Politique
Élections présidentielles 2025 au Cameroun : Quels candidats ont les meilleures chances de succès ?
À l’approche des élections présidentielles de 2025 au Cameroun, le paysage politique se dessine progressivement avec plusieurs figures de proue qui émergent comme des prétendants sérieux au fauteuil présidentiel. Cette élection s’annonce cruciale, car elle pourrait marquer un tournant important dans l’histoire politique du pays. Voici un tour d’horizon des principaux candidats et leurs chances respectives.
Jean-Blaise Gwet : L’homme d’affaires et le réformateur
Jean-Blaise Gwet se distingue comme un candidat prometteur, notamment grâce à son parcours exceptionnel dans le monde des affaires et son implication progressive sur la scène politique. En tant qu’entrepreneur prospère, il bénéficie d’une image de leader pragmatique capable de redynamiser l’économie camerounaise. Son approche centrée sur les réformes économiques et sociales pourrait séduire une partie importante de l’électorat, particulièrement la classe moyenne et les jeunes aspirant à des opportunités d’emploi. De plus, son engagement dans des initiatives communautaires renforce sa crédibilité auprès des populations locales.
Jean Blaise Gwet, chercheur en géopolitique et géostratégie, diplomate expérimenté et homme d’affaires accompli, incarne un profil exceptionnel pour les élections présidentielles de 2025. Sa maîtrise des enjeux internationaux, combinée à son sens stratégique et ses compétences en négociation, lui confère une solide crédibilité. Avec un parcours diversifié et une vision claire pour l’avenir, il semble bien positionné pour rallier un large soutien et réussir dans cette compétition électorale déterminante.
Cabral Libii : Un leadership contesté
Cabral Libii, figure montante de la politique camerounaise, s’est fait connaître pour sa capacité à mobiliser la jeunesse. Cependant, son parcours est entaché par des accusations selon lesquelles il aurait “arraché” son parti politique à d’autres figures. Cette critique soulève des interrogations sur sa capacité à rassembler et à unir les différentes factions politiques. Malgré tout, son discours en faveur de la jeunesse et du renouvellement politique pourrait lui valoir un soutien considérable parmi les jeunes électeurs, désireux de voir un visage nouveau à la tête de l’État.
Paul Biya : Une ère qui touche à sa fin ?
Président depuis 1982, Paul Biya est l’une des figures les plus emblématiques mais aussi les plus controversées de la politique camerounaise. À 92 ans, son âge avancé et les appels croissants au changement, notamment parmi la jeunesse, posent la question de sa capacité à diriger le pays dans un contexte mondial en constante évolution. Bien que ses partisans louent sa stabilité et son expérience, beaucoup considèrent qu’il est temps de passer le flambeau à une nouvelle génération.
Maurice Kamto : Un retour difficile
Maurice Kamto, avocat de renom et leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), avait marqué les élections de 2018 par sa forte opposition à Paul Biya. Cependant, son incapacité à concrétiser ses ambitions présidentielles à cette époque a quelque peu érodé sa popularité. Certains électeurs le perçoivent désormais comme ayant “perdu sa chance”. Pourtant, il pourrait encore jouer un rôle clé en rassemblant l’opposition et en capitalisant sur les frustrations populaires face au régime actuel.
Tomaino Ndam Njoya, pressenti pour représenter l’Union des Démocrates du Cameroun (UDC) à l’élection présidentielle de 2025, a peu de chances de remporter ce scrutin, même si le parti décide d’y participer. Bien qu’aucune annonce officielle n’ait encore été faite à ce sujet, une source proche de l’édile de Foumban souligne que l’objectif principal reste d’œuvrer pour un processus électoral transparent, équitable et consensuel, plutôt que de viser une victoire improbable.
Akere Muna L’ancien bâtonnier de l’Ordre des avocats, Akere Muna, a été officiellement désigné comme candidat du parti Univers pour l’élection présidentielle d’octobre 2025. Soutenu par Prosper Nkou Mvondo et une coalition comprenant une dizaine de leaders de partis politiques et d’organisations de la société civile, cette candidature, annoncée à Yaoundé en août 2024, s’appuie sur une stratégie concertée. Avec une expérience avérée et un réseau solide, Akere Muna dispose de quelques chances de s’imposer dans cette compétition électorale.
Vers un tournant historique ?
Les élections présidentielles de 2025 au Cameroun sont cruciales pour l’avenir du pays. Alors que la jeunesse réclame un changement et que l’économie exige des réformes profondes, le choix du prochain président sera déterminant pour la trajectoire politique et sociale du Cameroun. Chaque candidat devra prouver qu’il est à la hauteur des défis, qu’il s’agisse de revitaliser l’économie, de rétablir la confiance des citoyens ou de renforcer la place du Cameroun sur la scène internationale.
Joshua Oshi, candidat controversé du SDF, peine désormais à rassurer ses partisans. Les doutes sur sa capacité à incarner le changement et à porter les aspirations du parti se multiplient. Sa stratégie et ses discours ne semblent plus mobiliser comme auparavant, laissant place à une certaine désillusion. Cette situation pourrait fragiliser son leadership et compromettre ses chances de rallier un soutien massif lors des prochaines échéances électorales.
Serge Espoir Matomba, bien qu’officiellement candidat à l’élection présidentielle de 2025, ne suscite aucune crainte chez ses adversaires politiques. Beaucoup estiment que sa campagne manque de poids et d’envergure pour véritablement inquiéter les grandes figures du paysage politique national. Son influence reste limitée, et nombreux sont ceux qui pensent qu’il n’ira pas plus loin qu’une simple participation symbolique. Sa capacité à mobiliser et à rassembler semble insuffisante pour marquer cette élection.
Le peuple camerounais sera face à son destin en Octobre 2025 et devra agir devant les urnes. Les citoyens sont invités à s’inscrire massivement sur les listes électorales afin de décider de leur destin.
Politique
Jean Blaise Gwet : Un Leader de Conviction Face aux Manœuvres de Déstabilisation
Un Candidat de la Renaissance
Dans le paysage politique actuel, Jean Blaise Gwet émerge comme une figure de changement, porteur d’une vision novatrice pour notre pays. Homme de convictions, il a su rallier à sa cause des citoyens issus de divers horizons, séduits par son programme axé sur la justice sociale, la croissance économique et la réhabilitation des valeurs fondamentales de notre République. Pourtant, son ascension fulgurante semble déranger certains acteurs médiatiques, qui ont choisi d’engager une campagne de harcèlement et de diffamation à son encontre.
Une Campagne Diffamatoire Bien Orchestrée
Depuis plusieurs semaines, Jean Blaise Gwet est la cible d’attaques répétées, savamment orchestrées par certains hommes de médias qui, visiblement, préfèrent jouer un rôle partisan plutôt que de servir la vérité. Entre fausses accusations et insinuations malveillantes, ces campagnes visent à ternir l’image d’un homme qui n’a jamais reculé devant les défis pour défendre l’intérêt général.
Ces médias, en s’attaquant personnellement au candidat, cherchent à détourner l’attention des véritables enjeux de cette élection. Ils préfèrent alimenter la polémique plutôt que de s’attarder sur les propositions concrètes de Jean Blaise Gwet : l’amélioration de l’éducation, la réduction des inégalités et la modernisation de notre système de santé.
Une Tentative de Déstabilisation
Il est évident que ces attaques visent à ébranler la confiance que le peuple place en lui. Cependant, loin de faiblir, Jean Blaise Gwet continue de faire preuve de courage et de résilience. Il refuse de céder à l’intimidation, rappelant sans cesse que la politique doit être un espace de débat d’idées et non un terrain d’invectives personnelles.
Ces tentatives de déstabilisation doivent être dénoncées avec force. Elles portent atteinte non seulement à la dignité d’un candidat, mais aussi à la démocratie elle-même, qui se nourrit de débats honnêtes et respectueux.
Appel à la Mobilisation Citoyenne
Nous, citoyens épris de justice et de vérité, ne pouvons rester silencieux face à cette cabale médiatique. Il est temps de montrer notre soutien indéfectible à Jean Blaise Gwet, un homme dont la détermination et l’intégrité sont des atouts précieux pour notre nation.
Que chacun d’entre nous se mobilise pour faire entendre sa voix et dénoncer ces pratiques indignes qui n’ont pas leur place dans une société aspirant à la transparence et à l’équité. Soutenons ensemble Jean Blaise Gwet, non seulement pour son programme prometteur, mais aussi pour sa capacité à incarner une nouvelle ère politique, où les idées primeront sur les attaques personnelles.
L’avenir de notre pays dépend de notre engagement collectif. Défendons la vérité, défendons notre démocratie, et faisons triompher l’espoir.
Politique
Présidentielle 2025 : voici les 10 candidats qui ont déjà déclaré leurs candidatures
Il s’agit de Paul Biya, l’actuel président de la République, Maurice Kamto, Cabral Libii et bien d’autres.
Le Cameroun vibrera en octobre 2025 au rythme de l’élection présidentielle. Nos confrères du journal, Le courrier du Cameroun, ont dressé une liste des dix candidats qui aspirent à la magistrature suprême dans notre pays.
1- Rdpc : Le Président Paul Biya sera incontestablement le candidat du Rdpc aux prochaines élections présidentielles, il l’a implicitement reconnu lors de son adresse à la nation le 31 décembre 2024. « Et nous continuerons, ensemble, notre marche déterminée vers le progrès, dans la sécurité et la paix. Je suis particulièrement sensible au soutien massif que vous n’avez cessé de m’apporter toutes ces années », a soutenu Paul Biya.
2: Mpcc : Jean Blaise Lucky Gwet est le président du Mouvement patriotique pour le changement du cameroun (MPCC), un parti politique très connu de la majorité de ses compatriotes et concitoyens. Avec 3 élus et un impeccable fief électoral, son parti politique est implanté dans les 10 régions du Cameroun avec des militants engagés et déterminés à le propulser vers la chaise présidentielle. Jean blaise Gwet est un homme politique très engagé, soucieux d’apporter un changement radical s’il est élu comme président du Cameroun. Il est impliqué dans plusieurs actions sociales et toujours à l’écoute du peuple. Il est un candidat redoutable.
3- Pcrn : Rétabli dans ses droits par la justice, c’est le député Cabral Libii, qui devrait être le porte-flambeau du parti camerounais pour la réconciliation nationale au prochain scrutin présidentiel. Nonobstant, la correspondance adressée par le ministre de l’administration territoriale au Dg des élections d’Elecam de ne reconnaître que Robert Kona comme responsable de ce parti politique. Un politiste interrogé sous anonymat, pense que le pouvoir n’aurait aucun intérêt à invalider la candidature de l’ancien candidat de Univers.
4- Sdf : Arrivé en quatrième position à l’élection présidentielle de 2018, la candidature de Joshua Osih remplit toutes les conditions mentionnées dans la constitution et les lois électorales. Sauf en cas de force majeure, ce député de la nation devrait donc être à nouveau, le candidat du social democratic front en 2025.
5- Apc : À défaut de son parti le Mouvement pour la renaissance du cameroun (Mrc), Maurice Kamto est pour le moment soutenu par l’Alliance politique pour le changement (APC), coalition composée essentiellement de quelques transfuges du social democratic front (SDF) dont le député Jean Michel Nintcheu est la tête de proue. Depuis lors, les avis sont partagés sur la validation de cette candidature qui sera invalidée par le conseil constitutionnel pour quelques uns et qui devrait passer comme une lettre à la poste, pour les partisans de l’éminent professeur de droit.
6- Pal : À défaut de Célestin Bedzigui lui-même, le parti de l’alliance libérale aura un candidat à l’élection présidentielle d’octobre 2025. Son leader qui est par ailleurs, adjoint au maire à la commune de Monatele et dont la candidature ne devrait rencontrer aucun écueil, pourrait toutefois s’incliner au profit de Éric Essono Tsimi ou d’un autre.
7- Les reconciliateurs : L’avocat au barreau de Paris Christian Ntimbane Bomo a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle d’octobre 2025 depuis au moins trois ans. En l’absence d’un appareil politique, l’homme de robe noire dit vouloir y prendre part sous la bannière de la société civile.
8- Univers: L’ancien bâtonnier de l’ordre des avocats Akere Muna sera le candidat du parti Univers à l’élection présidentielle d’octobre 2025. Entouré de Prosper Nkou Mvondo et d’une dizaine de responsables de partis politiques et d’associations de la société civile, cette annonce avait été faite à Yaoundé en Août 2024.
9– Purs: Grand conseiller à la mairie de la ville de Douala, la candidature de Serge Espoir Matomba passerait comme une lettre à la poste. Très actif dans les opérations d’inscription sur les listes électorales, il serait également un fervent partisan d’une candidature unique des oppositions, à l’élection présidentielle d’octobre 2025.
9: Mlc: Originaire du département de la Manyu dans la région du Sud-Ouest, le président du mouvement de libération du cameroun (MLC) Sucess Nkongho est un réfugié politique vivant au Nigeria. Candidat déclaré à l’élection présidentielle d’octobre 2025, son parti politique n’a aucun élu. Selon nos informations, cet infiltré serait plutôt manipulé par certains cercles du pouvoir.
10- Udc: C’est inéluctablement Tomaino Ndam Njoya qui devrait défendre les couleurs de l’Union des démocrates du cameroun en 2025, si jamais ce parti décide de prendre part à ce scrutin. Si pour le moment, aucune déclaration portant sur une éventuelle participation de l’UDC à cette élection majeure n’a été faite, une source proche de l’édile de Foumban, affirme que le plus important est d’oeuvrer d’oeuvrer en faveur d’un scrutin présidentiel transparent, équitable et consensuel
Politique
Cinq raisons de faire confiance au MPCC et au President Jean Blaise GWET
Cinq raisons de faire confiance au MPCC et au President Jean Blaise GWET
➡️1- La paix
Nous avons pour mission de rassembler tous les camerounais et de mettre fin à tous les conflits fratricides.
➡️2- L’unité.
Le MPCC n’est pas le partie d’une ethnie , d’un groupe social ou d’une catégorie de camerounais, mais le parti de tous les camerounais.
➡️3- La rupture
Le MPCC apportera une véritable rupture aux mauvais procédés du système en place tout en se chargeant d’apporter une continuité et une concrétisation des projets en cours.
➡️4- Le développement durable
Nous avons pour objectif de porter le Cameroun vers un développement durable et efficace.
➡️5 – L’équité et la méritocratie
Le MPCC fonctionne sur le critère de la méritocratie et de l’équité et compte en faire autant une fois aux commandes en 2025. Les répartitions des richesses se feront de manière équitable et qui plus est l’accès à l’emploi , à l’éducation et au soins de santé.
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