Alain Ndam, coordonnateur du collectif de défense des régions du Centre et du Sud à l’émission Zappe presse le 2 novembre diffusée sur les antennes de la RTS (Radio Tiemeni Siantou), une radio urbaine émettant à Yaoundé, siège des institutions de la République. C’est à l’issue de l’observation des manifestations post-électorales survenues depuis le 27 octobre dernier, jour de proclamation des résultats de l’élection présidentielle du 12 octobre par le Conseil constitutionnel.

Plus d’une semaine après la proclamation des résultats de l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel, plus d’une centaine d’avocats bénévoles ont fait le bilan de la répression post-électorale depuis le déferrement, le 31 octobre, de 71 prévenus au tribunal militaire de Yaoundé devant le commissaire du gouvernement.

Intervenu le 2 novembre 2025 à l’émission de débat dominical Zappe presse sur les ondes de la RTS (Radio Tiemeni Siantou), une chaîne urbaine émettant dans la capitale politique métropolitaine et environs, Me Alain Ndam a fait le décompte des personnes interpellées et placées en garde à vue administrative dans les cellules des commissariats des différentes villes du pays et du Sed.

Selon le coordonnateur du collectif de défense citoyenne des régions du Centre et du Sud, un collectif d’avocats dénonçant les injustices subies par des individus, « plus de 2 000 personnes ont été interpellées ces derniers jours, au rang desquelles figurent 1 300 personnes placées en garde à vue administrative à Douala ; 345 à Bertoua ; 300 à Bafoussam ; 78 à Maroua et 55 à Yaoundé devant le commissaire du gouvernement ».

L’avocat au barreau du Cameroun décrit l’état exécrable dans lequel se trouvent bien de personnes interpellées. « Nous avons vu, explique A. Ndam, des personnes ayant le visage tuméfié, des blessures. Il y en a un qui nous a particulièrement touchés, qui a une fracture. Le commissaire du gouvernement et la gendarmerie se partageaient la balle entre celui qui va prendre en charge ce dernier. Pire encore, 30 % des jeunes arrêtés sont des mineurs ».

À la question de savoir quels sont les motifs retenus contre ces personnes interpellées, l’homme en robe noire répond : « insurrection, révolution et appel à la révolte en complicité ». Il s’agit là des infractions relevant de la compétence du tribunal militaire de Yaoundé. A. Ndam conteste la méthodologie ayant gouverné ces arrestations.

« Si l’État estime qu’il y a des gens qui troublent l’ordre public, utilisez les armes que le législateur vous a données, notamment le Code de procédure pénale. Si vous avez décidé de les arrêter, il faut les traiter conformément au principe du Code de procédure pénale et leur accorder la possibilité d’avoir accès à un procès équitable », indique A. Ndam.

Utilisation excessive de la force de l’État

Le coordonnateur du collectif de défense des régions du Centre et du Sud, à l’issue du rapport rendu public, constate l’utilisation abusive de la force de l’État parce qu’il ne comprend pas que, pour interpeller, par exemple, un garçon de 15 ans, l’on déploie les hommes super armés, qui font subir des formes de violences physiques aux personnes arrêtées après les avoir parquées comme du bétail.

« Cet état de choses suscite la révolte. On les (personnes arrêtées) traite comme des animaux, comme des hors-la-loi parce qu’il est bon de préciser que la manifestation n’est pas un acte illégal. Le fait de manifester pour exprimer une opinion politique n’est pas un acte illégal. S’il y a eu des casseurs parmi eux, traitez-les comme il se doit ! Il n’est pas question de déshumaniser les concernés parce qu’ayant violé la loi », conclut l’avocat. A. Ndam fait, en dernier ressort, un bilan des pertes en vies humaines.

Jusqu’ici, l’organe de défense bénévole des personnes placées en garde à vue administrative note 29 cas de morts documentés. Une esquisse de bilan de la répression post-électorale est faite alors que l’appel aux villes mortes dans les villes camerounaises, lancé par Issa Tchiroma Bakary, leader national du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), qui continue de revendiquer sa victoire à l’élection présidentielle du 12 octobre, expire ce mercredi, 5 novembre 2025.

Serge Aimé BIKOI

plus de 2 000 personnes interpellées et gardées à vue dans les geôles de plusieurs villes camerounaises
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Hydrocarbures : la SNH choisit BGFI Cameroun pour mobiliser 120 milliards de FCFA pour son projet de raffinerie de Kribi

ange1poireau

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Hydrocarbures : la SNH choisit BGFI Cameroun pour mobiliser 120 milliards de FCFA pour son projet de raffinerie de Kribi
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(Investir au Cameroun) – La filiale au Cameroun du groupe bancaire gabonais BGFI est chargée de mobiliser une enveloppe de près de 120 milliards de FCFA, en vue de la réalisation du projet de construction d’une raffinerie de pétrole d’une capacité de 30 000 barils par jour dans la zone industrialo-portuaire de Kribi, dans la région du Sud du Cameroun. Le projet est porté par la société Cstar, fruit d’un joint-venture entre la Société nationale des hydrocarbures (SNH), sa filiale Tradex – spécialisée dans la distribution des produits pétroliers et le soutage maritime – et le consortium émirati Ariana/RCG.

La convention confiant ce mandat à BGFI Cameroun a été signée le 4 novembre 2025 entre les dirigeants de la banque et de la société de projet. De bonnes sources, en plus de la mobilisation des financements, BGFI Cameroun agira également comme banque agent, en assurant la gestion administrative et financière des fonds tout au long de la réalisation du projet.

Les travaux de construction de la raffinerie de pétrole de Cstar ont été officiellement lancés le 17 juillet 2025 à Kribi. Le chantier est confié au consortium RCG Turnkey Solutions, en partenariat avec Global Process Systems (GPS) et Norinco International. Le projet à réaliser sur une superficie de 250 hectares intègre la construction d’un terminal de stockage des carburants (gasoil, essence, jet A1, kérosène, HFO) d’une capacité initiale de 250 000 à 300 000 m³. Coût global de l’investissement : environ 115 milliards de FCFA.

D’après les estimations officielles, ce projet pourrait réduire de 30% les importations de carburants, permettant ainsi des économies annuelles de près de 400 milliards de FCFA. Les porteurs du projet misent également sur des recettes d’exportation estimées à 141 milliards de FCFA par an. Au plan social, le chantier promet la création de 2 000 emplois directs et 5 000 emplois indirects, ainsi qu’un transfert de compétences au bénéfice de la main-d’œuvre locale.

La raffinerie de Kribi marque une volonté affichée des autorités camerounaises de restaurer une autonomie énergétique nationale, fragilisée depuis l’arrêt prolongé de la Sonara, dont les équipements ont été endommagés par un incendie en mai 2019. Depuis cette date, le Cameroun dépend entièrement des importations de produits pétroliers finis.

Par ailleurs, pour pouvoir répondre à une demande annuelle estimée à 1,9 million de tonnes métriques, les capacités actuelles de stockage du pays – évaluées à 270 000 m³ – sont largement inférieures aux exigences réglementaires. Celles-ci imposent des stocks de sécurité pour 30 jours de consommation et des stocks commerciaux pour 15 jours, soit une capacité cible d’environ 470 000 m³. D’où l’intérêt du terminal de stockage de 250 000 à 300 000 m³ de capacités annoncés par Cstar.

BRM

Lire aussi:

08-09-2025 - Kribi : la SCDP annonce la construction d’un terminal hydrocarbures d’une capacité de 230 000 m3 à partir de 2026

18-07-2025 - Kribi : le Cameroun lance la construction d’une raffinerie modulaire d’une capacité de 30 000 barils par jour

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