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Le parti travailliste remporte une victoire historique aux élections générales au Royaume-Uni avec Keir Starmer au poste de Premier ministre

ange1poireau

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Le parti travailliste remporte une victoire historique aux élections générales au Royaume-Uni avec Keir Starmer au poste de Premier ministre
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Keir Starmer est devenu le nouveau Premier ministre du Royaume-Uni après la remarquable victoire électorale du Parti travailliste aux élections générales. Alors que cinq sièges restent à attribuer, le Parti travailliste a déjà obtenu 411 sièges, dépassant largement les 326 sièges nécessaires pour une majorité. Cette victoire retentissante marque un tournant important dans la politique britannique, les conservateurs subissant leur plus lourde défaite à ce jour.

S’adressant à ses partisans au Royal Festival Hall de Londres, Starmer a exprimé sa joie et reconnu l’importance de la victoire du Parti travailliste. « Les gens se réveilleront en apprenant la victoire du Parti travailliste et la défaite des Conservateurs, soulagés qu’un poids leur ait été enlevé et qu’un fardeau leur ait enfin été retiré », a déclaré Starmer. L’orateur a promis d’ouvrir une nouvelle ère de changement, soulignant l’importance du renouveau national et exprimant son engagement à reconstruire le pays. Il a toutefois reconnu les difficultés qui l’attendaient, soulignant que le chemin vers la transformation serait loin d’être simple.

Rishi Sunak, qui songe à la soirée désastreuse pour les conservateurs, a pris conscience de la piètre performance de son parti aux urnes. Cette élection a été un coup dur pour le Parti conservateur, puisque plusieurs personnalités de premier plan, dont l’ancienne Première ministre Liz Truss, ont perdu leur siège.

L’ampleur de la défaite du Parti conservateur est devenue évidente lorsque des personnalités de premier plan comme Jacob Rees-Mogg, Alex Chalk, Gillian Keegan, Johnny Mercer, Penny Mordaunt et Grant Shapps n’ont pas réussi à remporter leurs circonscriptions respectives. Bien qu’il ait conservé son siège à Braintree, le ministre de l’Intérieur James Cleverly a profité de l’occasion pour critiquer le Parti réformiste, affirmant que les solutions proposées aux problèmes difficiles étaient trop simplistes et manquaient de profondeur.

Les Libéraux-démocrates d’Ed Davey ont fait un retour en force, se positionnant pour devenir le troisième plus grand parti à la Chambre des communes avec 68 sièges prévus. Cela marque une amélioration significative par rapport à leurs résultats précédents en 2019. Le Parti national écossais (SNP), en revanche, a connu une soirée difficile, avec une perte de 37 sièges et n’ayant réussi à obtenir que huit députés, tandis que le Parti travailliste a réalisé des gains significatifs en Écosse.

Le Parti vert d’Angleterre et du Pays de Galles a réussi à atteindre son objectif de remporter quatre sièges, les co-dirigeants Carla Denyer et Adrian Ramsay étant sur le point de rejoindre le Parlement. De son côté, Reform UK, dirigé par Nigel Farage, a eu un impact surprenant lors des élections. Il a réussi à remporter quatre sièges, Farage lui-même l’emportant à Clacton. Ce succès a eu un effet sur le vote conservateur, réduisant considérablement leur soutien.

Le triomphe retentissant du Parti travailliste a rencontré quelques obstacles. Les indépendants se présentant sur des programmes pro-palestiniens ont remporté trois sièges, tandis que le parti n’a pas pu empêcher Jeremy Corbyn de gagner en tant que candidat indépendant. A Chingford et Woodford Green, un problème de sélection a conduit à un vote partagé entre Shama Tatler et l’ancienne candidate Faiza Shaheen. En conséquence, Iain Duncan Smith a pu conserver son siège avec une marge étroite de seulement 79 voix.

En Irlande du Nord, le Sinn Féin est devenu le plus grand parti, marquant un changement significatif dans le paysage politique. Parallèlement, le Plaid Cymru a progressé en obtenant quatre sièges à Westminster, démontrant ainsi son influence croissante. Il convient de noter que George Galloway a perdu son siège à Rochdale, qu’il avait précédemment remporté lors d’une élection partielle plus tôt cette année.

Alors que les conservateurs sont confrontés à une défaite écrasante après plus d’une décennie au pouvoir, il semble que le parti travailliste de Keir Starmer soit prêt à guider le pays vers un nouveau chapitre. « Le changement commence maintenant », a déclaré Starmer, alors que la Grande-Bretagne se dirige vers un gouvernement travailliste au milieu de bouleversements politiques importants.

Mimi Mefo Info

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Présidentielle 2025 : L’UMS de Pierre Kwemo n’a pas investi Maurice Kamto

ange1poireau

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Présidentielle 2025 : L’UMS de Pierre Kwemo n’a pas investi Maurice Kamto
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Maurice Kamto ne sera finalement pas le candidat de l’Union des mouvements socialistes (UMS) comme l’ont annoncé des informations ayant pour source le lanceur d’alertes Boris Bertolt. Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) se trouvait d’ailleurs à mille lieux de Yaoundé où se tenait le meeting de l’UMS. Maurice Kamto entretenait la diaspora camerounaise réunie à Paris, place de la République, sur les enjeux de la future élection présidentielle au Cameroun, prévue en octobre prochain.

Au Palais des Congrès de Yaoundé, les militants de l’UMS ont jeté leur dévolu sur leur président Pierre Kwémo. Le maire de Bafang sera donc le candidat de l’UMS pour la prochaine élection présidentielle au Cameroun. Et dans la foulée de son investiture, Pierre Kwémo a indiqué qu’il ne ferra de coalition qu’avec les candidats retenus par le Conseil constitutionnel. Coupant l’herbe sous les pieds de ceux qui, malgré l’absence de Maurice Kamto à ce congrès, croyaient aux informations de Boris Bertolt, réputé proche du leader du MRC. C’est que ce congrès intervient dans un contexte marqué par le sempiternel débat sur la nécessité d’une candidat unique de l’opposition, mais aussi et surtout, la personne de Maurice Kamto dont la candidature fait débat, en raison de ce que son parti, le MRC, n’est pas allé aux législatives et municipales de 2020. Sauf qu’entre temps, des élus d’autres partis, notamment ceux du Social democratic front (SDF), ont démissionné de leur parti pour rejoindre le MRC. Amplifiant le débat sur la nullité du mandat impératif.

Alors que ce débat fait rage sur l’espace public, et que le gouvernement avec au premier rang Paul Atanga Nji le ministre de l’Administration territoriale (Minat), a déjà indiqué clairement que Maurice Kamto s’est disqualifié lui-même de la prochaine présidentielle, la possibilité pour Maurice Kamto de se faire investir par un autre parti, fait son chemin. Ce ne sera pas l’UMS. Pour le moment. Pierre Kwémo, lui, s’aligne derrière la foultitude de candidats qui se sont déjà déclarés en course pour Etoudi.

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Sidi Ould Tah prend les rênes de la BAD dans un contexte de turbulences financières

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Sidi Ould Tah prend les rênes de la BAD dans un contexte de turbulences financières
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(Defis Actuels) – La Banque africaine de développement (BAD) a un nouveau président. Sidi Ould Tah, ancien ministre mauritanien de l’Économie, a été élu ce jeudi 29 mai à la tête de la prestigieuse institution, à l’issue de trois tours de scrutin organisés à Abidjan, siège de la banque. Avec 76,18 % des voix, il a nettement devancé ses concurrents, notamment le Zambien Samuel Munzele Maimbo (20,26 %) et le Sénégalais Amadou Hott (3,55 %).

L’élection, qui exigeait une double majorité – celle des pays membres et celle des pays africains –, a clairement tourné à l’avantage de M. Tah, qui a recueilli plus de 72 % des suffrages africains. Ce large soutien traduit un consensus autour de sa candidature et de son parcours à la tête de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), qu’il a dirigée pendant une décennie.

Un mandat placé sous haute pression

La prise de fonction de M. Tah intervient à un moment critique pour la BAD. L’institution, fondée en 1964 et comptant aujourd’hui 81 membres (dont 54 africains), doit composer avec un environnement international incertain. L’annonce récente du retrait des États-Unis de leur contribution au Fonds africain de développement – estimée à 500 millions de dollars – met sous tension sa capacité d’intervention, notamment dans les pays à faible revenu.

Le nouveau président devra ainsi rapidement rassurer les partenaires techniques et financiers tout en préservant la dynamique impulsée par son prédécesseur, le Nigérian Akinwumi Adesina. Sous ce dernier, la BAD s’est imposée comme un acteur financier global, doublant ses ambitions et triplant son capital souscrit, passé de 93 à 318 milliards de dollars en dix ans.

La continuité dans le changement

Sidi Ould Tah hérite également d’un agenda stratégique structuré autour des « High 5 », les cinq priorités définies par M. Adesina : éclairer l’Afrique, la nourrir, l’industrialiser, l’intégrer et améliorer la qualité de vie des populations. Ces axes ont permis de toucher 565 millions d’Africains à travers des projets d’envergure, tels que la plus grande station d’épuration d’Afrique à Gabal el Asfar (Égypte), le pont Sénégambien, l’extension du port de Lomé (Togo) ou encore des initiatives d’électrification au Kenya.

Le nouveau président pourra s’appuyer sur cette assise pour tracer sa propre voie, en veillant à renforcer l’impact de la banque face aux défis du financement du développement durable et de la résilience des économies africaines.

Une élection stratégique, des équilibres diplomatiques

Le scrutin de jeudi à Abidjan a révélé l’importance des équilibres diplomatiques et du poids des contributions au capital. Les voix des grands actionnaires africains (Nigeria, Égypte, Algérie, Afrique du Sud, Maroc) ainsi que celles des partenaires non-régionaux comme les États-Unis et le Japon ont été décisives dans le basculement des alliances en faveur de M. Tah.

À travers cette élection, la BAD confirme sa vocation d’institution continentale au service de la transformation économique de l’Afrique, mais aussi sa capacité à peser dans les rapports de force internationaux. Reste désormais à son nouveau dirigeant de faire valoir cette influence dans un contexte géopolitique marqué par le repli de certains bailleurs et la montée des besoins de financement structurels sur le continent.

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Fécafoot : le chien aboie, Samuel Eto’o passe

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Fécafoot : le chien aboie, Samuel Eto’o passe
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« Je ne cède pas au chantage». En ces termes clairs prononcés dans son discours d’ouverture à l’assemblée générale extraordinaire de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) le 24 mai dernier, Samuel Eto’o le président de l’instance faîtière du football camerounais, a opposé une fin de non-recevoir aux présidents de clubs qui réclament le paiement des subventions dues aux clubs professionnels, ainsi que les contestations concernant l’arbitrage des matchs des championnats d’élite.

Samuel Eto’o en a un autre regard: « Malgré un contexte peu favorable marqué par des attaques de toutes parts, nous avons réussi le pari de l’organisation d’un championnat attractif et compétitif», contrarie-t-il ses pourfendeurs.  » Malheureusement certains acteurs nostalgiques d’une époque où de petits arrangements au détriment de l’intérêt commun ont voulu saborder nos efforts. Certains ont voulu boycotter notre championnat« , regrette-t-il. « Vous pouvez vous rendre compte : notre championnat se joue normalement. Je peux vous rassurer que nous irons jusqu’au bout selon les règles fixées« , défie-t-il les partisans du boycott. Mieux  »en dépit des obstacles, nous enregistrons des succès Ils n’ont pas réussi« , assure-t-il.

Parlant des cas Djiko FC de Bandjoun et Bamboutos FC de Mbouda qui ont décidé de se retirer du championnat Élite one. Bamboutos FC a finalement repris après deux matchs manqués, grâce aux négociations d’élites de l’Ouest. Pour Samuel Eto’o, il s’agit d’agitations d’acteurs qui refusent de s’arrimer aux exigences du football professionnel.

2,8 milliards CFA pour le fonctionnement du cabinet d’Eto’o

Et du coup, le patron du football camerounais n’envisage pas (encore) à verser aux clubs des championnats professionnels la subvention qu’ils réclament, malgré que l’Etat ait déjà débloqué sa quote-part dans cette rubrique, soit la somme de 560 millions Fcfa. Rien à dire au sujet des primes de sponsoring. D’ailleurs, si le budget de la Fécafoot a finalement été adopté en plein milieu d’exercice, des pans entiers de ce budget restent secrets. Comme cette rubrique du financement des championnats professionnels. On se contentera de savoir que dans un budget de 7,9 milliards Fcfa, le cabinet du président de la Fécafoot ponctionnera 2,8 milliards Fcfa.

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