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Un nouveau-né sauvé d’une mort imminente à Douala

ange1poireau

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Un nouveau-né sauvé d’une mort imminente à Douala
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Un acte de solidarité et de vigilance a permis de sauver la vie d’un nouveau-né, prénommé Ange Marie Benie, dans le quartier de Bonamoussadi, Bonanga à Douala.

Le matin du mardi 20 août, une résidente du quartier, Paulette, a fait une découverte bouleversante. Alors qu’elle emmenait son fils à des cours de vacances, ce dernier a attiré son attention sur un bébé couché au bord de la route, couvert de boue et exposé aux éléments.

Paulette a rapidement alerté les habitants du quartier, qui se sont rassemblés pour secourir l’enfant. Selon des témoins, le nourrisson aurait été abandonné aux alentours de 2 heures du matin. Lors de sa découverte, l’enfant avait déjà subi les effets d’une forte pluie. Immédiatement enveloppé dans une serviette, le bébé a été transporté en urgence à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires.

Thierry, un autre habitant ayant participé au sauvetage, a expliqué les premières actions entreprises pour réchauffer et stabiliser le nouveau-né. « Quand je suis arrivé, le bébé ne pleurait pas. Nous l’avons emmené à l’hôpital pendant que d’autres femmes lui fournissaient des vêtements, un biberon, et une bouilloire pour la nettoyer. Nous ne pouvions pas la baigner car elle avait très froid, alors nous l’avons simplement essuyée », a-t-il raconté.

À l’hôpital, le personnel médical a rapidement pris en charge Ange Marie Benie, réalisant une série de tests pour évaluer son état de santé. Malgré les circonstances dramatiques de son abandon, l’infirmière en charge a informé Equinoxe TV que tous les résultats étaient négatifs et que le bébé ne présentait aucune blessure visible, bien qu’il ait initialement eu du mal à respirer.

L’identité de la personne ayant abandonné le bébé reste inconnue, tout comme les raisons qui ont conduit à cet acte désespéré. Cependant, la communauté de Bonamoussadi s’est mobilisée pour offrir à Ange Marie Benie un nouveau départ, marquant ainsi un élan d’espoir et de solidarité dans une situation tragique.

Ce geste de sauvetage restera gravé dans les mémoires, témoignant de la force collective d’une communauté prête à protéger les plus vulnérables.

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Le chef de centre régional des impôts du littoral a mis sur pieds une vaste opération d’arnaques des contribuables 

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Le chef de centre régional des impôts du littoral a mis sur pieds une vaste opération d’arnaques des contribuables 
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Le chef de centre régional des impôts du littoral a mis sur pieds une vaste opération d’arnaques des contribuables

Il s’appelle : NKONO JEAN MARTIAL En effet, depuis le début de cette année fiscal, il procède avec l’assistance d’une équipe de son cabinet et le chef de la brigade des enquêtes et recherches par la convocation des contribuables.

 

Dans la lettre convocation comme vous trouverez ci joint , il déclare sans la moindre preuve que le contribuable a fait des importations dans les déclarer ou à fait des importations par des prêtes noms.

 

Immédiatement il demande des fortes sommes d’argent allant de 5 à 10 millions de francs. Deux jours au plutard quand le contribuable ne satisfait pas à sa demande , il envoie les agents , aidé par la police chargé de la sécurité à l’entrée de la recette des finances apposer des scellés chez le contribuable.

 

Cs scellés sont apposés sans aucun « procès verbal de démérite »,Ils ne remette aucun document au contribuable. Le contribuable qui n’a aucune notification de redressement, sans aucun document attestant qu’il est scellé se soumet obligatoirement à la négociation.

BORIS BERTOLT

 

 

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Dr Rose Manto: Les femmes ne doivent plus s’asseoir sur le kiki de leur hommes pendant l’acte

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Dr Rose Manto: Les femmes ne doivent plus s’asseoir sur le kiki de leur hommes pendant l’acte
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Elle met en garde contre une pratique intime risquée :

« Lorsque la femme est assise sur l’homme, cela peut entraîner une fracture du pénis. J’ai déjà eu plusieurs cas. (…) Si la prise en charge n’est pas rapide et adéquate, cela peut causer une déformation, des troubles érectiles, voire des douleurs chroniques. C’est une position à proscrire. »

 

Face à ces risques, elle recommande aux hommes de ne plus accepter cette position pour éviter d’éventuelles complications.

 

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Les bamilekés ne devraient pas avoir honte de soutenir le combat contre la dictature de Paul Biya 

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Les bamilekés ne devraient pas avoir honte de soutenir le combat contre la dictature de Paul Biya 
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Même si l’indépendance a été concédée à ceux qui n’en voulaient pas, il est un fait indéniable que les Bamiléké, aux côtés du peuple Bassa, ont payé le tribut le plus lourd, avant et après 1960. Ils ne se sont pas levés pour leurs villages, mais pour le Cameroun tout entier. Et chaque goutte de sang suintant d’un bras sectionné, d’une jambe arrachée, d’une tête tranchée… chaque cri de femme et d’enfant fauché sous le napalm… chaque supplicié laissé pour mort dans les collines embrasées… tout cela, c’était pour le Cameroun.

Aucun combat politique d’envergure nationale ne s’est mené au Cameroun sans l’implication des Bamiléké. Et à chaque fois, ils ont payé le prix du sang. Ils ont été massivement derrière Um Nyobé, un Bassa. Ils ont été massivement derrière Fru Ndi, un fils de la Mezam.

De même, des Bamiléké ont massivement adhéré à l’UNC, puis au RDPC, que certains soutiennent encore aujourd’hui. La majorité des hommes d’affaires Bamiléké sont d’ailleurs militants de ce parti. Car oui, il y a toujours eu deux types de Bamiléké : ceux qui, pour protéger leurs affaires, s’arrangent avec le pouvoir en place, et ceux qui, sentant le poids de la mauvaise gouvernance sur l’économie, donc sur leurs entreprises et leurs familles, se lèvent pour le pays.

Ainsi, que les Bamiléké se dévouent aujourd’hui au combat politique porté par Maurice Kamto n’a rien d’exceptionnel. Comme toujours, ils sont là, là où l’histoire s’écrit, là où l’avenir se joue. Je ressens une fierté immense d’appartenir à un peuple qui sait porter des causes plus grandes que lui, un peuple qui refuse de plier sous l’autoritarisme et la dictature.

Pourquoi, en effet, ceux qui ont lutté contre la domination coloniale française hier devraient-ils éprouver la moindre honte ou la moindre crainte à combattre aujourd’hui le nouveau visage de cette même colonisation, incarnée par Biya et sa clique de villageois ?

En 2011, faut-il le rappeler, sept candidats issus de l’aire culturelle Bamiléké ont pris part à l’élection présidentielle. Pourtant, jamais la ferveur populaire des Grassfields ne s’est cristallisée autour de l’un d’eux. En additionnant les suffrages qu’ils ont obtenus, on arrive à 2,14 % – fraude électorale incluse.

Cela prouve, s’il le fallait encore, que les choix politiques du peuple Bamiléké ne sont pas dictés par une proximité sociologique, mais par un intérêt qui dépasse les liens tribaux et sanguins.

 

Les accuser aujourd’hui de soutenir « le frère du village », alors qu’ils ont trouvé en Maurice Kamto ce qu’ils avaient trouvé hier en Osende Afana, Um Nyobé ou John Fru Ndi pour certains, en Ahidjo et Paul Biya pour d’autres, c’est faire preuve d’une malveillance crasse.

 

Frères et sœurs Bamiléké, le combat politique au Cameroun est inscrit dans votre ADN, ancré dans la lignée de vos ascendants, de génération en génération.

 

N’ayez pas honte de soutenir celui qui, à vos yeux, représente aujourd’hui la meilleure chance pour le Cameroun.

Quand le combat fut porté par un Bassa, vous l’avez soutenu.

Quand il fut porté par un Bulu, vous l’avez soutenu.

Quand il fut porté par un fils de la Mezam, vous l’avez soutenu.

Alors, ne vous abstenez pas de soutenir la lutte démocratique en cours au Cameroun, parce qu’elle est portée par Maurice Kamto.

 

Kand Owalski

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