Ce jour-là, un groupe de 57 nationalistes camerounais a été embarqué tôt le matin dans un wagon scellé et plombé à destination de Yaoundé. Malheureusement, à leur arrivée en fin de journée, 25 d’entre eux étaient morts, tous asphyxiés.
Cet événement tragique est devenu connu sous le nom de « Le train de la mort » et reste l’un des moments les plus sombres de l’histoire du Cameroun. Les victimes étaient des activistes politiques qui se battaient pour l’indépendance de leur pays et pour la justice sociale. Leur mort brutale et tragique a choqué la nation et a suscité une forte réaction parmi les nationalistes.
Le train de la mort a également mis en lumière les injustices et les abus de pouvoir du gouvernement en place à l’époque. Les nationalistes ont été emmenés sans aucun moyen de défense ni aucun jugement équitable, ce qui a suscité de vives protestations et des appels à la justice.
Le train de la mort reste un rappel tragique de la lutte pour l’indépendance et les droits humains au Cameroun. Les victimes sont restées fidèles à leur cause jusqu’à leur mort et leur sacrifice reste un hommage à la détermination et au courage de ceux qui se battent pour la liberté et la justice.
En conclusion, le train de la mort est un jour qui restera gravé dans l’histoire du Cameroun en tant que symbole de la lutte pour la liberté et la justice. Les victimes sont des héros nationaux qui ont payé un prix élevé pour leur engagement en faveur de leur pays et de leur peuple.
