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Sénat : Le président très incertain pour la session de novembre

ange1poireau

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Sénat : Le président très incertain pour la session de novembre
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Les sénateurs vont se réunir le 12 novembre prochain à 16 heures pour une session ordinaire à Yaoundé. « Conformément aux dispositions de l’article 4 de la loi n°2013/06 du 10 juin 2013 portant règlement intérieur du Sénat, susvisées et ses modificatifs subséquents, le Sénat est convoqué en sa troisième session ordinaire de l’année législative, le mardi 12 novembre 2024 à 16 heures », peut-on lire dans un arrêté signé par le Premier Vice-président de la Chambre Haute, Aboubakary Abdoulaye.

Au cours de cette dernière session ordinaire de l’année législative 2024, les sénateurs se réuniront et devraient plancher sur les projets de loi et affaires courantes. Du côté de l’Assemblée nationale, la date de la session ordinaire de Novembre 2024 est aussi fixée sur le mardi, 12 Novembre 2024 à 11h.

Si dans la Chambre basse l’on est plus sûr que les travaux de cette dernière session ordinaire de l’année législative en cours seront conduits et présidés par le Très honorable Cavaye Yeguie Djibril en personne, il n’en est rien du côté Senat où plane l’ombre d’une absence probable du président Marcel Niat Njinfenji, âgé de 91 ans et de plus en plus affaibli par la maladie.

Marcel Niat Njinfenji : Un « dinosaure en voie d’extinction » 

Un « dinosaure en voie d’extinction » C’est ainsi que, dans un article paru début mars 2024, l’hebdomadaire Jeune Afrique qualifiait Marcel Niat Njifenji. Président du Sénat camerounais depuis sa création en 2013, Marcel Niat Njifenji aura 90 ans en octobre prochain. Il sombre depuis, dans des problèmes de santé. Le président du Sénat est à l’étranger la plupart du temps et communique moins sur ses déplacements. Selon les indiscrétions, Marcel Niat Njifenji serait à nouveau hospitalisé hors de notre pays depuis 03 mois. Il y a une semaine, de rumeurs très vite démenties par se proches, alléguaient son passage à trépas.

L’on se souvient qu’au courant mars 2024, le dauphin constitutionnel est revenu au Cameroun, après plusieurs autres mois d’absence pour cause de maladie, le temps d’être réélu à la tête du Sénat. Marcel Niat Njifenji, a donc été réélu pour la 11e fois au poste du président du Sénat du Cameroun. Mais depuis quelques temps, il est de moins en moins présent et l’essentiel du travail dans cette institution est abattu par le Premier Vice-président.

Marcel Niat Njifenji du Sénat et Paul Biya - DR
Marcel Niat Njifenji et Paul Biya – DR

L’absence du numéro 2 camerounais avait fait des vagues quand il a manqué deux rendez-vous importants en début d’année. Il s’agit de la cérémonie des vœux au président en janvier et l’ouverture de la session parlementaire, le 6 mars 2024.

La présidence lui refuse, cependant, la retraite selon des proches, affirmant qu’à maintes reprises, Marcel Niat Njifenji a fait part à Paul Biya de son épuisement. Mais celui-ci aurait refusé de le démettre de ses fonctions.

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Micro finance : la Cobac veut lever les obstacles réglementaires

ange1poireau

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Micro finance : la Cobac veut lever les obstacles réglementaires
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Plafonnement des crédits, agrément des dirigeants, alignement des systèmes d’informations…le gendarme du secteur financier sous régional a recensé les difficultés rencontrées par  les établissements de micro finance dans la mise en œuvre de la réforme de 2017 et du nouveau système de reporting, au cours d’une concertation à Douala.

Plus de 120 Etablissements de Micro Finance (EMF) de la zone Cemac ont donné leur avis sur la mise en œuvre du cadre règlementaire dans le secteur.  Entré en vigueur en 2017, le règlement Cobac (Commission bancaire de l’Afrique centrale) peine en réalité à être appliqué par de nombreux EMF. Face à ce constat, la Cobac a décidé de réunir les acteurs du secteur pour un dialogue franc de deux jours, qui s’est tenu à Douala du 11 au 12 novembre dernier.

Les discussions ont mis en évidence diverses difficultés  exprimées par les EMF dans la mise en  œuvre de cette réglementation.  Ces difficultés portent entre autres sur la prise obligatoire des participations par les affiliés dans le capital  des organes constitués, le plafonnement des crédits, l’agrément des dirigeants, la mise à jour des plans comptables des EMF, le mode de facturation de l’assistance technique etc.

  Sur la  réforme du système de reporting des EMF dénommé sésame 4.0, les acteurs disent éprouver du mal avec l’alignement de certains systèmes d’informations aux nouvelles exigences. Des préoccupations sont aussi soulevées sur la nouvelle sectorisation des clients, la gestion des créances en souffrance etc. Les EMF ont  ainsi demandé des formations sur le nouveau système de reporting.

En réponse, la Cobac promet un accompagnement optimal dans l’implémentation de cet outil. De même, les responsables de cette institution promettent la prise en compte des préoccupations soulevées globalement par les EMF, tout en les appelant à faire des efforts pour appliquer la réglementation qui reste bénéfique pour leur secteur d’activités.  La réforme  de 2017 a en effet  été  élaborée pour améliorer la gestion des risques des EMF. Elle introduit de nouveaux éléments tels qu’une réorganisation des catégories d’EMF, une harmonisation des formes juridiques avec les normes de l’OHADA, un  réajustement du capital social des EMF etc.

La démarche selon le secrétaire général de la Cobac vise à protéger les consommateurs et garantir l’équilibre du secteur. « Comme nous le savons tous, la microfinance n’est pas simplement une question de financement. Elle permet à des populations souvent marginalisées d’accéder à des services financiers, Notre mission, en tant qu’autorité de supervision, est d’encourager cet effort, tout en veillant à la sécurité et à la stabilité du secteur. La supervision vise en second lieu la stabilité et la solidité financière des institutions de microfinance », a indiqué Marcel Ondele.

 La rencontre a aussi permis d’aborder des questions liées à  la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, ainsi que la digitalisation du secteur financier.

Réactions

 Marcel ONDELE, SG de la COBAC 

« Notre rôle n’est pas seulement de réguler, mais aussi d’accompagner » 

« La croissance du secteur de la microfinance est significative et réjouissante, mais elle s’accompagne également de beaucoup d’exigences et de responsabilités. Nous devons veiller à ce que les EMF soient financièrement solides et bien gérées, capables de résister aux fluctuations économiques et aux chocs externes. Cela passe par la gestion rigoureuse des risques, le respect des régies prudentielles, et l’engagement envers une transparence financière exemplaire. Notre rôle est de les accompagner dans l’adoption de ces pratiques essentielles, en garantissant un cadre de supervision adapté aux spécificités du secteur, mais exigeant en matière de discipline financière.  Enfin, nous ne pouvons ignorer l’impact croissant de la digitalisation et de l’innovation sur le secteur financier, et plus particulièrement dans le domaine de la microfinance. Les nouvelles technologies offrent des opportunités inédites pour atteindre un plus grand nombre de clients, réduire les coûts et améliorer l’efficacité opérationnelle. Toutefois, la transformation digitale doit être accompagnée de mesures de sécurité renforcées pour protéger les données des clients et prévenir les cyber risques. En tant qu’autorité prudentielle, nous soutenons l’innovation, tout en veillant à ce qu’elle respecte les normes de sécurité et de confidentialité les plus strictes. Je voudrais souligner que notre rôle n’est pas seulement de réguler, mais aussi d’accompagner. »

Clève Fortuné MPOUONGUI, DG Mecrecu Congo 

« Aujourd’hui, nous avons comblé le vide juridique »

Nous avons aimé l’approche du secrétaire général de la Cobac, l’approche d’accompagnement. Les Établissements de micro finance souffraient d’une carence en ce qui concerne la nouvelle réglementation, il y avait un vide. Et aujourd’hui nous avons comblé le vide et nous sommes satisfaits des réponses données par la cobac. Donc nos interrogations concernant la nouvelle réglementation 2017 ont reçu des réponses. Le vide était sur les réseaux. On exigeait aux EMF de première catégorie de se constituer en réseau et du coup on ne savait pas comment devait fonctionner ce réseau. Et par rapport aux réponses de la Cobac nous avons su comment fonctionne le réseau et comment fonctionne la faîtière ».

Hervé Blaise FEUNKE, DGA Focep

 « La Cobac va accompagner les Emf »

«  Nous  nous sommes beaucoup plus attardés sur les difficultés que les EMF rencontrent dans l’application de la réglementation de 2017 et la Cobac joue son rôle qui est de superviser les EMF qui veulent plus de facilités. Il y a certaines facilités sur lesquelles la Cobac est restée assez ferme par ce qu’il doit jouer son rôle de gendarme. Maintenant, sur la lutte anti blanchiment qui est une problématique internationale avec le terrorisme,  la micro finance est obligée de se conformer à la réglementation anti blanchiment. Et il faudrait que dans tous les EMF, ce dispositif soit présent pour qu’on se rassure que tous les fonds qui circulent sont sains. Ils ont rappelé que par rapport à cette réglementation au niveau national, la réglementation est plus forte par rapport à celle de la Cobac puisqu’ il y a l’Anif qui surveille les opérations d’un certain montant. Il y a la connaissance du client, la surveillance des transactions et le suivi de la conformité d’un certain nombre d’opérations. Un autre point c’est le reporting. La cobac a changé le système de reporting. On est passé de sésame 2 et aujourd’hui on est à sésame 4.0, un système où les EmF ne se sortent pas encore. Donc  en termes de recommandations, ils vont accompagner les Emf sur la maitrise de ce système et faciliter la transparence des activités »

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Cas de choléra confirmés dans la région de l'Extrême-Nord du Cameroun

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Cas de choléra confirmés dans la région de l'Extrême-Nord du Cameroun
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Les autorités sanitaires de la région de l'Extrême-Nord du Cameroun ont confirmé deux cas de choléra, suscitant des inquiétudes quant à une éventuelle épidémie dans la région. Quatre membres de la même famille ont été admis à l'hôpital le 8 novembre, présentant de graves symptômes de diarrhée, ce qui a conduit à cette confirmation.

Le laboratoire de l'Hôpital Régional de Maroua a analysé les échantillons des patients, confirmant deux cas positifs de choléra le 10 novembre. Le même jour, l'hôpital a admis trois personnes supplémentaires présentant des symptômes de diarrhée, intensifiant ainsi l'urgence de la situation sanitaire.

Les autorités ont déclaré les districts de Maroua 2 et Maroua 3 en état d'épidémie. L'épidémie est alarmante, mais aucun décès n'a été signalé à ce jour.

Les responsables de la santé appellent à des mesures préventives immédiates et à une vigilance accrue pour contenir la propagation de la maladie. Les résidents doivent suivre des protocoles d’hygiène stricts, notamment se laver fréquemment les mains et consommer de l’eau potable.

Le choléra est une maladie très contagieuse qui peut se propager rapidement dans les zones où les protocoles sanitaires ne sont pas suffisamment respectés. Une action rapide et la sensibilisation du public sont essentielles pour prévenir de nouveaux cas et garantir la sécurité des communautés touchées.

Mimi Méfo Infos

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Casinos en ligne gratuits au Cameroun : l’opportunité de jeu sans risque qui fait plaisir

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Casinos en ligne gratuits au Cameroun : l’opportunité de jeu sans risque qui fait plaisir
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Au Cameroun, le monde des casinos en ligne gratuits connaît une popularité croissante, attirant les amateurs de jeux de hasard et les curieux souhaitant découvrir les jeux de casino sans engager d’argent réel. Ce type de plateforme offre aux joueurs l’opportunité de s’entraîner, d’explorer différents jeux, et de tester des stratégies sans risque financier. Les casinos en ligne gratuits se révèlent particulièrement intéressants pour les Camerounais en quête de divertissement abordable et de qualité.

Il est donc important de comprendre dans les détails ce que c’est que le casino en ligne gratuit, les avantages, les types de jeux disponibles, et quelques conseils pour bien choisir une plateforme fiable.

Pourquoi les casinos en ligne gratuits attirent-ils les joueurs au Cameroun ?

Les casinos en ligne gratuits offrent de nombreux avantages aux joueurs camerounais. Contrairement aux casinos traditionnels, ces plateformes permettent d’accéder à une large variété de jeux de casino sans déposer d’argent, ce qui les rend très attrayantes pour les utilisateurs qui veulent découvrir le monde des casinos en ligne sans risque.

Avantages des casinos en ligne gratuits

  1. Découverte sans engagement financier : Les casinos gratuits permettent aux joueurs de tester une plateforme et d’explorer les jeux proposés sans dépenser d’argent. C’est un excellent moyen pour les nouveaux joueurs de s’habituer à l’interface du casino et aux règles des jeux.
  2. Possibilité de s’entraîner : Pour les Camerounais souhaitant acquérir de l’expérience et perfectionner leurs compétences, les casinos en ligne gratuits sont l’outil idéal pour s’entraîner, notamment pour des jeux de stratégie comme le blackjack et le poker.
  3. Accessibilité et diversité : Ces plateformes sont accessibles à tout moment, permettant aux joueurs de profiter des jeux en ligne depuis leur domicile ou leur téléphone portable. La plupart des casinos en ligne gratuits offrent un large choix de jeux, des machines à sous aux jeux de table comme la roulette et le blackjack.

Types de jeux disponibles dans les casinos en ligne gratuits au Cameroun

Les casinos en ligne gratuits proposent un large choix de jeux de hasard, allant des machines à sous aux jeux de table classiques, permettant aux joueurs de trouver des jeux adaptés à leurs goûts et à leur niveau d’expérience.

Machines à sous gratuites

Les machines à sous gratuites sont parmi les jeux les plus populaires sur les casinos en ligne au Cameroun. Avec des thèmes variés et des fonctionnalités attractives (comme les tours gratuits et les bonus), elles offrent une expérience de jeu immersive et divertissante sans aucun coût pour le joueur.

Jeux de table

Les amateurs de jeux de table peuvent trouver plusieurs options de jeux gratuits, comme le blackjack, la roulette, et le baccarat. Ces jeux permettent aux joueurs d’essayer des stratégies, de comprendre les règles et de se familiariser avec les dynamiques de chaque partie sans risquer de perdre de l’argent.

Vidéo poker et autres variantes de poker

Pour les passionnés de poker, le vidéo poker et d’autres variantes sont également disponibles gratuitement. Ces jeux offrent une approche plus stratégique et permettent aux joueurs d’apprendre différentes mains et combinaisons gagnantes.

Comment choisir un casino en ligne gratuit au Cameroun

Avec la diversité de casinos en ligne gratuits accessibles aux joueurs camerounais, il est important de bien choisir la plateforme pour profiter d’une expérience de jeu agréable et sécurisée. Voici quelques conseils pour choisir un casino en ligne gratuit fiable :

  1. Vérifier la licence et la régulation : Assurez-vous que le casino en ligne est réglementé par une autorité reconnue. Même pour les jeux gratuits, une licence garantit la sécurité et le respect des normes de protection des données.
  2. Consulter les avis et retours d’utilisateurs : Avant de s’inscrire, consulter les avis et témoignages d’autres joueurs camerounais peut donner une idée de la fiabilité du casino et de la qualité de son support client.
  3. S’assurer de la diversité de jeux : Un bon casino gratuit doit offrir une variété de jeux pour que chaque joueur puisse trouver des options qui l’intéressent, que ce soit les machines à sous, le poker, ou les jeux de table.
  4. Vérifier la compatibilité mobile : De nombreux joueurs au Cameroun préfèrent jouer sur leur téléphone portable. Assurez-vous que la plateforme est compatible avec les appareils mobiles pour une expérience fluide et pratique.
  5. Tester le service client : Un service client réactif est essentiel, même sur un casino gratuit. Un bon support peut répondre aux questions des joueurs et résoudre rapidement tout problème technique.

Les limites des casinos en ligne gratuits

Si les casinos en ligne gratuits présentent des avantages évidents, il est également important de prendre en compte leurs limitations :

  • Absence de gains réels : En jouant gratuitement, les gains réalisés ne peuvent pas être retirés, car les jeux gratuits sont souvent conçus pour l’entraînement et la découverte uniquement.
  • Publicités et incitations : Certains casinos gratuits affichent fréquemment des publicités ou encouragent les joueurs à passer aux jeux en argent réel, ce qui peut être intrusif pour certains utilisateurs.
  • Options de jeux parfois limitées : Bien que de nombreux jeux soient disponibles gratuitement, certaines fonctionnalités avancées ou versions de jeux de table en direct sont réservées aux joueurs en argent réel.

Pourquoi essayer les casinos en ligne gratuits au Cameroun ?

Les casinos en ligne gratuits représentent une excellente option pour tous les types de joueurs au Cameroun, qu’ils soient novices ou expérimentés. En permettant de jouer sans risque financier, ces plateformes offrent une solution de divertissement pratique, accessible et amusante. Elles permettent également aux jeunes Camerounais de se familiariser avec les règles des jeux, de tester de nouvelles stratégies et de se préparer pour une éventuelle transition vers des jeux en argent réel.

Que vous soyez intéressé par les machines à sous, les jeux de table, ou le poker, les casinos en ligne gratuits vous offrent une opportunité de jeu sans engagement et un accès simple aux jeux de casino depuis votre domicile ou en déplacement.

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