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Société

Langsi Abel, ancien maire de Bafut, libéré après huit jours de captivité

ange1poireau

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Langsi Abel, ancien maire de Bafut, libéré après huit jours de captivité
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L’ancien maire de Bafut, Langsi Abel, a été libéré de captivité séparatiste après avoir passé huit jours avec ses ravisseurs. La nouvelle de sa libération a été confirmée tôt vendredi par des sources familiales.

Un message prétendument signé par sa femme déclarait : « Notre mari, papa, fils, frère, oncle et ami maire émérite Abel LANGSI est LIBRE depuis 5 heures du matin ce matin. »

Le message exprimait sa gratitude à Dieu et à ses amis et à sa famille pour leurs prières et leur soutien pendant cette semaine d’épreuve. Il disait : « Merci à Dieu et merci à la famille et aux amis pour les prières, pour leur sollicitude et pour leur soutien pendant cette semaine de captivité très difficile et stressante. »

Langsi Abel a été enlevé un jour après avoir mené une activité philanthropique à Bafut, où il a fait don d’une aide financière à des élèves orphelins pour répondre au souhait de son défunt père d’aider les nécessiteux à accéder à une éducation de qualité.

Son enlèvement a suscité une vive inquiétude et des appels à sa libération, l’ancien maire étant connu pour son engagement en faveur du développement communautaire et de l’éducation à Bafut.

Les circonstances de sa libération restent floues et les membres de sa famille n’ont pas révélé si des conditions avaient été remplies pour sa libération.

Bafut, située dans la région du Nord-Ouest, a été témoin de nombreux affrontements entre les forces gouvernementales et les séparatistes ambazoniens. Cet incident survient dans le cadre des efforts continus visant à s’attaquer aux causes profondes du conflit et à trouver une solution pacifique.

La crise anglophone, déclenchée par les protestations contre la marginalisation des régions anglophones, s’est transformée en conflit armé. Les civils subissent le plus gros de la violence, avec des milliers de déplacés et des informations faisant état de violations des droits humains.

La crise anglophone, qui a débuté en 2016, a alimenté ces violences alors que les séparatistes cherchent à asseoir leur contrôle dans les régions anglophones du Cameroun. Des actes comme ceux-ci mettent en évidence la situation précaire à Bamenda, où les civils subissent de plein fouet les conséquences du conflit.

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Société

Intoxication alimentaire dramatique : un nouvel appel à la vigilance sanitaire

diangonange

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Intoxication alimentaire dramatique : un nouvel appel à la vigilance sanitaire
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Dans le campement de Paki, la famille Baka a été tragiquement frappée par une intoxication alimentaire présumée, après avoir consommé du miel sauvage, des légumes et du poisson. Ce dernier aliment est fortement suspecté d’être à l’origine du drame. Jeudi 16 janvier 2025, 18 membres de cette communauté ont été transportés d’urgence à l’hôpital de district de Doumé. Selon Actualité de l’Est, qui cite le major de l’hôpital et le commandant de la brigade compétente, le diagnostic est sans appel : une intoxication alimentaire.

 

Les analyses en cours permettront d’en savoir plus sur la source exacte de la contamination. Parmi les 18 victimes, 4 personnes ont malheureusement perdu la vie, dont une femme et trois enfants. Trois autres patients sont encore en observation, un a été évacué à Bertoua en raison d’un état préoccupant, tandis que 10 sont désormais hors de danger mais restent sous surveillance médicale.

 

Le sous-préfet de l’arrondissement de Doumé, Baba François, et la maire, Gisèle Mpans, se sont déplacés pour soutenir les victimes et organiser la gestion de cette crise. Les dépouilles ont été transférées à la morgue de l’hôpital d’Abong-Mbang, et les mesures nécessaires ont été prises pour assurer un suivi médical aux patients.

 

Ce drame s’ajoute à une série d’intoxications alimentaires récurrentes au Cameroun. En mars 2024, six jeunes ont succombé après avoir consommé du maïs traité avec des produits chimiques dans la région de l’Est. Plus tôt, en 2024 également, deux enfants du département de l’Océan sont morts après l’ingestion de raticides.

 

Ces incidents tragiques soulignent l’urgence d’une mobilisation collective pour renforcer la sécurité sanitaire des aliments. La Coalition des Consommateurs Camerounais appelle les citoyens à une vigilance accrue : respecter les règles d’hygiène lors de l’achat et la préparation des aliments, lire attentivement les étiquettes, et veiller à la propreté des ustensiles et des espaces de cuisine.

 

De leur côté, les producteurs et commerçants doivent garantir la qualité des produits qu’ils mettent sur le marché. Les autorités, quant à elles, sont invitées à intensifier les contrôles, éliminer les produits dangereux et finaliser les textes d’application de la loi-cadre de décembre 2018 sur la sécurité sanitaire des aliments.

 

Une action coordonnée entre consommateurs, acteurs économiques et pouvoirs publics est essentielle pour prévenir de tels drames et protéger les vies humaines.

 

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Garoua : Un triangle amoureux sous l’emprise de la sorcellerie

diangonange

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Garoua : Un triangle amoureux sous l’emprise de la sorcellerie
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Un homme en tenue et sa famille se retrouvent au cœur d’une intrigue troublante mêlant amour, jalousie et pratiques occultes. Voici l’histoire rapportée par une proche de l’instigatrice.

Une liaison qui vire au cauchemar

Selon la dénonciatrice, sa copine entretient une relation avec un homme marié, père de deux enfants. Frustrée de ne pas pouvoir le séparer de sa femme, elle aurait consulté un marabout pour « détruire » leur union.

Quand ses tentatives initiales ont échoué, elle serait passée à une méthode plus radicale en recourant au karfa (remède noir), un envoûtement qui semble semer la discorde entre l’homme et sa femme. Aujourd’hui, leur couple serait en crise, et la situation menace de dégénérer davantage.

Une alerte pour sauver une famille

L’amie de la marabouteuse, visiblement dépassée par les événements, témoigne anonymement :

> « Je n’en peux plus de voir ce qu’elle fait. Elle envisage même de s’en prendre à l’enfant du monsieur ! Je lui ai dit que si cet homme l’aimait vraiment, il aurait quitté sa femme sans qu’elle ait besoin de recourir à de telles pratiques. Mais elle ne lâche rien. »

Elle ajoute :

> « Si rien n’est fait, la femme de cet homme pourrait tomber gravement malade, voire perdre la vie. Je veux que ce témoignage soit publié pour que le monsieur prenne conscience et protège sa famille. »

Un appel à la vigilance

Cette histoire met en lumière les dangers des relations toxiques et des pratiques occultes. Le principal intéressé, abonné à la page où le témoignage a été envoyé, est invité à prendre des mesures pour se protéger ainsi que sa famille contre ces manipulations.

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Arnaques à ciel ouvert : la nouvelle méthode des escrocs au Cameroun

diangonange

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Arnaques à ciel ouvert : la nouvelle méthode des escrocs au Cameroun
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Au Cameroun, les criminels ne se cachent plus derrière la nuit pour agir. Désormais, c’est en plein jour qu’ils passent à l’action, avec une méthode bien rodée.

 

Leur stratagème :

Des individus en civil garent discrètement leur véhicule et déposent des cartes nationales d’identité (CNI) sur la chaussée. Ensuite, ils se postent à distance, attendant qu’un passant ou un automobiliste ramasse ces cartes. C’est alors que le piège se referme.

 

Sous prétexte d’être des policiers en civil, ces individus surgissent en accusant leur victime de trafic de cartes d’identité :

 

> « Qui t’a donné ces CNI ? Donc, c’est toi qui trafiques les cartes, hein ? »

Les victimes, souvent déconcertées et intimidées, sont sommées de payer une somme d’argent ou de céder leurs biens sous menace d’être conduites à Bonanjo – un quartier connu pour abriter des services administratifs et judiciaires.

 

Qui sont-ils vraiment ?

Ces escrocs pourraient être de véritables agents de police corrompus ou simplement des bandits habiles dans l’art de l’intimidation. Dans tous les cas, leur but reste le même : dépouiller les innocents en exploitant leur méfiance ou leur peur des autorités.

 

Vigilance est de mise. Ne ramassez pas tout ce que vous trouvez sur la voie publique, car le piège peut se refermer à tout moment.

 

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