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Electricité : Eneo et l’Arsel mettent fin aux disparités tarifaires

ange1poireau

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Electricité : Eneo et l’Arsel mettent fin aux disparités tarifaires
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À compter du 1er novembre 2024, les clients d’Eneo verront une refonte majeure des tarifs d’électricité, qu’ils soient abonnés au service prépayé ou postpayé. L’Agence de régulation du secteur de l’Électricité (Arsel) a en effet annoncé une réforme visant à harmoniser les grilles tarifaires entre ces deux types de facturation, supprimant ainsi les écarts qui subsistaient depuis plusieurs années. «Cette initiative s’inscrit dans un effort de transparence et d’équité pour les clients de l’entreprise Eneo, concessionnaire de la distribution d’énergie électrique au Cameroun», souligne Eneo.

 Les systèmes prépayé et postpayé diffèrent par leur fonctionnement. Le prépayé, introduit pour offrir des tarifs attractifs aux utilisateurs, permet de consommer de l’électricité après achat de crédit, un peu comme pour une carte de téléphone. Il présente l’avantage d’une meilleure maîtrise de la consommation, car l’utilisateur achète une quantité définie de kWh en fonction de son budget.

En revanche, le système postpayé repose sur une facturation à terme échu : l’abonné paie sa facture après avoir consommé l’énergie au cours du mois. Depuis 2012, ces deux types de clients étaient soumis à des tarifs différents, l’Arsel ayant laissé une tarification préférentielle aux utilisateurs du prépayé pour en encourager l’adoption.

 DISPARITÉS ET CONSTAT DE L’ARSEL

En 2022, une étude de l’Arsel a révélé des disparités significatives entre les clients prépayés et postpayés, tant au niveau des tranches de consommation que du coût du kilowattheure (kWh). En pratique, les utilisateurs du prépayé bénéficiaient de tarifs plus avantageux sur certaines tranches de consommation, rendant ce mode de paiement plus populaire.

Ces conditions préférentielles ont permis l’essor de cette formule, au point qu’environ 34 % des installations d’Eneo, soit près de 800 000 compteurs, fonctionnent aujourd’hui en mode prépayé. Ce développement rapide a poussé le régulateur à repenser le modèle pour assurer une équité entre les clients, quel que soit leur type de facturation.

NORMALISATION TARIFAIRE

La réforme engagée vise ainsi à établir une grille tarifaire unique pour l’ensemble des clients, basée sur celle de 2012. Les nouvelles dispositions imposent à Eneo d’uniformiser les tarifs appliqués aux abonnés, éliminant les disparités de prix entre les consommateurs en prépayé et en postpayé.

Selon Arsel, cette initiative devrait permettre aux ménages d’accéder à des coûts d’électricité plus cohérents et adaptés à leur usage. Si la mesure vise l’équité, elle pourrait néanmoins entraîner des ajustements pour certains utilisateurs, notamment ceux dont la consommation dépasse les seuils de leur catégorie tarifaire actuelle.

DES TRANCHES DE CONSOMMATION MIEUX DÉFINIES

Pour concrétiser cette harmonisation, la réforme introduit de nouvelles tranches de consommation adaptées aux profils des usagers. Les clients résidentiels, par exemple, seront segmentés selon des paliers précis : de 0 à 110 kWh, de 111 à 200 kWh, et au-delà de 200 kWh par mois. Un utilisateur consommant entre 111 et 150 kWh, verra son tarif passer de 50 FCFA à 79 FCFA par kWh, soit une augmentation significative pour ceux qui sortent des tranches promotionnelles.

Cependant, une étude d’impact commandée par Eneo tempère cette perspective : 91,3 % des clients devraient voir une stabilité ou une baisse de leur facture, tandis que seuls 8,7 % pourraient observer une augmentation.

Les hausses concerneraient principalement les foyers bénéficiant auparavant de tarifs promotionnels qui les faisaient déroger à la grille standard. Accompagnement et suivi des abonnés Pour accompagner la transition, Arsel prévoit une catégorisation spécifique des abonnés. Les clients existants seront affectés à des groupes de consommation sur la base de leur historique d’usage, afin de mieux calibrer les tarifs appliqués. Les nouveaux abonnés, quant à eux, se verront attribuer une catégorie après une évaluation initiale de leur profil de consommation.

 Ces catégories seront réévaluées chaque mois pour mieux refléter l’évolution des habitudes de consommation, garantissant ainsi une tarification dynamique et plus ajustée aux besoins réels des ménages.

CONCERTATION AVEC LES ASSOCIATIONS DE CONSOMMATEURS

Soucieuse de faire comprendre les enjeux de cette réforme, l’Arsel a organisé une séance de concertation le 23 octobre dernier avec des représentants des associations de consommateurs. Cette rencontre avait pour objectif de discuter des modalités de mise en œuvre de la réforme et de répondre aux préoccupations des usagers quant aux changements tarifaires. Dès le 1er novembre 2024, Eneo, sous l’impulsion de l’Agence de régulation du secteur de l’Électricité (Arsel) va mettre en œuvre une réforme visant à harmoniser les tarifs d’électricité pour les clients prépayés et postpayés.

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Micro finance : la Cobac veut lever les obstacles réglementaires

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Micro finance : la Cobac veut lever les obstacles réglementaires
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Plafonnement des crédits, agrément des dirigeants, alignement des systèmes d’informations…le gendarme du secteur financier sous régional a recensé les difficultés rencontrées par  les établissements de micro finance dans la mise en œuvre de la réforme de 2017 et du nouveau système de reporting, au cours d’une concertation à Douala.

Plus de 120 Etablissements de Micro Finance (EMF) de la zone Cemac ont donné leur avis sur la mise en œuvre du cadre règlementaire dans le secteur.  Entré en vigueur en 2017, le règlement Cobac (Commission bancaire de l’Afrique centrale) peine en réalité à être appliqué par de nombreux EMF. Face à ce constat, la Cobac a décidé de réunir les acteurs du secteur pour un dialogue franc de deux jours, qui s’est tenu à Douala du 11 au 12 novembre dernier.

Les discussions ont mis en évidence diverses difficultés  exprimées par les EMF dans la mise en  œuvre de cette réglementation.  Ces difficultés portent entre autres sur la prise obligatoire des participations par les affiliés dans le capital  des organes constitués, le plafonnement des crédits, l’agrément des dirigeants, la mise à jour des plans comptables des EMF, le mode de facturation de l’assistance technique etc.

  Sur la  réforme du système de reporting des EMF dénommé sésame 4.0, les acteurs disent éprouver du mal avec l’alignement de certains systèmes d’informations aux nouvelles exigences. Des préoccupations sont aussi soulevées sur la nouvelle sectorisation des clients, la gestion des créances en souffrance etc. Les EMF ont  ainsi demandé des formations sur le nouveau système de reporting.

En réponse, la Cobac promet un accompagnement optimal dans l’implémentation de cet outil. De même, les responsables de cette institution promettent la prise en compte des préoccupations soulevées globalement par les EMF, tout en les appelant à faire des efforts pour appliquer la réglementation qui reste bénéfique pour leur secteur d’activités.  La réforme  de 2017 a en effet  été  élaborée pour améliorer la gestion des risques des EMF. Elle introduit de nouveaux éléments tels qu’une réorganisation des catégories d’EMF, une harmonisation des formes juridiques avec les normes de l’OHADA, un  réajustement du capital social des EMF etc.

La démarche selon le secrétaire général de la Cobac vise à protéger les consommateurs et garantir l’équilibre du secteur. « Comme nous le savons tous, la microfinance n’est pas simplement une question de financement. Elle permet à des populations souvent marginalisées d’accéder à des services financiers, Notre mission, en tant qu’autorité de supervision, est d’encourager cet effort, tout en veillant à la sécurité et à la stabilité du secteur. La supervision vise en second lieu la stabilité et la solidité financière des institutions de microfinance », a indiqué Marcel Ondele.

 La rencontre a aussi permis d’aborder des questions liées à  la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, ainsi que la digitalisation du secteur financier.

Réactions

 Marcel ONDELE, SG de la COBAC 

« Notre rôle n’est pas seulement de réguler, mais aussi d’accompagner » 

« La croissance du secteur de la microfinance est significative et réjouissante, mais elle s’accompagne également de beaucoup d’exigences et de responsabilités. Nous devons veiller à ce que les EMF soient financièrement solides et bien gérées, capables de résister aux fluctuations économiques et aux chocs externes. Cela passe par la gestion rigoureuse des risques, le respect des régies prudentielles, et l’engagement envers une transparence financière exemplaire. Notre rôle est de les accompagner dans l’adoption de ces pratiques essentielles, en garantissant un cadre de supervision adapté aux spécificités du secteur, mais exigeant en matière de discipline financière.  Enfin, nous ne pouvons ignorer l’impact croissant de la digitalisation et de l’innovation sur le secteur financier, et plus particulièrement dans le domaine de la microfinance. Les nouvelles technologies offrent des opportunités inédites pour atteindre un plus grand nombre de clients, réduire les coûts et améliorer l’efficacité opérationnelle. Toutefois, la transformation digitale doit être accompagnée de mesures de sécurité renforcées pour protéger les données des clients et prévenir les cyber risques. En tant qu’autorité prudentielle, nous soutenons l’innovation, tout en veillant à ce qu’elle respecte les normes de sécurité et de confidentialité les plus strictes. Je voudrais souligner que notre rôle n’est pas seulement de réguler, mais aussi d’accompagner. »

Clève Fortuné MPOUONGUI, DG Mecrecu Congo 

« Aujourd’hui, nous avons comblé le vide juridique »

Nous avons aimé l’approche du secrétaire général de la Cobac, l’approche d’accompagnement. Les Établissements de micro finance souffraient d’une carence en ce qui concerne la nouvelle réglementation, il y avait un vide. Et aujourd’hui nous avons comblé le vide et nous sommes satisfaits des réponses données par la cobac. Donc nos interrogations concernant la nouvelle réglementation 2017 ont reçu des réponses. Le vide était sur les réseaux. On exigeait aux EMF de première catégorie de se constituer en réseau et du coup on ne savait pas comment devait fonctionner ce réseau. Et par rapport aux réponses de la Cobac nous avons su comment fonctionne le réseau et comment fonctionne la faîtière ».

Hervé Blaise FEUNKE, DGA Focep

 « La Cobac va accompagner les Emf »

«  Nous  nous sommes beaucoup plus attardés sur les difficultés que les EMF rencontrent dans l’application de la réglementation de 2017 et la Cobac joue son rôle qui est de superviser les EMF qui veulent plus de facilités. Il y a certaines facilités sur lesquelles la Cobac est restée assez ferme par ce qu’il doit jouer son rôle de gendarme. Maintenant, sur la lutte anti blanchiment qui est une problématique internationale avec le terrorisme,  la micro finance est obligée de se conformer à la réglementation anti blanchiment. Et il faudrait que dans tous les EMF, ce dispositif soit présent pour qu’on se rassure que tous les fonds qui circulent sont sains. Ils ont rappelé que par rapport à cette réglementation au niveau national, la réglementation est plus forte par rapport à celle de la Cobac puisqu’ il y a l’Anif qui surveille les opérations d’un certain montant. Il y a la connaissance du client, la surveillance des transactions et le suivi de la conformité d’un certain nombre d’opérations. Un autre point c’est le reporting. La cobac a changé le système de reporting. On est passé de sésame 2 et aujourd’hui on est à sésame 4.0, un système où les EmF ne se sortent pas encore. Donc  en termes de recommandations, ils vont accompagner les Emf sur la maitrise de ce système et faciliter la transparence des activités »

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Cas de choléra confirmés dans la région de l'Extrême-Nord du Cameroun

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Cas de choléra confirmés dans la région de l'Extrême-Nord du Cameroun
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Les autorités sanitaires de la région de l'Extrême-Nord du Cameroun ont confirmé deux cas de choléra, suscitant des inquiétudes quant à une éventuelle épidémie dans la région. Quatre membres de la même famille ont été admis à l'hôpital le 8 novembre, présentant de graves symptômes de diarrhée, ce qui a conduit à cette confirmation.

Le laboratoire de l'Hôpital Régional de Maroua a analysé les échantillons des patients, confirmant deux cas positifs de choléra le 10 novembre. Le même jour, l'hôpital a admis trois personnes supplémentaires présentant des symptômes de diarrhée, intensifiant ainsi l'urgence de la situation sanitaire.

Les autorités ont déclaré les districts de Maroua 2 et Maroua 3 en état d'épidémie. L'épidémie est alarmante, mais aucun décès n'a été signalé à ce jour.

Les responsables de la santé appellent à des mesures préventives immédiates et à une vigilance accrue pour contenir la propagation de la maladie. Les résidents doivent suivre des protocoles d’hygiène stricts, notamment se laver fréquemment les mains et consommer de l’eau potable.

Le choléra est une maladie très contagieuse qui peut se propager rapidement dans les zones où les protocoles sanitaires ne sont pas suffisamment respectés. Une action rapide et la sensibilisation du public sont essentielles pour prévenir de nouveaux cas et garantir la sécurité des communautés touchées.

Mimi Méfo Infos

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Casinos en ligne gratuits au Cameroun : l’opportunité de jeu sans risque qui fait plaisir

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Casinos en ligne gratuits au Cameroun : l’opportunité de jeu sans risque qui fait plaisir
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Au Cameroun, le monde des casinos en ligne gratuits connaît une popularité croissante, attirant les amateurs de jeux de hasard et les curieux souhaitant découvrir les jeux de casino sans engager d’argent réel. Ce type de plateforme offre aux joueurs l’opportunité de s’entraîner, d’explorer différents jeux, et de tester des stratégies sans risque financier. Les casinos en ligne gratuits se révèlent particulièrement intéressants pour les Camerounais en quête de divertissement abordable et de qualité.

Il est donc important de comprendre dans les détails ce que c’est que le casino en ligne gratuit, les avantages, les types de jeux disponibles, et quelques conseils pour bien choisir une plateforme fiable.

Pourquoi les casinos en ligne gratuits attirent-ils les joueurs au Cameroun ?

Les casinos en ligne gratuits offrent de nombreux avantages aux joueurs camerounais. Contrairement aux casinos traditionnels, ces plateformes permettent d’accéder à une large variété de jeux de casino sans déposer d’argent, ce qui les rend très attrayantes pour les utilisateurs qui veulent découvrir le monde des casinos en ligne sans risque.

Avantages des casinos en ligne gratuits

  1. Découverte sans engagement financier : Les casinos gratuits permettent aux joueurs de tester une plateforme et d’explorer les jeux proposés sans dépenser d’argent. C’est un excellent moyen pour les nouveaux joueurs de s’habituer à l’interface du casino et aux règles des jeux.
  2. Possibilité de s’entraîner : Pour les Camerounais souhaitant acquérir de l’expérience et perfectionner leurs compétences, les casinos en ligne gratuits sont l’outil idéal pour s’entraîner, notamment pour des jeux de stratégie comme le blackjack et le poker.
  3. Accessibilité et diversité : Ces plateformes sont accessibles à tout moment, permettant aux joueurs de profiter des jeux en ligne depuis leur domicile ou leur téléphone portable. La plupart des casinos en ligne gratuits offrent un large choix de jeux, des machines à sous aux jeux de table comme la roulette et le blackjack.

Types de jeux disponibles dans les casinos en ligne gratuits au Cameroun

Les casinos en ligne gratuits proposent un large choix de jeux de hasard, allant des machines à sous aux jeux de table classiques, permettant aux joueurs de trouver des jeux adaptés à leurs goûts et à leur niveau d’expérience.

Machines à sous gratuites

Les machines à sous gratuites sont parmi les jeux les plus populaires sur les casinos en ligne au Cameroun. Avec des thèmes variés et des fonctionnalités attractives (comme les tours gratuits et les bonus), elles offrent une expérience de jeu immersive et divertissante sans aucun coût pour le joueur.

Jeux de table

Les amateurs de jeux de table peuvent trouver plusieurs options de jeux gratuits, comme le blackjack, la roulette, et le baccarat. Ces jeux permettent aux joueurs d’essayer des stratégies, de comprendre les règles et de se familiariser avec les dynamiques de chaque partie sans risquer de perdre de l’argent.

Vidéo poker et autres variantes de poker

Pour les passionnés de poker, le vidéo poker et d’autres variantes sont également disponibles gratuitement. Ces jeux offrent une approche plus stratégique et permettent aux joueurs d’apprendre différentes mains et combinaisons gagnantes.

Comment choisir un casino en ligne gratuit au Cameroun

Avec la diversité de casinos en ligne gratuits accessibles aux joueurs camerounais, il est important de bien choisir la plateforme pour profiter d’une expérience de jeu agréable et sécurisée. Voici quelques conseils pour choisir un casino en ligne gratuit fiable :

  1. Vérifier la licence et la régulation : Assurez-vous que le casino en ligne est réglementé par une autorité reconnue. Même pour les jeux gratuits, une licence garantit la sécurité et le respect des normes de protection des données.
  2. Consulter les avis et retours d’utilisateurs : Avant de s’inscrire, consulter les avis et témoignages d’autres joueurs camerounais peut donner une idée de la fiabilité du casino et de la qualité de son support client.
  3. S’assurer de la diversité de jeux : Un bon casino gratuit doit offrir une variété de jeux pour que chaque joueur puisse trouver des options qui l’intéressent, que ce soit les machines à sous, le poker, ou les jeux de table.
  4. Vérifier la compatibilité mobile : De nombreux joueurs au Cameroun préfèrent jouer sur leur téléphone portable. Assurez-vous que la plateforme est compatible avec les appareils mobiles pour une expérience fluide et pratique.
  5. Tester le service client : Un service client réactif est essentiel, même sur un casino gratuit. Un bon support peut répondre aux questions des joueurs et résoudre rapidement tout problème technique.

Les limites des casinos en ligne gratuits

Si les casinos en ligne gratuits présentent des avantages évidents, il est également important de prendre en compte leurs limitations :

  • Absence de gains réels : En jouant gratuitement, les gains réalisés ne peuvent pas être retirés, car les jeux gratuits sont souvent conçus pour l’entraînement et la découverte uniquement.
  • Publicités et incitations : Certains casinos gratuits affichent fréquemment des publicités ou encouragent les joueurs à passer aux jeux en argent réel, ce qui peut être intrusif pour certains utilisateurs.
  • Options de jeux parfois limitées : Bien que de nombreux jeux soient disponibles gratuitement, certaines fonctionnalités avancées ou versions de jeux de table en direct sont réservées aux joueurs en argent réel.

Pourquoi essayer les casinos en ligne gratuits au Cameroun ?

Les casinos en ligne gratuits représentent une excellente option pour tous les types de joueurs au Cameroun, qu’ils soient novices ou expérimentés. En permettant de jouer sans risque financier, ces plateformes offrent une solution de divertissement pratique, accessible et amusante. Elles permettent également aux jeunes Camerounais de se familiariser avec les règles des jeux, de tester de nouvelles stratégies et de se préparer pour une éventuelle transition vers des jeux en argent réel.

Que vous soyez intéressé par les machines à sous, les jeux de table, ou le poker, les casinos en ligne gratuits vous offrent une opportunité de jeu sans engagement et un accès simple aux jeux de casino depuis votre domicile ou en déplacement.

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