Joseph Antoine Bell n’a rien perdu de sa compétitivité. Interviewé ce jeudi sur les ondes de Jambo FM dans l’émission « le 11 entrant », Sa Majesté a tenu à clarifier certaines supputations autour de la qualité des infrastructures sportives.
Interrogé au sujet de la relation entre l’ONIES et la Fécafoot, il a étalé quelques vérités qui embarasseront la Fécafoot.
Morceaux choisis :
« Les gens ont personnalisé les fonctions. J’ai déjà dit que l’ONIES ne m’appartient pas. Ceux qui n’aiment pas Bell, qu’ils aillent l’attendre chez lui ou au village ou dans leurs villages, si Bell y va. L’ONIES ne m’appartient pas. Ne pensez pas me viser à travers l’ONIES ou viser l’ONIES à travers moi. Je ne dirige pas l’ONIES comme une propriété privée.
Et la Fécafoot devrait faire pareil. Malheureusement, à la Fécafoot quand on vous parle de Président de la Fécafoot, ça devient personnel. Et on vous dit Bell ne l’aime pas. Même si je ne l’aimais pas ça n’aurait rien à voir, strictement rien à voir. Parce que j’ai retenu de ma carrière que je ne jouais pas qu’avec des amis.
Quand j’arrive dans un club, j’arrive tout seul, les autres, c’est quelqu’un d’autre qui les a recruté. C’est pas moi. Mais nous jouons ensemble. Et chacun donne le meilleur de lui-même. Donc ce n’est pas un problème personnel. Malheureusement, voyez-vous mêmes tous les commentaires qui sont faits. Ils sont des commentaires personnalisés. Ils ne sont pas des commentaires de structure à structure.
La preuve, il y en a d’autres qui vont jusqu’à dire ce sont deux Bassa et les Bassa eux-mêmes de plonger dedans, nos frères ne s’entendent pas. Mais c’est l’ONIES, c’est la Fécafoot, ça n’a rien à voir avec les noms qui occupent les postes… À l’ONIES, nous ne faisons pas les choses à la tête de client. »
« La CAF n’a pas envoyé une inspection au Cameroun, c’est la Fécafoot qui l’a demandée. Mais la Fécafoot n’a pas demandé cette inspection de mèche avec l’Onies qui est son partenaire. »
« La CAF n’est pas venue au Cameroun pour homologuer les stades. Nos stades sont déjà aux normes. Elle venait valider la disponibilité pour le prochain match »
« Il faudrait savoir que la Fécafoot, malheureusement de ce que j’en sais en tant que président du conseil d’orientation de l’Onies, a des ardoises. Elle a des ardoises. On lui a fait confiance elle a joué une saison peut-être plus sans jamais payer en disant : »on revient » […] chacun des stades au Cameroun, à son niveau, a une ardoise de la Fécafoot. »
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