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les députés macronistes proposent un texte

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Comment éviter aux enfants une exposition excessive aux écrans? Les députés Renaissance viennent de déposer une proposition de loi pour mettre en place une série de mesures de prévention, avec les professionnels de la petite enfance et les écoles.

A l’initiative, la députée du Loiret Caroline Janvier espère un examen de son texte “au printemps” dans l’hémicycle, a-t-elle indiqué jeudi. Son groupe confirme qu’il pourrait être à l’ordre du jour fin mars.

Cosignée par ses collègues Renaissance, sa proposition de loi prévoit une formation spécifique pour les professionnels de santé et de la petite enfance, ainsi que des messages de prévention sur les emballages d’ordinateurs, tablettes et téléphones et sur l’ensemble des publicités pour ces produits.

La députée demande aussi que le règlement intérieur des structures de la petite enfance et des écoles intègre des règles restrictives d’utilisation des écrans pour le personnel encadrant.

Le texte prévoit d’insérer des recommandations sur la bonne utilisation des écrans dans le carnet de grossesse transmis aux jeunes parents, et la création d’une plateforme numérique d’informations à l’attention des parents.

Il ne s’agit “pas d’une approche technophobe ni injonctive” mais “de sensibiliser au bon usage des écrans”, souligne la parlementaire.

L’excès d’écran est un “phénomène de grande ampleur” qui “commence dès le plus jeune âge” avec des “risques accrus d’obésité”, de “troubles du sommeil” et “d’hypertensions artérielle”, affirme-t-elle.

Lors de la précédente législature, Caroline Janvier avait déjà signé une tribune sur le sujet dans Le Monde fin 2021 puis déposé un premier texte en février 2022, que les députés n’avaient pas eu le temps d’examiner avant la présidentielle.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Haut conseil de la santé publique recommandent de ne pas exposer les enfants aux écrans avant l’âge de deux ans.

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Jean Charles Castelletto : « le Cameroun c’est 23-24 millions de coachs »

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Né en France de père espagnol et de mère camerounais, Jean-Charles Castelletto a choisi de jouer pour les Lions indomptables. Une décision somme toute logique, eu à égard à sa proximité avec le pays de sa mère depuis son enfance.  « À Bretigny, je portais le numéro 4 car j’étais fan du Cameroun et de Rigobert Song. J’avais le maillot sans manches (du Cameroun, ndlr). Je suis très fier maintenant de porter les couleurs du Cameroun. Depuis que je suis petit, je vais au Cameroun. Ma mère est Camerounaise. Chaque vacance, j’allais au Cameroun. Ça fait partie de moi. Toutes les personnes qui me connaissent savent que j’ai un côté en moi qui est très africain. On est de Yaoundé, du quartier d’Efoulan. Je suis du village de Mom. Je me rappelle d’une discussion que j’avais eue avec ma grand-mère quand j’avais 12-13 ans. Elle m’avait dit « Un jour, tu seras peut-être comme Eto’o ». Je rigolais. Je ne suis pas comme Eto’o mais de juste jouer pour le Cameroun, je pense qu’ils sont fiers », raconte le Nantais.

Un pays spécial

 « Le Cameroun, c’est très spécial. On dit que le Cameroun, c’est 23-24 millions de coachs, de spectateurs. Ils sont très portés sur le foot. Au Cameroun, il n’y a que le foot. Il ne faut pas les décevoir car le Camerounais est très strict, très sévère. Il attend beaucoup de la sélection camerounaise. Ils sont très passionnés par leur équipe. À la CAN 2021, quand on gagnait, les rues du Cameroun étaient remplies de supporteurs pour taper sur le bus, venir nous encourager. Les supporteurs camerounais aiment les personnes qui se donnent à fond. Donc si tu te donnes à fond, ils savent le voir et le respecter. Ils savent nous encourager mais aussi nous critiquer quand il le faut, ce qui est normal. On sait que quand on joue pour le Cameroun, il faut être prêt », explique le défenseur de 29 ans.

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La revue de presse camerounaise du mardi 30 avril 2024

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30 milliards de FCFA à investir par le C2D urbain « capitales régionales » pour la consistance des travaux à réaliser à Bamenda. C’est la principale information qui ressort de la visite de travail du ministre de l’Habitat et du Développement Urbain, Célestine Ketcha Courtès, effectuée le 18 avril 2024 dans la ville de Bamenda, en compagnie de l’Ambassadeur de France au Cameroun, Thierry Marchand, et de la Directrice de l’Agence française de développement (AFD), Virginie Dago. Les détails à lire en page 5 du journal Le Soir de ce matin.

Représentant le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, ce 29 avril à Yaoundé, à la conférence-débat liée aux activités de la 138e Journée Internationale du Travail, le secrétaire général Gilbert Didier Edoa a indiqué que le dialogue permet que le personnel de ce département ministériel soit en communication avec sa hiérarchie, afin de trouver des solutions aux problèmes posés, pour un travail décent. Les détails à lire dans les colonnes d’InfoMatin.

Dans une enquête le journal La Voix du Consommateur ce matin, plonge son lecteur dans le business des smartphones, pour démontrer comment ces appareils sont « reconditionnés et vendus comme neufs ». Selon plusieurs juristes, approchés par notre confrère, il est illégal de vendre comme neuf un téléphone qui a été reconditionné. « En effet et conformément à la Loi-cadre pourtant protection du consommateur au Cameroun, tout vendeur de Smartphones a pour obligation, d’informer le client sur les caractéristiques du produit. A défaut de vendre un produit neuf, le vendeur doit informer le client que le téléphone a été reconditionné. Le client est en droit de réclamer l’annulation de la vente et son remboursement. Attention aux téléphones neufs… pas neufs », peut-on lire! Quelques astuces pour reconnaître un téléphone reconditionné, à découvrir dans le journal.

Le quotidien Mutations parle du « grand bond » de la « pauvreté au Cameroun ». Citant la 5e enquête camerounaise auprès des ménages que vient de rendre publique l’Institut national de la statistique, le journal indique que plus de 10 millions de Camerounais vivent sous le seuil de pauvreté, soit 2 millions de pauvres de plus dans le pays qu’il y a 10 ans, selon les chiffres d’Ecam de 2014.

Poursuivons avec Le Financier d’Afrique qui nous apprend que les passifs conditionnels de l’Etat à fin mars 2024 s’élèvent à 4900 milliards de FCFA. Ce montant qui représente les engagements des Partenariats Public-privé, « n’est pas comptabilisé dans les 12 714 milliards de FCFA d’encours de la dette publique publié par la Caisse autonome d’amortissement (CAA) au 31 mars 2024 », lit-on.

La potentielle candidature de David Eboutou à l’élection présidentielle de 2025 est au cœur de débats animés au sein des cercles politiques camerounais. Selon Horizon News, cet « illustre historien et spécialiste en politique exprime de grandes aspirations pour son pays, en mettant en avant l’importance de la justice sociale et de la réforme institutionnelle, avec la détermination de surpasser le candidat favori, Paul Biya ».

La camerounaise Hortense Atchoumi a été reçue en audience par la première dame de la RCA pour ses actions dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale. La présidente de la Fédération des Associations de Sages-Femmes d’Afrique Francophone (FASFAF) et experte régionale en santé de reproduction a récemment été reçue en audience par la première dame de la République Centrafricaine (RCA), Brigitte Touadéra. À en croire Échos Santé, cette rencontre avait pour objectif de discuter des moyens d’accompagner les pays dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale.

En page 4, le quotidien Échos Santé fait savoir que la lutte contre le paludisme diminué le nombre de décès de 2022 à 2023 de l’ordre de 29% au Cameroun. En 2023, apprend-on, 2 977 754 cas de paludisme confirmés ont été enregistrés, représentant 28% de motifs de consultations. 10 243 53 des hospitalisations étaient dues au paludisme. Les décès dus au paludisme dans la même année sont au nombre de 1756 soit 7% de tous les décès. Ces chiffres indiquent une tendance à la baisse par rapport à la situation des années précédentes.

Sous prétexte de conter son itinéraire professionnel et de se raconter, le journaliste Haman Mana propose un texte de souvenirs sur les pratiques journalistiques et les mœurs politiques, remis en contexte. Et signe une fresque édifiante du Cameroun des quatre dernières décennies. Entre confessions, convictions, et révélations. La note de lecture du dernier ouvrage de l’homme des médias est à lire en page 5 de Le Jour de ce matin.

Alors qu’il aborde ses dix ans de magistère à la tête de l’archidiocèse de Yaoundé, des sources à Rome, Mgr Jean Mbarga s’opposerait à la volonté du Vatican de lui adjoindre deux ou trois évêques auxiliaires. Entre pro-homosexualité et anti-homosexualité, la guerre des clans fait rage. Qui aura le dernier mot ? Le Point rapporte les faits.

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Dette publique : Le Cameroun a payé des intérêts à hauteur de 71 millions de FCFA

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Entre janvier et mars 2024, l’administration centrale du Cameroun a remboursé un total de 312,4 milliards de FCFA de dettes, hors restes à payer. Selon la dernière note de conjoncture de la Caisse autonome d’amortissement (CAA) sur la dette publique, 22,7% de ce montant correspondaient aux intérêts, soit 70,9 milliards de FCFA au total, avec une moyenne mensuelle de 23,6 milliards de FCFA. Au mois de mars, la part des intérêts dans le service de la dette publique a notablement diminué. Elle s’est élevée à seulement 17,8 milliards de FCFA sur un service global de la dette de 88,2 milliards de FCFA, comme l’indique la note de conjoncture de la CAA.

Le gestionnaire de la dette publique s’exprime

Ce service de la dette était principalement alloué à 81% au remboursement de la dette extérieure et à 19% au remboursement de la dette intérieure. Il a enregistré une augmentation de 4,6% par rapport au mois précédent, mais une diminution annuelle de 7,8%, selon le gestionnaire de la dette publique au Cameroun.

« Ce service a été destiné à 81% au règlement de la dette extérieure et 19% au règlement de la dette intérieure. Il enregistre une augmentation de 4,6% en fluctuation mensuelle et une diminution annuelle de 7,8% », a-t-il expliqué dans le colonnes de confrères d’Investir au Cameroun.  Selon la CAA, l’endettement du Cameroun est porté à 93,3% par l’administration centrale, 6,6% par les entreprises et établissements publics, et 0,1% par les Collectivités territoriales décentralisées (CTD).

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