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Exclusif : Le Ministre Alamine Ousmane Mey dépose sa démission chez Paul Biya

diangonange

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Exclusif : Le Ministre Alamine Ousmane Mey dépose sa démission chez Paul Biya
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C’était encore une rumeur, il y’a de cela quelques mois, mais selon nos sources le Ministre de l’économie, de la Planification et de l’aménagement du Territoire Alamine Ousmane Mey est déterminé. Il ne voudrait plus faire partie de l’effectif du Premier ministre Joseph Dion Ngute car, ça passe où ça casse.Et il y va de soit,qu’ il claque la porte au RDPC et crée sa propre formation politique. Nous ne sommes qu’à la quinzaine du premier mois de la nouvelle année et tout prête à croire que ,pas mal de surprises nous attendent.

 

D’entrée de jeu, l’année a débuté avec des disparitions fracassantes notamment le décès inattendu de l’ancien ministre Emmanuel Bonde suivi de David Abouem à Tchoyi un poids lourd du système. Il y’a également un autre géant d’Elecam le professeur Pierre Titi Nwell, non sans évoquer le sui*cide d’un ancien préfet, et que nous réserve le cas du ministre de la justice Laurent Esso évacué la semaine dernière pour des soucis de santé…

C’est une année électorale palpitante du moins à haut risque et certains militants ( chauve-souris) du RDPC, semblent avoir pesé les conséquences si jamais Paul Biya grabataire âgé de 92 ans voir plus, venait à se présenter à nouveau pour briguer un autre mandat.Alamine Ousmane Mey, ferait alors ,certainement partie de cette clique de petits malins, ceux là,conscients du « cuisant échec du système auquel ils ont appartenu depuis, matuzalem », car lui même, catalogué comme un ami à Franck Biya; en personnes averties fomentent de quitter la barque avant que les choses ne tournent à l’eau de boudin.

 

Disons qu’il s’agit d’un régime qui à tout point de vue , traîne des casseroles et qui a lamentablement échoué tout en plongeant le Cameroun dans un black out total; et ils devront un jour rendre gorge étant donné qu’il s’agit de vrais ennemis de la république, de bandits en col blanc, des detourneurs de fonds publics,des assassins sans état d’âme et Tutti quanti.

 

C’est à cet effet que Alamine Ousmane compte se vêtir d’un boubou blanc neuf et il ne se serait pas fait prier prenant son courage en adressant et de façon audacieuse et culottée, deux correspondances au président de la république, question d’implorer ce dernier à le demettre de ses fonctions à la tête du ministère dont il a la charge depuis le dernier remaniement du 4 janvier 2019. Malheureusement ces lettres n’ont eu aucun échos.

Et connaissant Biya pour son cynisme, Alamine Ousmane Mey est certainement loin de réaliser qu’il n’est pas évident de « quitter la mafia sans en prendre une balle dans la tête ». Il aurait la mémoire courte de ne s’être pas rappelé du cas du professeur Titus Edzoa etc. Et pourquoi attendrai-il l’accord de Biya pour claquer la porte ? C’est quand même lâche de sa part, autrement il manque de couilles.

 

Le candidat du grand Nord 

Il nous revient cependant que n’ayant pas obtenu suite, à ses différentes lettres, le Minepat se serait complètement braqué d’où son refus catégorique depuis un certain temps de prendre part aux différentes réunions à la présidence de la République pourtant convié à cet effet. Il en est de même des conseils de cabinet présidés par le premier ministre, au cours desquels il brillerait désormais par son absence au point de se faire représenter par ses collaborateurs.

Une autre petite histoire, il se dit que Alamine Ousmane Mey serait remonté contre son propre régime depuis son passage au Sed où il avait été bien cuisiné par rapport à certains dossiers pour lesquels il serait fortement impliqué. Et pour le pousser à bout , le monarque d’Etoudi l’aurait retiré d’une mission à laquelle il était question pour lui de représenter le Cameroun, en privilégiant de ce fait, Louis Paul Motaze ministre des Finances. Autant de choses qui auraient frustré le fils de Kousseri.

De toute façon, il affûte dès lors ses armes pour challenger l’homme d’Etoudi aux prochaines élections et il aurait le soutien, des jeunes du septentrion, des hommes d’affaires et quelques anciens cassiques du régime. Il faut également prendre en compte ses alliés de poids du côté de l’ouest Cameroun, à l’instar du milliardaire Paul Fokam Kammogne et d’autres soutiens dans de l’ombre.

A t-il des coudées franches, connaissant ses différents dossiers rangés jalousement dans les tiroirs du Tcs et du Consupe ? A bien malin qui pourra répondre, toujours est-il que notre Moulinex national a coutume de dire que  » Celui qui transporte les oeufs ne cherche pas la bagarre ».

Paul chouta

 

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Cameroun: la procédure pour avoir sa CNI en 48h

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La procédure d’obtention de la nouvelle Carte Nationale d’Identité (CNI) est désormais plus rapide et accessible grâce au pré-enrôlement en ligne.

En seulement 48 heures, vous pourrez récupérer votre document officiel. Voici les étapes à suivre pour simplifier votre démarche.

Procédure d’obtention de la nouvelle CNI en 48h :

NB: Pour plus de détails, rapprochez-vous d’un commissariat de police.

Le Pré-enrôlement se fait en ligne suivant les indications ci-dessous :

  • Allez sur le site web: https://www.idcam.cm (pas encore fonctionnel au moment de la mise en ligne de cet aricle) ;
  • Choisissez votre langue de pré-enrôlement (Français ou Anglais). Sélectionnez le bouton « Débutez votre pré-enrôlement ». Entrez votre adresse Email ou votre numéro de téléphone à l’emplacement requis sur le site puis validez ;
  • À l’issue de la validation, vous recevez un code par SMS ou par mail sur votre numéro de téléphone ou sur votre adresse Email renseigné(e) ;
  • Le système vous demande d’introduire le code reçu et de le valider à l’emplacement indiqué sur le site ;
  • Cliquez sur le bouton “Commencez” ;
  • Une fiche d’information s’ouvre avec des champs (espaces) obligatoires et des champs non obligatoires que vous êtes appelé à remplir ;
  • Après avoir rempli votre fiche, vous êtes dirigé vers la procédure de payement ;
  • Vous choisissez votre mode de payement (Yoomee, MTN Mobil Money, Orange Money,…) ;
  • A la fin de la procédure de payement, une fenêtre de rendez-vous s’affiche. Choisissez le lieu et la date d’enrôlement puis validez ;
  • A l’issue de cette validation, le système génère une fiche d’informations en fichier PDF que vous devriez imprimer et apporter le jour de votre enrôlement physique ainsi que les pièces justificatives certifiées avec leurs originaux.

NB:

1) Vous avez le droit de changer votre date d’enrôlement physique une seule fois ;

2) Une procédure de pré-enrôlement peut être interrompue puis reprise ultérieurement au niveau où elle a été sauvegardée à partir du code reçu par mail ou par SMS.

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Le Cameroun en Deuil Après la Mort du Sénateur Calvin Zang Oyono

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Le Cameroun est en deuil après le décès du sénateur Calvin Zang Oyono, président du groupe parlementaire du RDPC au Sénat. Il aurait succombé à une brève maladie.

Si les discours officiels ont longtemps mis en avant son engagement au service de l’État, un regard plus attentif sur sa carrière soulève des questions essentielles sur l’opportunisme politique et les liens parfois flous entre affaires et pouvoir.

Une Carrière Entre Prestige et Ambiguïté

Né dans l’arrondissement de Zoétélé, département du Dja-et-Lobo, dans la région du Sud, Calvin Zang Oyono était perçu par beaucoup comme un serviteur exemplaire de l’État. Diplômé de l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), il a rapidement gravi les échelons de l’administration publique. Son parcours, marqué par sa nomination en tant que directeur général adjoint de la Cameroon Oil Transportation Company (COTCO), a suscité des interrogations : son ascension était-elle uniquement due à son mérite ou aussi au soutien de réseaux politiques influents ?

Il a démissionné de COTCO pour se consacrer pleinement à son rôle de parlementaire, un choix présenté officiellement comme un sacrifice au service du pays. Pourtant, certains y voient une manœuvre stratégique visant à renforcer son influence, plutôt qu’un simple acte de dévouement.

Une Montée en Puissance Politique

En avril 2018, Calvin Zang Oyono a été nommé sénateur par décret présidentiel. Dès le mois de mai, il accédait déjà à la présidence du groupe parlementaire du RDPC au Sénat. Cette ascension rapide, saluée par ses partisans, n’a pas échappé aux critiques. Certains y voient l’illustration d’un système politique où la loyauté et le clientélisme peuvent parfois primer sur la transparence et la responsabilité. Ses liens étroits avec les cercles influents du pouvoir et du monde des affaires alimentent l’idée d’un réseau où l’alignement politique l’emporte souvent sur les réformes de fond.

Un Héritage Sous le Feu des Questions

Les récits officiels insistent sur son rôle dans la promotion de projets législatifs pour le développement national. Pourtant, son héritage mérite une analyse plus critique. Sa démission de COTCO et sa carrière politique ont-elles réellement été dictées par un engagement sincère au service du public, ou faisaient-elles partie d’une stratégie plus large pour s’ancrer dans une sphère de pouvoir traditionnellement fermée ?

Si ses partisans le considèrent comme un leader dévoué, ses détracteurs se demandent si son action a véritablement apporté un changement progressiste ou si elle a simplement consolidé les hiérarchies politiques existantes.

À l’Ombre de la Mort

La disparition soudaine du sénateur Calvin Zang Oyono, après une courte maladie, a déclenché un débat complexe. Pour certains, sa mort représente l’épilogue d’une trajectoire marquée par les contradictions politiques, rappelant que « la mort n’emporte que le faux, laissant le vrai à jamais vivant ». Pour d’autres, c’est un moment propice à une réflexion plus profonde sur les valeurs de la classe politique camerounaise et les mécanismes qui permettent des ascensions sans véritable contre-pouvoir.

Son décès symbolise à la fois une fin et une opportunité : celle de s’interroger sur l’intégrité du système et sur les réformes nécessaires pour briser le cycle du pouvoir verrouillé.

Un Bilan Contrasté

Le sénateur Calvin Zang Oyono a connu une carrière jalonnée de succès et d’honneurs, mais aussi de controverses. Sa vie et son héritage restent au cœur de débats passionnés, révélateurs des tensions plus larges qui traversent la scène politique camerounaise — un paysage où le service public et l’ambition politique sont souvent étroitement liés.

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Tony Obam apporte des précisions sur l’utilisation des 100 millions du Chef de l’État

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Invité sur le plateau de l’émission Club d’Élites sur Vision 4, Tony Obam, figure incontournable du secteur culturel au Cameroun, est revenu sur la polémique entourant la gestion des 100 millions de francs CFA accordés par le Chef de l’État pour l’organisation du Festival de la banane plantain, qui s’est tenu en décembre 2024. Cette somme avait notamment permis d’inviter plusieurs légendes du football brésilien. Face aux accusations de mauvaise gestion, Tony Obam a tenu à clarifier les choses, insistant sur le fait qu’il n’a personnellement touché aucun centime de ces fonds.

« Sur les 100 millions du Chef de l’État, je n’ai même pas pris 5 francs. Quand le Chef de l’État accorde un appui financier de cette ampleur, c’est le ministère des Finances qui en assure la gestion. Un régisseur est nommé par le ministre et c’est avec lui que nous établissons un compte d’emploi. C’est donc ce ministère qui a directement réglé les paiements aux légendes du football brésilien », a-t-il expliqué.

Il a également insisté sur la transparence de la transaction, affirmant que toutes les opérations financières avaient été documentées. « Ces légendes du football ont fourni des photocopies de leurs passeports, signé des décharges et apposé leurs empreintes digitales. Tout a été fait dans les règles », a-t-il précisé, dans le but de rassurer l’opinion publique.

Par ailleurs, Tony Obam a révélé que l’organisation de cet événement avait généré des recettes pour l’État, avec 11 millions de francs CFA reversés aux caisses de l’administration fiscale. Un chiffre peu médiatisé qui montre que le festival n’a pas été qu’une dépense, mais aussi une source de revenus pour le pays.

Le Festival de la banane plantain, qui avait pour ambition de valoriser ce produit local tout en intégrant une dimension culturelle et sportive, avait suscité des débats sur certaines dépenses, notamment dans un contexte où les priorités de développement restent nombreuses.

En s’exprimant publiquement, Tony Obam cherche ainsi à rétablir la vérité et à dissiper les doutes autour de l’utilisation des fonds alloués par l’État.

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