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Cameroun : 722 écoles privées fermées

ange1poireau

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Cameroun : 722 écoles privées fermées
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Le ministre de l’Éducation de base a ordonné la fermeture de ces écoles primaires qui fonctionnaient clandestinement.

À près d’un mois de la rentrée scolaire, c’est le grand ménage dans les écoles. C’est au tour du ministère de l’Education de base après celui de l’Enseignement secondairede mettre la main à la pâte. Le ministre Laurent Serge Etoundi Ngoa, a signé une décision ordonnant la fermeture de 722 écoles clandestines à travers le pays.

La plupart de ces écoles sont situées dans les régions de l’Adamawa, du Centre, de l’Est, du Littoral, de l’Ouest et du Sud-Ouest. Selon l’arrêté du ministre, ces écoles primaires n’ont pas d’autorisation de fonctionnement et n’ouvriront pas tant qu’elles ne seront pas conformes à la réglementation en vigueur.

Depuis de nombreuses années, le Cameroun connaît une augmentation significative du nombre d’écoles primaires et secondaires fonctionnant sans autorisation, en raison de l’inadaptation des locaux, de la mauvaise qualité du matériel pédagogique, du choix problématique des enseignants, de l’obtention de fausses autorisations par des réseaux corrompus, etc.

Au début de l’année scolaire 2022-2023 par exemple, le pays comptait 326 écoles primaires clandestines, théoriquement fermées par décision administrative. Il y en a aujourd’hui 494. « Nous avons constaté que certains promoteurs récidivent, alors que notre rôle n’est pas seulement répressif », explique Léopold Ymga Djamen, délégué régional de l’Education de base dans la région du Littoral, dont le chef lieu est Douala. « L’éducation est un sujet très sensible qui ne doit pas être laissé entre des mains inexpérimentées. » ajoute t-il.

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« Il y a encore beaucoup à faire, et nous avons un immense potentiel au Cameroun » Franglish

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« Il y a encore beaucoup à faire, et nous avons un immense potentiel au Cameroun » Franglish
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L’artiste franco-congolais a offert un concert au palais des sports de Yaoundé le 7 septembre de Yaoundé. Franglish n’a pas hésité à partager son sentiment après ce concert.

Franglish au Cameroun. Comment ça s’est fait ?

J’avais commencé à discuter de ce projet avec Mt il y a deux ans, et brièvement avec Joss et Habib, qui étaient déjà ouverts à l’idée. Quand les jeunes frères n’ont pas assuré, cela m’a vraiment dérangé, car je tiens toujours à montrer le meilleur de mon pays. J’étais à New York avec Slickwood pour la campagne Alexander Wang quand Mt m’a informé que les jeunes ne suivraient pas. J’ai donc proposé une conférence téléphonique avec Habib, Joss et Joseph, qui ont immédiatement adhéré à l’idée de programmer une nouvelle date. Après quelques discussions liées aux calendriers, nous avons convenu du 7 septembre. Mon graphiste, Said Ayoub, a rapidement envoyé un flyer que tout le monde a validé. Nous avons annoncé l’événement un mois avant la date, donc avec un timing de communication serré, et c’était la première date solo de l’artiste au Cameroun.

Comment avez-vous trouvez le public et les collaborateurs camerounais ?

De mon côté, j’étais à Los Angeles, gérant beaucoup de choses à distance avec un décalage horaire de 9 heures, tout en jonglant avec ma vie de famille, car ma petite princesse Nayarra est toujours en mouvement. Sur place au Cameroun, mon équipe comprenait Yann, Floki et Alizée (régisseur et road manager). Je tiens particulièrement à saluer le travail incroyable de Joseph Mbock sur la scène et la technique. C’était probablement l’une des meilleures scènes que j’ai vues en Afrique subsaharienne. Mt, quant à elle, était également très impliquée à tous les niveaux.

Les difficultés du projet ?

Le plus compliqué dans ce genre de projet, ce sont les imprévus et les humeurs. Cela me fait sourire de voir certaines personnes s’attribuer des crédits sur un événement auquel elles n’ont participé qu’à la dernière minute… mais c’est ça, mon pays (allons seulement). M. Joseph Mbock d’Afrobit est le seul homme qui m’ait jamais employé, il y a 16 ans, avant que je ne parte tenter ma chance. Si je devais parler de lui, c’est quelqu’un qui, lorsqu’il s’engage, fait tout pour atteindre l’excellence. Cela se reflète dans le travail de ses artistes, Martins et Sabrina, actuellement en tournée médiatique au Kenya, en Côte d’Ivoire, au Nigeria et en Tanzanie. Sabrina prépare d’ailleurs un featuring surprise qui va en étonner plus d’un.

Ce projet a pu voir le jour grâce à l’intervention de Mt, plus connue sous le nom de Caramel Chérie, PDG de Worldangels, de M. Joseph Mbock d’Afrobit, et du booker et agent, fondateur de LSMprod, Liil-Serge Mbeutcha, proche de l’artiste et de son équipe suite à plusieurs collaborations antérieures.

Vous parlez beaucoup de World Angels. Pourquoi ?

Mt est une amie de la famille depuis de nombreuses années. J’ai grandi en la considérant comme une grande sœur, et elle a suivi mon parcours. Elle a été la seule à croire en moi au Cameroun à certains moments, connaissant bien mon carnet d’adresses. Elle a prouvé son excellence dans le showbiz à travers ses nombreuses entreprises, dont le Kennys, qui est aujourd’hui une référence au Cameroun.

Les artistes locaux :

Aux artistes locaux, je n’ai qu’un mot : merci. Comme je l’ai dit dans mon post, ils m’ont montré que la compétition, c’est pour les amateurs ; les professionnels collaborent. Quand j’ai appelé Tenor, mon jeune frère, et Maalhox, ils sont venus sans hésiter, et j’ai beaucoup apprécié ce geste.

Des événements à venir ?

Bien sûr, je continue de travailler pour voir qui je peux amener au Cameroun. Cela dépend aussi du soutien local. Malheureusement, au Cameroun, il est difficile d’obtenir du soutien, que ce soit financier ou structurel. J’ai souvent proposé des projets à des gens qui ont préféré payer trois fois plus cher à des étrangers plutôt que de faire confiance à un compatriote avec le même niveau de compétence et de réseau. Mais bon, ça va. Ce que je retiens de cette expérience, c’est qu’il y a encore beaucoup à faire, et que nous avons un immense potentiel au Cameroun.

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Cameroun : Eric Valery Zoa rempile à la tête de Banque Atlantique

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Cameroun : Eric Valery Zoa rempile à la tête de Banque Atlantique
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A ce poste depuis 2020, il a été reconduit pour les trois prochaines années.

Éric Valery Zoa, actuel directeur général de la Banque Atlantique Cameroun, a été reconduit pour un nouveau mandat de trois ans. À 53 ans, il continue donc une mission qu’il a entamée depuis 2020.

En effet, c’est en  2001 que le jeune Eric Valery Zoa est recruté à la Banque atlantique Cameroun. Titulaire d’une Maitrise en Sciences de Tech­nique de Gestion, Option Finance obtenue en 1996, il gravit les échelons au fil des années.

En avril 2014, Eric Valery Zoa avait rejoint le Top-ma­nagement de la banque, en qualité de directeur général adjoint, fonction qu’il occupait jusqu’à sa désigna­tion comme directeur général le 31 mars 2020. Il remplace à ce poste l’Ivoirien Olivier William Bene Sammarie.

Cette reconduction est une preuve de la confiance de sa hiérarchie à son endroit. Il a au cours du précédent mandant, réussit à consolider la place de la Banque Atlantique Cameroun sur le marché bancaire camerounais, renforçant ainsi sa compétitivité et son rôle dans le développement économique du pays

Quelques chiffres du groupe. En mai 2024, la filiale du groupe Atlantic Financial Group (AFG) a annoncé l’augmentation de son capital de 23,98 milliards à 28,8 milliards de FCFA, soit une hausse de 5 milliards de FCFA. Très active sur le marché des dépôts, elle a enregistré un encours de 723,6 milliards de FCFA au 31 décembre 2023. L’encours de crédits a également connu une forte progression, passant de 322 milliards en 2022 à 433 milliards en 2023.

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Cameroun : ce qui attend Laya Sidibe à la tête de SanlamAllianz

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Cameroun : ce qui attend Laya Sidibe à la tête de SanlamAllianz
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Afifi Mohamed, Regional Executive de SanlamAllianz Vie a annoncé sa nomination le 09 septembre 2024.

Laya Sidibe a été installée en tant que DG de SanlamAllianz Cameroun Assurance vie sous réserve de l’approbation des autorités compétentes.

En effet, SanlamAllianz est née de l’absorption de Sanlam Life Insurance Cameroon au capital de 4,49 milliards de Fcfa par Allianz Cameroun Assurances Vie, au capital de 3,3 milliards de F. Alors, SanlamAllianz Cameroun Vie domine désormais le marché de l’assurance-vie au Cameroun avec plus de 32% des parts de marché.

Alors Laya Sidibe aura pour principale mission de maintenir la position de leader de l’entreprise tout en renforçant sa solidité financière et en s’adaptant à un marché en constante évolution.

Même s’il s’agit d’un nouveau challenge, la nouvelle directrice n’est pas nouvelle en matière de management dans le  domaine. Avant d’être promue Directrice générale de SanlamAllianz Cameroun Vie, Laya Sidibe occupait le poste de Directrice Bancassurance & Corporate chez Sanlam Vie Mali depuis juillet 2021.

Avec plus de dix ans d’expérience au sein de la Société Nouvelle d’Assurance Vie (Sonavie) au Mali, où elle a occupé divers postes dans les domaines de l’actuariat, de la production, de la technique et de la bancassurance, Sidibe a acquis une solide expertise en gestion des risques, tarification des produits d’assurance, et gestion de portefeuilles clients.

Ces rôles stratégiques lui ont permis de développer des compétences pointues en matière d’intégration des services financiers et d’assurance, ainsi que de renforcer les relations avec les grandes entreprises et les institutions bancaires.

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