Actualités locales
Le Sénat confiant que Paul Biya prendra “les mesures qui s’imposent pour l’apaisement et l’unité nationale.

Au cours de son speech, le vice-président Aboubakary Abdoulaye est revenu sur le processus électoral ayant abouti à l’élection de Paul Biya. À travers sa voix, le Sénat a également exprimé sa conviction que Paul Biya saura prendre les mesures nécessaires pour l’apaisement et l’unité nationale.
VOICI LE DISCOURS PRONONCÉ AU NOM DE MONSIEUR LE PRÉSIDENT DU SÉNAT PAR LE PREMIER VICE-PRÉSIDENT.
Mes Collègues Sénateurs et moi-même sommes heureux de vous accueillir au Sénat à l’occasion de l’ouverture des travaux de la troisième session ordinaire au titre de l’année législative 2025.
Je vous remercie d’avoir accepté l’invitation de Monsieur Marcel NIAT NJIFENJI, Président du Sénat, et je vous souhaite une très chaleureuse bienvenue dans cet hémicycle.
• Distingués Invités,
• Mes Chers Collègues Sénateurs,
L’ouverture de cette session se situe à la charnière de deux évènements hautement significatifs pour notre pays.
Le Conseil Constitutionnel vient en effet de proclamer les résultats de l’élection présidentielle du 12 octobre dernier et le Président Élu prêtera serment dans quelques jours.
En ces circonstances particulières, c’est avec émotion et honneur que je délivre, du haut de cette tribune, le message de félicitations de Monsieur le Président du Sénat, des Membres du Bureau du Sénat et de l’ensemble des
Membres de la Chambre Haute de notre Parlement à
Monsieur le Président de la République Élu, Son Excellence Paul BIYA.
C’est le lieu de féliciter également tous les acteurs physiques et institutionnels du processus électoral pour la sérénité, le calme et la discipline qui ont prévalu avant, pendant et après le vote sur toute l’étendue du territoire national. Ils ont toutes et tous répondu positivement à l’appel républicain et solennel lancé à tous les candidats à l’élection présidentielle, dans mon discours de clôture de la session ordinaire de juin dernier, pour qu’ils offrent au peuple camerounais un scrutin apaisé en vue de l’édification d’une Nation stable, unie, prospère et démocratique.
Cet appel restant toujours d’actualité, je me réjouis de la grande maturité et de l’esprit patriotique du peuple camerounais qui a choisi de tourner le dos à tous les hiboux et autres oiseaux de mauvais augure, à tous les partisans du chaos et du désordre et de ne pas céder à la manipulation des faits et des consciences.
Les Camerounais ont, une fois de plus, confirmé au monde entier leur grande maturité politique ainsi que leur attachement profond et résolu à la démocratie, à la paix et aux institutions de la République.
Je salue par conséquent l’esprit de transparence qui a prévalu et grâce auquel nous sommes parvenus à des résultats crédibles et reconnus par tous.
• Mesdames et Messieurs,
• Mes Chers Collègues Sénateurs,
Du haut de cette tribune, je dénonce toutes celles et tous ceux qui, tapis dans l’ombre, lancent les jeunes dans la rue pour affronter, les mains nues, les forces de défense et de sécurité chargées par les autorités administratives d’assurer le maintien de l’ordre.
Je dénonce également les propos de certains hommes politiques et autres leaders d’opinion qui prétendent diriger le Cameroun mais qui, au grand mépris de la souveraineté et de la dignité du peuple camerounais, en appellent aux ingérences extérieures dans les affaires intérieures.
Dans une élection, il y’a certes un élu mais il n’y a ni vainqueur, ni vaincu. C’est le peuple qui triomphe dans sa quête de paix, d’unité et de stabilité, gages du développement.
Quels qu’ils soient, les hommes passent et, pour citer le Président Paul BIYA, « le Cameroun restera un et indivisible. »
Monsieur le Président de la République nouvellement élu, nous connaissons toutes et tous Votre profond attachement à la paix, à l’unité nationale et au vivre ensemble. Je suis convaincu que Vous saurez, dans les prochains jours, prendre toutes les mesures qui s’imposent pour l’apaisement et le renforcement de l’unité nationale.
Je me dois également de Vous rappeler les attentes des Camerounais, notamment en matière de relance de notre économie, d’amélioration des conditions de vie et du pouvoir d’achat, de développement des infrastructures routières, énergétiques, éducatives et sanitaires, d’amélioration de la situation sécuritaire, de l’emploi des jeunes, d’autonomisation des femmes et de la protection de leurs droits, de lutte contre les replis identitaires et communautaires.
Fidèle aux Institutions et à Celui qui les incarne, le Sénat apportera tout son soutien à Votre politique.
Dans le même temps, fort de son identité qui repose sur les valeurs de paix, de sécurité, de développement, d’unité nationale, de vivre-ensemble et d’intégrité territoriale de notre pays, le Sénat restera vigilant sur la réalisation des promesses faites dans Votre profession de foi et Votre offre politique. En effet, la Chambre Haute veillera à la satisfaction des attentes, certes multiples, mais légitimes exprimées par les Camerounais et portées par les représentants du peuple que nous sommes.
• Mesdames et Messieurs,
• Mes Chers Collègues Sénateurs,
Après la réception du serment du Président de la République dans les conditions prévues par notre Constitution et le Code Électoral, nous reprendrons les travaux de cette session dont le point d’orgue sera l’examen et le vote du projet de loi de finances de la République pour l’exercice 2026.
Mais avant cela et avec un rapide coup d’œil dans le rétroviseur, permettez-moi de rappeler à notre souvenir la mémoire de notre collègue, le Sénateur DIWALA MONY Hilarion, membre de la Commission de l’Education, de la Formation Professionnelle et de la Jeunesse, décédé pendant l’intersession ainsi que celle de l’Honorable ABE Michael, Député de la Donga-Mantum, lâchement abattu le 22 octobre 2025 par des terroristes qui écument encore une partie de la Région du Nord-Ouest.
J’associe également à notre souvenir la mémoire de
M. AYANG Luc, Grand Homme d’État et Président du Conseil Économique et Social jusqu’à son décès le 14 octobre 2025.
L’histoire retiendra qu’il a chaleureusement accueilli la Chambre Haute dans cet immeuble et mis à sa disposition de nombreuses facilités, parmi lesquelles ce magnifique hémicycle, qui concourent à son bon fonctionnement.
Mesdames et Messieurs,
Je vous prie de vous lever pour observer une minute de silence en mémoire de nos deux regrettés collègues parlementaires et du Président AYANG Luc.
(Minute de silence) Je vous remercie.
En dépit de ces évènements tristes, la période d’intersession a donné l’occasion au Sénat de renforcer son rayonnement au plan de la diplomatie parlementaire en prenant une part active aux travaux de la Commonwealth Parliamentary Association (CPA), Région Afrique du 11 au 15 août dernier à Accra au Ghana, ainsi qu’à d’autres activités et rencontres relatives notamment à la paix, au développement ou à l’autonomisation des femmes, dans le cadre de la coopération parlementaire internationale.
• Distingués Invités,
• Mes Chers Collègues Sénateurs,
Revenant à la présente session au cours de laquelle la Loi de Finances pour l’année 2026 comportant le budget de l’État sera adopté, je forme le vœu que ce premier document de politique économique, budgétaire et financière du nouveau septennat prenne d’ores et déjà en compte les attentes ci-dessus rappelées, cela en droite ligne des recommandations formulées par les parlementaires dans le cadre du Débat d’Orientation Budgétaire qui a permis aux Sénateurs de prendre la mesure des grandes priorités de la politique économique, financière et budgétaire pour le triennat 2026-2028.
Il s’agit notamment de la relance de l’économie nationale, l’amélioration de la gestion des finances publiques, le développement de nouvelles sources de financement des projets, l’intensification de la lutte contre la corruption, les détournements financiers et toutes formes de fraude qui gangrènent notre tissu économique.
Mes Chers Collègues Sénateurs,
Concluant mon propos, je voudrais vous inviter à travailler, au cours de cette session et comme toujours, avec la discipline et la rigueur qui vous caractérisent et vous rendent dignes de la confiance placée en vous.
Je sais pouvoir compter sur l’entière disponibilité de chacune et chacun d’entre vous pour travailler, en collaboration étroite avec le Gouvernement, à l’accomplissement heureux de nos missions constitutionnelles de vote de la loi, de contrôle de l’action du Gouvernement et de représentation des Collectivités Territoriales Décentralisées.
Je déclare ouverts les travaux de la troisième session ordinaire du Sénat au titre de l’année législative 2025.
Vive le Sénat !
Vive Son Excellence Paul BIYA, Président de la République !
Vive le Cameroun !
Je vous remercie.
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Actualités locales
les fonds COVID serviront à renforcer notre système de santé

Lors d’une audience accordée au Représentant Résident de la Banque de Développement des États de l’Afrique Centrale (BDEAC), Monsieur TSOYE NKONO Jean- Robert, le ministre de la Santé publique a annoncé une réorientation des fonds mis à disposition par l’institution.
Le Ministre de la Santé Publique a reçu en audience le 5 novembre 2025 dans son cabinet, le Représentant Résident de la Banque de Développement des États de l’Afrique Centrale (BDEAC), Monsieur TSOYE NKONO Jean- Robert.
Selon un compte rendu du ministère de la Santé publique, la rencontre a porté sur le renforcement de la coopération entre cette Institution et le Minsanté, avec un focus sur plusieurs projets prioritaires. Notamment celui sur la Boucle du Dja dont le volet santé porte sur le projet d’infrastructures et d’aménagement de certaines structures sanitaires dans les Régions de l’Est et du Sud.
Le Représentant Résident de la BDEAC a insisté sur la nécessité d’une coordination étroite entre les Administrations Techniques et la Banque pour accélérer les étapes préparatoires et garantir l’alignement des financements aux priorités sanitaires et socio-économiques locales.
Un autre point clé de l’audience a porté sur la disponibilité et l’utilisation des fonds COVID. Pour le Dr Malachie Manaouda, les fonds mis à la disposition du pays par la BDEAC, seront redirigés vers le renforcement du système de santé, et aussi, pour combler le déficit de financement de certains projets de santé, en réponse à la suspension de l’aide américaine.
Non sans réaffirmer l’engagement du Cameroun à travailler avec ce partenaire financier, le Minsanté a reconnu les apports de cette structure dans la consolidation du système de santé camerounais.
En rappel, la BDEAC est l’Institution Régionale chargée du financement du développement en Afrique Centrale. Elle dispose à cet effet d’une représentation nationale au Cameroun. Le Ministère de la Santé a, depuis 2020, géré divers mécanismes et comptes dédiés à la réponse COVID, ce qui place la question du financement et du suivi au cœur des priorités actuelles.
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cap sur les élections locales

Dans un message adressé à ses militants, le président national du FDC les invite à tourner la page de la présidentielle 2025 pour viser les élections locales de 2026.
« Ne vous trompez plus ! Si vous réussissez à obtenir la majorité des Sièges, c’est vous qui formerez le Gouvernement dans ce système semi-présidentiel qui est celui du Cameroun », prévient Denis Emilien Atangana.
« À nous les élections municipales et législatives de 2026 chers camarades et sympathisants du FDC
Maintenant que l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 est définitivement terminée avec la prestation de serment du Président de la République M.Paul Biya le jeudi 6 novembre 2025. Notre principal objectif est désormais la participation du Front des Démocrates Camerounais (FDC) aux prochaines élections municipales et Législatives de 2026 .
Je vous demande de sensibiliser et encourager les Citoyens en âge de Voter à aller s’inscrire plus massivement sur les listes électorales dès janvier 2026. Je le demande encore plus aux jeunes qui constituent une Grande Force pour notre Parti. Notre Avenir commun en dépend !
C’est dans les Communes et à l’Assemblée Nationale que se trouve une Bonne Partie de la Souveraineté Nationale et du Vrai Pouvoir du Peuple. Ne tombons plus dans le Piège de « Etoudi ou Rien » qui nous entraine dans le même Cycle de Déceptions dans lequel nos Ainés nous ont plongés d’années en années.
C’est dans les Conseils Municipaux qu’on apprend la vraie politique pour les jeunes en particulier. C’est ici qu’on expérimente la gestion du bien public et du vrai développement local. Être Conseiller Municipal et probablement Maire dans une Commune est fortement valorisant et même plus revalorisant que vous ne l’imaginer. C’est dans la Commune que se construit notre quotidien à travers la participation citoyenne à l’Action Publique Locale.
Plus loin, vous avez la place dans l’Assemblée Nationale où 180 Députés élaborent et votent les Lois qui régissent tous les domaines de la Vie Nationale, en passant par exemple par le Vote du Budget Annuel de la Nation. C’est ici que vous contrôlerez l’Action Gouvernementale et que vous pourrez la sanctionner d’une manière ou d’une autre. Ne vous trompez plus ! Si vous réussissez à obtenir la majorité des Sièges, c’est vous qui formerez le Gouvernement dans ce système semi-présidentiel qui est celui du Cameroun.
Je vous invite à rester mobilisés, à ne pas laisser cet incident isolé briser l’unité que nous avons construite au prix de tant d’efforts au sein du Front des Démocrates Camerounais (FDC) dans la perspective du Vrai Changement.
Ensemble, réparons et relevons-nous. Ensemble avançons, soyons plus forts et restons focaliser sur les défis du Futur qui sont notamment les Elections Législatives et Municipales de 2026. Travaillons pour pouvoir gagner des sièges dans les Communes et à l’Assemblée Nationale. De cette façon, nous allons participer plus directement à la prise des décisions relatives à la Gestion des Affaires Publiques de notre pays.
Veuillez recevoir, Chers Militants, Cadres et Sympathisants, tout mon respect et ma reconnaissance pour votre Attachement au Front des Démocrates Camerounais (FDC). L’Avenir vous Appartient dans ce Destin Commun ! »
Le Président National du FDC
Denis Emilien ATANGANA
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Actualités locales
plus de 2 000 personnes interpellées et gardées à vue dans les geôles de plusieurs villes camerounaises
C’est le rapport fait par Me Alain Ndam, coordonnateur du collectif de défense des régions du Centre et du Sud à l’émission Zappe presse le 2 novembre diffusée sur les antennes de la RTS (Radio Tiemeni Siantou), une radio urbaine émettant à Yaoundé, siège des institutions de la République. C’est à l’issue de l’observation des manifestations post-électorales survenues depuis le 27 octobre dernier, jour de proclamation des résultats de l’élection présidentielle du 12 octobre par le Conseil constitutionnel.
Plus d’une semaine après la proclamation des résultats de l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel, plus d’une centaine d’avocats bénévoles ont fait le bilan de la répression post-électorale depuis le déferrement, le 31 octobre, de 71 prévenus au tribunal militaire de Yaoundé devant le commissaire du gouvernement.
Intervenu le 2 novembre 2025 à l’émission de débat dominical Zappe presse sur les ondes de la RTS (Radio Tiemeni Siantou), une chaîne urbaine émettant dans la capitale politique métropolitaine et environs, Me Alain Ndam a fait le décompte des personnes interpellées et placées en garde à vue administrative dans les cellules des commissariats des différentes villes du pays et du Sed.
Selon le coordonnateur du collectif de défense citoyenne des régions du Centre et du Sud, un collectif d’avocats dénonçant les injustices subies par des individus, « plus de 2 000 personnes ont été interpellées ces derniers jours, au rang desquelles figurent 1 300 personnes placées en garde à vue administrative à Douala ; 345 à Bertoua ; 300 à Bafoussam ; 78 à Maroua et 55 à Yaoundé devant le commissaire du gouvernement ».
L’avocat au barreau du Cameroun décrit l’état exécrable dans lequel se trouvent bien de personnes interpellées. « Nous avons vu, explique A. Ndam, des personnes ayant le visage tuméfié, des blessures. Il y en a un qui nous a particulièrement touchés, qui a une fracture. Le commissaire du gouvernement et la gendarmerie se partageaient la balle entre celui qui va prendre en charge ce dernier. Pire encore, 30 % des jeunes arrêtés sont des mineurs ».
À la question de savoir quels sont les motifs retenus contre ces personnes interpellées, l’homme en robe noire répond : « insurrection, révolution et appel à la révolte en complicité ». Il s’agit là des infractions relevant de la compétence du tribunal militaire de Yaoundé. A. Ndam conteste la méthodologie ayant gouverné ces arrestations.
« Si l’État estime qu’il y a des gens qui troublent l’ordre public, utilisez les armes que le législateur vous a données, notamment le Code de procédure pénale. Si vous avez décidé de les arrêter, il faut les traiter conformément au principe du Code de procédure pénale et leur accorder la possibilité d’avoir accès à un procès équitable », indique A. Ndam.
Utilisation excessive de la force de l’État
Le coordonnateur du collectif de défense des régions du Centre et du Sud, à l’issue du rapport rendu public, constate l’utilisation abusive de la force de l’État parce qu’il ne comprend pas que, pour interpeller, par exemple, un garçon de 15 ans, l’on déploie les hommes super armés, qui font subir des formes de violences physiques aux personnes arrêtées après les avoir parquées comme du bétail.
« Cet état de choses suscite la révolte. On les (personnes arrêtées) traite comme des animaux, comme des hors-la-loi parce qu’il est bon de préciser que la manifestation n’est pas un acte illégal. Le fait de manifester pour exprimer une opinion politique n’est pas un acte illégal. S’il y a eu des casseurs parmi eux, traitez-les comme il se doit ! Il n’est pas question de déshumaniser les concernés parce qu’ayant violé la loi », conclut l’avocat. A. Ndam fait, en dernier ressort, un bilan des pertes en vies humaines.
Jusqu’ici, l’organe de défense bénévole des personnes placées en garde à vue administrative note 29 cas de morts documentés. Une esquisse de bilan de la répression post-électorale est faite alors que l’appel aux villes mortes dans les villes camerounaises, lancé par Issa Tchiroma Bakary, leader national du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), qui continue de revendiquer sa victoire à l’élection présidentielle du 12 octobre, expire ce mercredi, 5 novembre 2025.
Serge Aimé BIKOI
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