Société
Annie Anzouer en larmes après des menaces en ligne : une icône de la musique camerounaise prise pour cible
Annie Anzouer, l’une des matriarches de la musique camerounaise à fondu en larmes dans une vidéo sur la toile, après avoir reçu une menace.
Une internaute nommée Laure Kameni aurait déclaré que Annie Anzouer sera bastonnée car elle a accepté la main tendue de Valsero pour sa prochaine sortie musicale. Une intervention que maman Annie Anzouer n’a pas supporté et elle a éclaté en sanglots. Dans une petite vidéo, elle s’insurge contre cette sortie et ne comprends pas pourquoi elle reçoit de la haine malgré le travail acharné qu’elle effectue.
« Depuis 1990 que j’ai commencé à faire les tournées avec les zangalewa, j’ai chanté « maladie difficile », je l’ai écrite, je l’ai même chanté en ma langue, je n’ai jamais eu 05 francs des droits d’auteur parce que les autres se sont accaparés de tout. J’ai chanté « un petit bébé » et pleins d’autres chansons mais je n’ai jamais été reconnue.
Donc pourquoi je dois refuser la main tendue ? Depuis mon retour au Cameroun je me bats comme je peux et j’ai toujours tendu la main aux autres, personne ne m’a aidé. Le seul vrai cachet que j’ai reçu m’ai venu de la Guinée Equatoriale, en dehors de ça, on ne m’a jamais payé plus d’un million.
Valsero m’a payé le studio pour que je puisse sortir une chanson, je n’ai pas une relation particulière avec lui. Et j’ai accepté. Est-ce que je mérite des menaces comme ça? Alors que j’essaye de nourrir mes enfants et mes petits enfants! Est-ce que vous mesurez même la portée des paroles que vous sortez de vos bouches? » a-t-elle déclaré en sanglots.
Le public et de nombreuses stars se sont déversés sur sa page pour lui apporter du soutien. Beaucoup lui demande de ne jamais considérer les paroles sur Internet, encore moins d’une personne lambda, alors qu’elle est toute une icône. D’autres lui envoie tout leur amour et bénédictions.
On peut juste voir la sensibilité de cette maman qui garde encore son coeur pur dans une société en décadence. Elle a versé son ras-le-bol qu’elle vit depuis de nombreuses années en silence. Le public reconnait toutefois, qu’Internet est devenu un foutoir où n’importe qui pense avoir le droit de parler comme il veut à qui il veut. Regrettable!
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Société
Djibril Cissé condamné pour abus de biens sociaux : un verdict qui le soulage partiellement
L’ex-international Français Djibril Cissé est épinglé pour abus de biens sociaux et omission d’écriture comptable.
L’ancien attaquant était soupçonné notamment de blanchiment de fraude fiscale, abus de biens sociaux et omission d’écriture comptable. Le tribunal correctionnel de Bastia a rendu son verdict ce mercredi.
Relaxé pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale, l’ex-international français Djibril Cissé a par contre été condamné à huit mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende.
Selon Cnews, l’histoire a commencé lorsqu’une société par action simplifiée unipersonnelle (SASU) domiciliée à Furiani (Haute-Corse), lieu de résidence en Corse de l’ancien attaquant du Sporting Club de Bastia, a été épinglée par la justice. Alors que l’entreprise a été placée en liquidation judiciaire en 2020, le compte courant associé restait débiteur de 550.000 euros, ce qui constitue, selon l’accusation, des abus de bien sociaux.
L’enquête considérait qu’il n’avait pas déclaré cette somme à l’administration fiscale, ce qui fondait les poursuites pour blanchiment de fraude fiscale : « Il a transféré de l’argent sur ses comptes bancaires », avait avancé le procureur.
L’enquête faisait également état d’une créance fiscale de 230.000 euros pour absence de déclaration de TVA et d’impôt sur les sociétés. Pour l’avocat de la défense, la micro-entreprise servait à gérer les revenus liés à l’image de Djibril Cissé, au moment de sa reconversion comme DJ et consultant football pour la télévision.
«Il subit ce dossier depuis des années. Il doit des sommes énormes à l’administration fiscale. Il ne peut pas y avoir de blanchiment puisqu’il n’y a pas de fraude fiscale. Il a eu des difficultés avec le cabinet comptable qui n’a pas bien géré le dossier et ne l’a pas informé», avait argumenté Me Malcolm Mouldaïa.
« J’ai toujours dit que je n’avais pas fraudé le fisc et la justice m’a donné raison », a souligné Cissé.
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Société
La BEAC accélère la construction de son agence à Ebolowa : un projet clé pour le Sud du Cameroun
Yvon Sana Bangui, gouverneur de la Banque centrale des pays de la Cemac (BEAC) a visité ce chantier le 9 novembre 2024.
La pose de la première pierre pour la construction de cet édifice a été effectuée par le Premier ministre (PM) Joseph Dion Ngute le 20 septembre 2020 représentant personnel du chef de l’Etat camerounais à cette cérémonie. Le bâtiment initialement devait sortir de terre dans les 24 mois qui suivaient.
Après plusieurs années de retard, l’entreprise est sommée de finaliser la construction de l’agence BEAC d’Ebolowa, dans le Sud du Cameroun, d’ici la fin de l’année 2025. Il s’agit de la société Africa Corporation (Afcorp), filiale du groupe tchadien Sner spécialisée dans le BTP.
« Aujourd’hui, je réaffirme la pleine volonté de la banque centrale d’apporter à la région du Sud cette infrastructure moderne dont nous espérons qu’elle soit finalisée dans les meilleurs délais. Ce sera une contribution majeure de la banque centrale à la vision des plus hautes autorités de la République.. », a souligné le Gouverneur de la BEAC.
« Nous y contribuerons pour dynamiser le secteur bancaire afin de renforcer les transactions financières et créer des opportunités dans la région du Sud qui dispose d’un grand potentiel. Nous rentrons satisfaits du concept, mais nous y reviendrons tout en espérant que les instructions données aux différentes entreprises seront suivies, pour que dans les meilleurs délais, nous puissions revenir avec les plus hautes autorités de la République pour consacrer l’inauguration de ce bâtiment » a déclaré le responsable de la Beac.
La ville d’Ebolowa vient ainsi rejoindre les localités qui abritent une agence Beac au Cameroun. Outre la capitale Yaoundé qui accueille le siège régional et le siège national de la Beac, l’institut d’émission compte également des immeubles dans plusieurs autres villes, entre autres : Douala, Bafoussam, Garoua, Nkongsamba et Limbé.
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Société
Yaoundé : un chauffeur de taxi aux arrêts après avoir simulé sa mort
L’arrestation de Noumbiap Nzeale Edwin, un chauffeur de taxi de Yaoundé, après avoir simulé sa propre disparition, a fait l’effet d’une onde de choc dans la capitale camerounaise. Cet incident intervient alors que des inquiétudes croissantes sur la sécurité des chauffeurs de taxi ont envahi la ville, accentuées par des rumeurs d’enlèvements et de meurtres qui se répandent sur les réseaux sociaux.
Après plusieurs jours d’absence inexpliquée, Noumbiap a été retrouvé par la police du commissariat central numéro 1 de Yaoundé. Sa disparition avait poussé beaucoup de personnes, y compris sa famille, à croire qu’il avait été victime de la récente série d’enlèvements de chauffeurs de taxi. Cependant, Noumbiap a déclaré aux autorités qu’il n’avait ni été enlevé ni tué, mais qu’il avait choisi de se retirer momentanément chez un ami pour « se calmer et se préparer pour la nouvelle année ».
Pendant son absence, des rumeurs alarmantes concernant son enlèvement et sa mort présumée se sont intensifiées sur les réseaux sociaux, évoquant même une demande de rançon. Cet épisode a nourri les craintes des familles et des conducteurs de taxi de Yaoundé, déjà sur leurs gardes face aux rapports d’enlèvements.
Le commissaire Thierry Medou du commissariat central numéro 1 a vivement critiqué la propagation de ces informations non fondées, signalant l’impact néfaste de ces rumeurs sur la communauté. « Certains individus diffusent de fausses informations sur les enlèvements et assassinats de chauffeurs de taxi à Yaoundé, sans que leurs intentions soient claires », a-t-il déclaré.
Face à cette situation tendue, le sous-préfet du département du Mfoundi, Mariel Emmanuel, a également pris la parole pour réfuter les allégations selon lesquelles 40 chauffeurs de taxi auraient été tués dans la région. « Ils n’ont jamais tué 40 chauffeurs de taxi à Yaoundé », a-t-il affirmé, en dénonçant les tentatives de manipulation des faits.
En réponse à la propagation de fausses informations, les autorités ont averti que toute personne diffusant des rumeurs infondées ferait face à des poursuites judiciaires. La présentation de Noumbiap, sain et sauf, vise à rassurer les habitants de Yaoundé et à mettre fin aux spéculations.
Dans ce contexte marqué par la peur et la désinformation, les syndicats de transport et les autorités locales redoublent d’efforts pour rétablir un climat de sécurité et restaurer la confiance des conducteurs et des usagers dans les transports urbains.
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