Faits divers
Cameroun : les enjeux de la session parlementaire qui s’ouvre ce mardi
Les parlementaires se retrouvent le mardi 12 novembre 2024 dans le cadre de la dernière session ordinaire de l’année législative en cours.
L’hémicycle du palais des congrès de Yaoundé accueille les députés et les sénateurs ce mardi pour débuter la session parlementaire de novembre. Durant les 30 prochains jours, les membres du Parlement camerounais vont examiner le projet de loi de finances et adopter la loi de y relative, laquelle arrête le budget de l’Etat pour l’exercice 2025.
L’examen de ce projet de loi va exiger le passage successif des membres du gouvernement devant les parlementaires pour justifier leurs différentes enveloppes budgétaires. Mais déjà, les députés de l’opposition dénoncent le retard souvent accusé par le gouvernement dans le dépôt des textes à examiner. Outre cette loi qui retient la plus grande attention de cette session, les bureaux de l’Assemblée nationale et du Sénat pourront recevoir d’autres projets de loi à examiner.
Par ailleurs, les séances plénières d’ouverture et de clôture de chaque session parlementaire donnent lieu à des discours des chefs de chambres ou de ceux qui en tiennent lieu. Dans ces propos, l’on retrouve les sujets ayant fait l’actualité des trois derniers mois.
L’on peut y retrouver la rumeur sur l’état de santé du chef de l’Etat ou celle sur son décès, la célébration des 42 ans de Renouveau, les éboulements mortels de la falaise de Dschang, les accidents de la circulation, etc. Ce dernier sujet, ainsi ceux relatifs à l’état des routes, aux coupures régulières de l’électricité ou la mauvaise qualité du réseau des télécommunications pourront faire l’objet des questions orales aux membres du gouvernement. La séance plénière d’ouverture commence à 11 heures à l’Assemblée nationale et à 16 heures au Sénat.
Faits divers
Dachi Ky: Les Vidéos de la $extape (lien Télégram)
Dachi Ky, une influenceuse congolaise particulièrement suivie sur TikTok, se retrouve récemment au cœur d’un scandale médiatique d’une grande ampleur. Des vidéos intimes de l’influenceuse, prétendument diffusées sans son consentement sur Telegram, ont suscité un vif débat sur les réseaux sociaux.
L’incident a débuté lorsque Dachi Ky a partagé une vidéo privée, initialement destinée à un cercle restreint d’amis proches. Cependant, il semble que certains membres de ce cercle aient enregistré la vidéo et l’aient transmise à son ex-compagnon, qui a ensuite divulgué les images au public. Cette violation flagrante de la vie privée a provoqué une vague d’indignation sur les plateformes sociales, où de nombreux internautes ont exprimé leur soutien à Dachi Ky, dénonçant cet abus de confiance.
Face à cette situation difficile, Dachi Ky a trouvé du réconfort et du soutien auprès de sa famille, qu’elle a publiquement remerciée pour sa présence et son appui constants. L’incident a également soulevé des discussions sur l’importance du respect de la vie privée et de la préservation de la confiance dans les relations personnelles.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Dachi Ky est confrontée à des controverses publiques. Elle a récemment été impliquée dans une autre affaire où elle a accusé un ami de lui avoir dérobé 8 000 € lors de sa fête d’anniversaire. L’influenceuse n’a pas hésité à partager cette mésaventure avec ses abonnés sur TikTok, témoignant ainsi de sa transparence et de son approche directe face aux défis personnels.
Voici où regarder les vidéos en temps réel, cliquez ici
Faits divers
Cameroun : agression de Me Richard Tamfu, la Gendarmerie nationale ouvre une enquête
Sur instruction du secrétaire d’Etat à la Défense chargé de la Gendarmerie, des personnes seront entendues en vue de la manifestation de la vérité.
Après les actes de violence des éléments des Forces de défense et de sécurité sur Me Richard Tamfu, avocat au Barreau du Cameroun, la hiérarchie des gendarmes impliqués ordonne une enquête. Sur instruction du secrétaire d’Etat à la Défense chargé de la Gendarmerie nationale, Galax Yves Landry Etoga, le commandant de la légion de gendarmerie du Littoral demande l’ouverture sans délai d’une enquête judiciaire pour faire la lumière sur cette affaire. Les enquêteurs veilleront à entendre toutes les parties, toutes les personnes pouvant contribuer à la manifestation de la vérité.
Pour rappel, une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux depuis le 27 novembre montre l’agression de l’avocat par des hommes en tenue. Selon les informations des organisations de défense des droits de l’homme, Me Tamfu s’opposait à l’arrestation de son client par des éléments des Forces de défense et de sécurité ne détenant aucun mandat lorsqu’il a été brutalisé. Il a été conduit à l’hôpital Laquintinie pour des soins.
Depuis la publication de cette vidéo, les organisations de défense des droits humains comme Mandela Center international et des hommes politiques comme Maurice Kamto dénonce « les traitements inhumains » et demandent l’ouverture immédiate d’une enquête. La Gendarmerie nationale n’a pas tardé à prescrire l’ouverture de cette enquête. Le commandant de la Légion de Gendarmerie attend les résultats de cette enquête dans les 72 heures à compter du 27 novembre 2024. Dans un rapport récent, le Comité des Nations unies contre la torture recommande à l’Etat du Cameroun de suspendre de leurs fonctions des personnels impliquées dans des cas de torture ou de mauvais traitement, pendant la durée de l’enquête.
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Faits divers
Cameroun : Elecam réhabilite les 120 000 électeurs exclus pour défaut d’empreintes digitales
Le directeur général des élections, Erik Essousse, a fait l’annonce lors de la 2è édition de la plateforme nationale de concertation permanente entre Elecam et les autres acteurs du processus électoral.
Les 120 000 citoyens exclus du fichier électoral national pour défaut d’empreintes digitales après leur enrôlement au cours de la campagne d’inscriptions qui s’est achevée le 31 août dernier sont réhabilités. Le directeur général des élections a communiqué l’information aux autres acteurs du processus électoral au cours de la plateforme de dialogue qui les réunit depuis le 26 novembre dernier. Conséquence immédiate, le nombre d’électeurs inscrits en 2024 passe de 755 085 électeurs à 875 085 électeurs. Le fichier électoral national pour sa part contient pour le moment 8 236 960 électeurs.
Cette réintégration des citoyens dans le fichier électoral vient à la suite de nombreuses dénonciations dont cette du président national du MRC. Au cours de plusieurs sorties, Maurice Kamto a fustigé la purge ciblant les zones où son parti a bénéficié d’un pus grand nombre de votes lors de la présidentielle de 2018. L’opposant a vu en cette exclusion d’électeurs un moyen pour Elecam de participer à la réduction du nombre de ses électeurs potentiels. Pourtant, le MRC n’était pas le seul parti concerné.
Cette décision pourrait crédibiliser davantage Elections Cameroon, organe chargé de l’organisation matérielle des élections qui, ces derniers temps, est accusé de tentatives de fraude et de violation de la loi. Choses que e directeur général des élections conteste.
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