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Symbole d’unité et de fierté nationale

Le drapeau tricolore vert-rouge-jaune, frappé d’une étoile dorée en son centre, est bien plus qu’un simple morceau de tissu pour les Camerounais. Il incarne l’âme de notre nation, son histoire tumultueuse et ses aspirations. Alors que le pays se prépare à célébrer sa fête nationale, plongeons dans l’histoire fascinante de ce symbole qui fait battre le cœur de millions de Camerounais.
Une histoire tissée de luttes et d’espoir
Le drapeau camerounais, tel que nous le connaissons aujourd’hui, a été adopté le 20 mai 1975. Cependant, son histoire remonte bien plus loin. Chaque couleur, chaque élément de ce drapeau raconte une partie de notre parcours en tant que nation.
« Notre drapeau est un livre d’histoire à lui seul », explique le Pr. Emmanuel Tchawa, historien à l’Université de Yaoundé I. « Le vert représente les riches forêts du Sud, le rouge rappelle le sang versé pour notre indépendance, et le jaune symbolise le soleil et les savanes du Nord. »
L’étoile dorée au centre, quant à elle, est un ajout plus récent. Elle symbolise l’unité nationale et l’aspiration du Cameroun à briller sur la scène internationale.
Un symbole omniprésent dans la vie des Camerounais
Du sommet du Mont Cameroun aux rues animées de Douala, le drapeau national est un compagnon fidèle des moments de joie et de fierté collective. On le voit flotter lors des matchs des Lions Indomptables, orner les bâtiments officiels, et même s’afficher fièrement sur les taxis-brousse sillonnant le pays.
« Chaque fois que je vois notre drapeau, je ressens un mélange de fierté et de responsabilité », confie Marthe Ngo Nkot, enseignante à Bafoussam. « C’est un rappel constant de notre identité et de nos valeurs communes. »
Pour ceux qui souhaitent arborer fièrement les couleurs nationales, il est possible d’acheter un drapeau du Cameroun de qualité, fabriqué dans le respect des normes officielles.
Au-delà des frontières : le drapeau camerounais dans le monde
Le drapeau camerounais ne se contente pas de flotter sur le sol national. Il voyage à travers le monde, porté par nos diplomates, nos sportifs et notre diaspora.
Lors des Jeux Olympiques ou de la Coupe d’Afrique des Nations, le vert-rouge-jaune devient un point de ralliement pour les supporters camerounais du monde entier. C’est un moment où la fierté nationale atteint son paroxysme.
« Voir notre drapeau hissé lors d’une cérémonie internationale, c’est comme si tout le Cameroun était honoré », s’enthousiasme Joseph Mbarga, fan inconditionnel des Lions Indomptables.
Préserver et transmettre : l’importance de l’éducation civique
Face à l’importance du drapeau national, de nombreuses voix s’élèvent pour renforcer l’éducation civique autour de ce symbole.
« Il est crucial que nos jeunes comprennent la signification profonde de notre drapeau », insiste Mme Françoise Etouak. « C’est un héritage que nous devons transmettre avec fierté et responsabilité. »
Des initiatives comme la « Semaine du Drapeau » dans les écoles ou des concours de dessins patriotiques contribuent à ancrer le respect du drapeau dans les jeunes générations.
Un tissu, mille émotions
Le drapeau camerounais est bien plus qu’un simple emblème national. Il est le témoin silencieux de notre histoire, le gardien de nos valeurs et le porte-étendard de nos ambitions. Qu’il flotte au vent lors d’une cérémonie officielle ou qu’il orne modestement la façade d’une école de village, il rappelle à chaque Camerounais son appartenance à une nation riche, diverse et résolument tournée vers l’avenir.
Alors, la prochaine fois que vous verrez ces bandes vert-rouge-jaune onduler dans le ciel camerounais, prenez un moment pour réfléchir à tout ce qu’elles représentent. Car dans chaque pli de ce tissu se cache l’âme vibrante de notre belle nation.
Par Christiane Tamoura Engo pour 237online.com
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Présidentielle 2025 : L’UMS de Pierre Kwemo n’a pas investi Maurice Kamto

Maurice Kamto ne sera finalement pas le candidat de l’Union des mouvements socialistes (UMS) comme l’ont annoncé des informations ayant pour source le lanceur d’alertes Boris Bertolt. Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) se trouvait d’ailleurs à mille lieux de Yaoundé où se tenait le meeting de l’UMS. Maurice Kamto entretenait la diaspora camerounaise réunie à Paris, place de la République, sur les enjeux de la future élection présidentielle au Cameroun, prévue en octobre prochain.
Au Palais des Congrès de Yaoundé, les militants de l’UMS ont jeté leur dévolu sur leur président Pierre Kwémo. Le maire de Bafang sera donc le candidat de l’UMS pour la prochaine élection présidentielle au Cameroun. Et dans la foulée de son investiture, Pierre Kwémo a indiqué qu’il ne ferra de coalition qu’avec les candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Coupant l’herbe sous les pieds de ceux qui, malgré l’absence de Maurice Kamto à ce congrès, croyaient aux informations de Boris Bertolt, réputé proche du leader du MRC. C’est que ce congrès intervient dans un contexte marqué par le sempiternel débat sur la nécessité d’une candidat unique de l’opposition, mais aussi et surtout, la personne de Maurice Kamto dont la candidature fait débat, en raison de ce que son parti, le MRC, n’est pas allé aux législatives et municipales de 2020. Sauf qu’entre temps, des élus d’autres partis, notamment ceux du Social democratic front (SDF), ont démissionné de leur parti pour rejoindre le MRC. Amplifiant le débat sur la nullité du mandat impératif.
Alors que ce débat fait rage sur l’espace public, et que le gouvernement avec au premier rang Paul Atanga Nji le ministre de l’Administration territoriale (Minat), a déjà indiqué clairement que Maurice Kamto s’est disqualifié lui-même de la prochaine présidentielle, la possibilité pour Maurice Kamto de se faire investir par un autre parti, fait son chemin. Ce ne sera pas l’UMS. Pour le moment. Pierre Kwémo, lui, s’aligne derrière la foultitude de candidats qui se sont déjà déclarés en course pour Etoudi.
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Sidi Ould Tah prend les rênes de la BAD dans un contexte de turbulences financières

(Defis Actuels) – La Banque africaine de développement (BAD) a un nouveau président. Sidi Ould Tah, ancien ministre mauritanien de l’Économie, a été élu ce jeudi 29 mai à la tête de la prestigieuse institution, à l’issue de trois tours de scrutin organisés à Abidjan, siège de la banque. Avec 76,18 % des voix, il a nettement devancé ses concurrents, notamment le Zambien Samuel Munzele Maimbo (20,26 %) et le Sénégalais Amadou Hott (3,55 %).
L’élection, qui exigeait une double majorité – celle des pays membres et celle des pays africains –, a clairement tourné à l’avantage de M. Tah, qui a recueilli plus de 72 % des suffrages africains. Ce large soutien traduit un consensus autour de sa candidature et de son parcours à la tête de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), qu’il a dirigée pendant une décennie.
Un mandat placé sous haute pression
La prise de fonction de M. Tah intervient à un moment critique pour la BAD. L’institution, fondée en 1964 et comptant aujourd’hui 81 membres (dont 54 africains), doit composer avec un environnement international incertain. L’annonce récente du retrait des États-Unis de leur contribution au Fonds africain de développement – estimée à 500 millions de dollars – met sous tension sa capacité d’intervention, notamment dans les pays à faible revenu.
Le nouveau président devra ainsi rapidement rassurer les partenaires techniques et financiers tout en préservant la dynamique impulsée par son prédécesseur, le Nigérian Akinwumi Adesina. Sous ce dernier, la BAD s’est imposée comme un acteur financier global, doublant ses ambitions et triplant son capital souscrit, passé de 93 à 318 milliards de dollars en dix ans.
La continuité dans le changement
Sidi Ould Tah hérite également d’un agenda stratégique structuré autour des « High 5 », les cinq priorités définies par M. Adesina : éclairer l’Afrique, la nourrir, l’industrialiser, l’intégrer et améliorer la qualité de vie des populations. Ces axes ont permis de toucher 565 millions d’Africains à travers des projets d’envergure, tels que la plus grande station d’épuration d’Afrique à Gabal el Asfar (Égypte), le pont Sénégambien, l’extension du port de Lomé (Togo) ou encore des initiatives d’électrification au Kenya.
Le nouveau président pourra s’appuyer sur cette assise pour tracer sa propre voie, en veillant à renforcer l’impact de la banque face aux défis du financement du développement durable et de la résilience des économies africaines.
Une élection stratégique, des équilibres diplomatiques
Le scrutin de jeudi à Abidjan a révélé l’importance des équilibres diplomatiques et du poids des contributions au capital. Les voix des grands actionnaires africains (Nigeria, Égypte, Algérie, Afrique du Sud, Maroc) ainsi que celles des partenaires non-régionaux comme les États-Unis et le Japon ont été décisives dans le basculement des alliances en faveur de M. Tah.
À travers cette élection, la BAD confirme sa vocation d’institution continentale au service de la transformation économique de l’Afrique, mais aussi sa capacité à peser dans les rapports de force internationaux. Reste désormais à son nouveau dirigeant de faire valoir cette influence dans un contexte géopolitique marqué par le repli de certains bailleurs et la montée des besoins de financement structurels sur le continent.
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Fécafoot : le chien aboie, Samuel Eto’o passe

« Je ne cède pas au chantage». En ces termes clairs prononcés dans son discours d’ouverture à l’assemblée générale extraordinaire de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) le 24 mai dernier, Samuel Eto’o le président de l’instance faîtière du football camerounais, a opposé une fin de non-recevoir aux présidents de clubs qui réclament le paiement des subventions dues aux clubs professionnels, ainsi que les contestations concernant l’arbitrage des matchs des championnats d’élite.
Samuel Eto’o en a un autre regard: « Malgré un contexte peu favorable marqué par des attaques de toutes parts, nous avons réussi le pari de l’organisation d’un championnat attractif et compétitif», contrarie-t-il ses pourfendeurs. » Malheureusement certains acteurs nostalgiques d’une époque où de petits arrangements au détriment de l’intérêt commun ont voulu saborder nos efforts. Certains ont voulu boycotter notre championnat« , regrette-t-il. « Vous pouvez vous rendre compte : notre championnat se joue normalement. Je peux vous rassurer que nous irons jusqu’au bout selon les règles fixées« , défie-t-il les partisans du boycott. Mieux »en dépit des obstacles, nous enregistrons des succès Ils n’ont pas réussi« , assure-t-il.
Parlant des cas Djiko FC de Bandjoun et Bamboutos FC de Mbouda qui ont décidé de se retirer du championnat Élite one. Bamboutos FC a finalement repris après deux matchs manqués, grâce aux négociations d’élites de l’Ouest. Pour Samuel Eto’o, il s’agit d’agitations d’acteurs qui refusent de s’arrimer aux exigences du football professionnel.
2,8 milliards CFA pour le fonctionnement du cabinet d’Eto’o
Et du coup, le patron du football camerounais n’envisage pas (encore) à verser aux clubs des championnats professionnels la subvention qu’ils réclament, malgré que l’Etat ait déjà débloqué sa quote-part dans cette rubrique, soit la somme de 560 millions Fcfa. Rien à dire au sujet des primes de sponsoring. D’ailleurs, si le budget de la Fécafoot a finalement été adopté en plein milieu d’exercice, des pans entiers de ce budget restent secrets. Comme cette rubrique du financement des championnats professionnels. On se contentera de savoir que dans un budget de 7,9 milliards Fcfa, le cabinet du président de la Fécafoot ponctionnera 2,8 milliards Fcfa.
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