Lors de sa prise de parole, Rigobert Song, récemment nommé sélectionneur manager des Fauves de la République Centrafricaine, a commis une légère confusion en évoquant la « Fecafoot » au lieu de la Fédération centrafricaine de football. Toutefois, l’ancien international camerounais a rapidement rectifié son propos, soulignant son engagement à travailler de manière harmonieuse avec les instances dirigeantes du football centrafricain.

Dans ses premières déclarations en tant que nouveau sélectionneur, Song a insisté sur l’importance de collaborer étroitement avec la Fédération centrafricaine de football, avec un objectif commun de faire progresser le sport national. « Le ministre m’a indiqué que je serais à la disposition de la Fédération, excusez-moi, de la Fédération centrafricaine. Je crois qu’il est essentiel d’établir une relation harmonieuse avec le président de la Fédération pour atteindre nos objectifs », a-t-il souligné.

Cette prise de fonction intervient dans un contexte où la Fédération, initialement déconcertée par le choix de Song sans concertation préalable, appelle désormais à la cohésion. Rigobert Song a insisté sur la nécessité de mettre les divergences de côté au service de la nation et de l’équipe. « Tout sera bien organisé et il y aura de l’harmonie autour de la sélection. Nous devons d’abord mettre nos égos de côté et nous concentrer sur ce qui est essentiel pour la Nation », a-t-il affirmé, soulignant l’importance d’une collaboration respectueuse et constructive.

Le ministre des Sports a officiellement présenté Rigobert Song à la presse le 15 janvier 2024, un événement marqué par la présence de nombreuses personnalités du monde sportif et politique, soulignant ainsi l’importance de ce tournant pour le football centrafricain.

Une tragédie frappe Douala ce vendredi, alors qu’un wagon-citerne transportant de l’huile de palme a explosé en plein cœur du deuxième pont du Wouri. Cet incident, qui survient en pleine heure de pointe, plonge la capitale économique du Cameroun dans une crise majeure, perturbant gravement la circulation et la vie quotidienne.

Selon les informations obtenues par 237online.com, l’explosion a provoqué des engorgements massifs sur ce pont crucial, qui relie les deux rives de la ville et constitue un axe vital pour le transport de marchandises, notamment vers le port de Douala. Les équipes de secours et les forces de l’ordre se sont rapidement déployées sur les lieux pour contenir la situation.

Cet événement soulève de vives inquiétudes concernant la sécurité des transports de matières dangereuses en milieu urbain. Un expert en sécurité routière a indiqué que l’accident était, malheureusement, prévisible, citant l’état dégradé de certains véhicules et l’insuffisance des contrôles de sécurité.

Le président Paul Biya a signé un arrêté dégradant un Gardien de la Paix de 1er grade, suite à l’acte répréhensible de vol d’un téléphone portable appartenant à un collègue. Cette décision, qualifiée de « faute contre l’honneur, le devoir et la probité », illustre la volonté de l’État de maintenir l’intégrité au sein des forces de l’ordre.

Une sanction qui divise L’enquête menée par 237online.com met en lumière l’embarras au sein de la police nationale, où l’incident, bien que parfois perçu comme anecdotique, porte un sérieux coup à l’image de l’institution. Cette affaire suscite des réactions partagées parmi les Camerounais : certains saluent la fermeté de la mesure, tandis que d’autres s’interrogent sur la nécessité d’une intervention aussi élevée pour un vol de téléphone.

Cet incident met également en lumière les tensions et dysfonctionnements internes au sein de la police camerounaise. Comme le souligne un syndicaliste sous couvert d’anonymat : « Quand ceux qui sont censés protéger la population se volent entre eux, on comprend mieux pourquoi les citoyens ont parfois du mal à nous faire confiance. »