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L’IA détecte avec précision les signes de dépression chez les patients

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L’intelligence artificielle (IA) fait de plus en plus de progrès dans de nombreux domaines, et la santé mentale n’y échappe pas. Des scientifiques viennent de développer un système basé sur l’IA qui peut détecter avec précision les signes de dépression chez les patients.

Le système utilise une combinaison d’analyse de données et d’apprentissage en profondeur pour évaluer les signes de dépression chez les patients. Il analyse les réponses verbales et non verbales des patients lors de leurs entretiens avec des professionnels de la santé mentale, y compris leur ton de voix, leur langage corporel et leurs réponses verbales.

Pourquoi cette découverte est-elle importante

Cette découverte est importante pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle peut aider les professionnels de la santé mentale à mieux détecter la dépression chez leurs patients, ce qui peut les aider à fournir un traitement plus efficace. De plus, cela peut également aider à réduire le temps de diagnostic pour les patients souffrant de dépression, ce qui peut améliorer considérablement leur qualité de vie.

Les défis à surmonter

Bien sûr, il reste encore des défis à relever avant que ce système ne soit pleinement opérationnel. Les scientifiques doivent s’assurer que le système ne produit pas de faux positifs ou de faux négatifs, et qu’il peut être utilisé de manière éthique et responsable. De plus, ils doivent également travailler à améliorer les algorithmes pour qu’ils soient encore plus précis dans leur détection de la dépression.

Dans l’ensemble, cette découverte montre le potentiel de l’IA pour améliorer la santé mentale des patients. Bien que des défis restent à relever, les perspectives sont encourageantes pour les personnes souffrant de dépression et pour les professionnels de la santé mentale qui les soignent.

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Côte d’Ivoire : Les acteurs de la filière bois sensibilisés contre le sciage à façon

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À l’initiative du ministère des Eaux et Forêts, les acteurs de la filière bois ont été sensibilisés contre le sciage à façon. La séance de sensibilisation a été organisée par la la Direction de la police forestière et de l’eau (DPFE) à sa tête le colonel Alain N’guessan.

Côte d’Ivoire-Filière bois : Le ministère des Eaux et Forêts sensibilise contre le sciage à façon

Selon une note du ministère des Eaux et Forêts, la Direction de la police forestière et de l’eau a réuni 48 leaders de la filière bois pour une seance de sensibilisation contre le sciage à façon. Il s’agissait de menuisiers, artisans, transformateurs de bois, commerçants et organisations professionnelles du bois en provenance de diverses régions de la Côte d’Ivoire.

Le sciage à façon fait allusion au sciage du bois brut en produits semi-finis, effectué au moyen d’une tronçonneuse, d’une scie mobile, ou d’un matériel semblable sur un site d’abattage.

Au cours des échanges, les responsables du ministère des Eaux et Forêts ont fait la synthèse des travaux de l’atelier de réflexion sur la lutte contre le sciage à façon qui a eu lieu du 18 au 19 avril 2024, à Yamoussoukro. Ils sont aussi revenus sur les conditionnalités d’exercice de l’activité de transformation de bois dans les menuiseries industrielles au titre de l’année 2024.

Pour sa part, le colonel Alain N’guessan a sensibilisé les participants sur l’état de dégradation générale du patrimoine forestier et sur la question préoccupante du sciage à illégal. Le directeur de la Police forestière les a aussi invités les opérateurs à s’approprier l’idée d’adoption des bonnes pratiques en sensibilisant davantage leurs pairs et en s’organisant pour impulser le projet d’approvisionnement des marchés locaux en bois légal par la création de centrales d’achats dans les grandes régions.

Tout en prenant l’engagement de relayer les informations reçues auprès de leurs membres et de s’engager dans la protection des ressources forestières ivoiriennes, les acteurs de la filière bois ont souhaité que le ministère des Eaux et Forêts initie régulièrement ces séances de sensibilisation.

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De la musique au cinéma : Tiwa Savage dans le film « Water and Garri »

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L’avant-première du film dans lequel apparait la chanteuse nigériane Tiwa Savage a été présentée le 10 mai dernier à Lagos. Encore novice dans le 7e art, la star de l’Afro-beat nigériane tient pourtant le premier rôle dans ce film qui est une production de Prime Video’s authentic African series and films.

A l’écran, Tiwa Savage incarne Aisha au cœur d’un histoire d’amour et de trahison mettant en scène une jeune fille qui a quitté son quartier pour poursuivre ses rêves de styliste de mode. Quand elle a décidé de revenir à la maison, beaucoup de choses ont changé. Et c’est là que tout bascule.

« Je n’ai jamais rien fait de tel auparavant. Nous nous disions cela tout à l’heure, moi et Meji, qui est réalisateur, car c’est aussi sa première fois. Je dirais donc que nous avons un peu improvisé, mais ça s’est bien passé. Le résultat est vraiment bien. Et je pense que parce que c’était une première pour nous deux, nous nous sommes aidés mutuellement et nous nous sommes soutenus l’un l’autre », s’est exprimée Tiwa Savage avant cette projection.

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Le Cameroun importe le maïs à des chiffres record en raison de l’insuffisance de la production locale

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Le pic d’importations du maïs s’élève à 39 991,3 tonnes en 2023, ce qui représente le volume le plus élevé depuis cinq ans. Cette envolée s’explique en grande partie par la demande croissante de la filière avicole, dont les animaux sont nourris à 80% à base de maïs.

En 2022, les importations de maïs avaient connu une chute importante de 64,4%. Cette baisse avait été attribuée à l’entrée en service d’une maïserie au sein de la Compagnie fermière du Cameroun (CFC) en novembre 2021. Cette unité de production devait permettre au pays de réduire sa dépendance vis-à-vis des importations de maïs pour la fabrication de gritz, notamment utilisé dans la production de bière.

Production locale insuffisante

Malgré l’espoir suscité par la nouvelle maïserie, la production locale de maïs s’est avérée insuffisante pour répondre à la demande croissante, en particulier de la filière avicole. La capacité de production de la maïserie de la CFC, destinée à la fabrication de gritz de maïs, ne couvre pas l’ensemble des besoins du pays.

Un ralentissement de la production de gritz chez Maïscam ou dans les coopératives encadrées par la CFC. Cette situation aurait contraint les importations pour répondre aux besoins en gritz de la SABC, leader du secteur brassicole au Cameroun Une augmentation des achats de maïs par les opérateurs de la filière avicole. La demande croissante en alimentation pour les animaux, à base de maïs à 80%, aurait poussé les acteurs de la filière avicole à recourir davantage aux importations.

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