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Une caution payée par Naira Marley et Sam Larry pour être libre

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Naira Marley et Sam Larry qui sont impliqués dans la mort de Mohbad sont libres aujourd’hui. Ils ont payé une caution de 20 millions de Nairas le lundi 6 novembre après une décision de justice.

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Naira Marley et Sam Larry libérés sous caution dans la mort de Mohbad

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La disparition brusque au mois de septembre dernier du jeune chanteur nigérian, Mohbad continue toujours de faire grand bruit au pays. Vu que l’enquête policière n’a pas encore donné son verdict sur l’auteur ou les auteurs impliqués dans son décès. Mais, des présumés suspects dans la mort de l’artiste de 27 ans avaient été arrêtés à savoir son ancien producteur-manager Naira Marley et son collaborateur Sam Larry.

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Deux autres personnes ont été interpellées comme l’infirmière, Fisayo Ogedengbe, qui a administré à plusieurs reprises des injections à l’artiste décédé et l’ami du défunt. Ces quatre présumés étaient toujours sous mandat de dépôt en attendant le dénouement de l’affaire. Ils ont été présentés devant le tribunal le lundi 6 novembre pour une audience en vue d’avoir une liberté provisoire.

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Au cours du procès, une liberté sous caution a été accordée à Naira Marley et Sam Larry. Les hommes du showbiz ont dû payer la somme de 20 millions de Nairas pour avoir une liberté provisoire. N’empêche, leurs passeports ont été saisis par la justice pour ne pas qu’ils puissent sortir du pays. Mais, ils sont tenus de signaler périodiquement leur présence sur le territoire national au Département des enquêtes criminelles de l’État (CID). Quant aux deux autres prévenus, ils sont maintenus en détention.

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“Les Lions indomptables ne sont pas favoris de la CAN en Côte d’Ivoire” : un ancien coach du Cameroun tranche

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Lors d’une apparition sur le plateau de l’émission Fou Fou Foot sur CRTV Sports le 27 novembre, Alexandre Belinga a déclaré que le Cameroun n’était pas parmi les favoris pour remporter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire. Toutefois, les quintuples champions d’Afrique peuvent se montrer imprévisibles comme à leur habitude. « Le Cameroun n’est pas parmi les favoris pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, mais peut surprendre, » a déclaré Belinga.

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2017 est encore dans les mémoires

À un mois et demi du début de la CAN 2024, le Cameroun traverse une période délicate, avec des incertitudes et des critiques autour du sélectionneur Rigobert Song. Cependant, l’expérience passée montre que les Lions indomptables peuvent compter su sa détermination pour défier tous les pronostics. Lors de l’édition de la CAN 2017, le Cameroun, loin d’être favori, a finalement décroché son 5e titre continental. Les hommes de l’entraîneur d’antan Hugo Bross et son adjoint Alexandre Belinga avaient tour à tour, éliminé le pays organisateur le Gabon en poules, le favori sénégalais en quarts de finale, le Ghana en demies puis l’Egypte en finale.

Vincent Aboubakar et ses coéquipiers, bien conscients des défis qui les attendent, entrent dans le tournoi avec l’intention de montrer qu’ils peuvent encore surprendre le monde du football. Les Lions indomptables savent qu’un supplément d’âme peut souvent faire la différence, même lorsque les attentes ne sont pas à leur avantage. La CAN 2023 s’annonce comme un nouveau défi pour le Cameroun, et les fans espèrent que l’équipe pourra puiser dans l’esprit qui les a conduits à la victoire en 2017.

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Une adolescente de 17 ans tuée par son conjoint à l’Est Cameroun

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Au Cameroun, les cas tragiques de violence conjugale continuent de susciter l’inquiétude. Une nouvelle victime, Audrey Nguele, une adolescente de 17 ans élève au lycée de Diang, a succombé aux coups de son concubin, ajoutant son nom à la liste des femmes malheureusement tuées par leur partenaire. Audrey Nguele a été transportée d’urgence à l’hôpital régional de Bertoua après avoir subi des violences, entraînant une hémorragie interne. Malheureusement, malgré les efforts médicaux, elle n’a pas survécu et a perdu la vie tôt le matin du 28 novembre 2023. Le conjoint présumé, Bekobe Éric, accusé d’avoir tué Audrey Nguele à coups de poing, a été appréhendé par les gendarmes et est actuellement détenu à la gendarmerie de Ngodi Bakoko à Douala.

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Les violences des femmes devenues monnaie courante

Cette tragédie survient après d’autres incidents récents de violence conjugale au Cameroun, dont le meurtre brutal d’une enseignante à Douala et celui d’une autre femme dans le village du Sud Cameroun nommé Bikop. Ces événements mettent en évidence la nécessité de sensibiliser davantage sur les violences domestiques et de prendre des mesures pour protéger les femmes et les jeunes filles contre de tels actes barbares. Selon le mouvement Stop féminicides 237, on dénombre au moins 50 décès de femmes des mains d’un homme depuis le début d’année 2023. Une statistique alarmante qui rappelle s’il en était encore besoin, que la situation est grave.

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Un nouveau sous-préfet au cœur d’un scandale

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Selon plusieurs témoignages, André Christian Olomo, sous-préfet d’Okala, aurait abusé de son pouvoir en exigeant des services gratuits dans une laverie locale. Les informations confirmées par nos confrères d’Actu Cameroun, indiquent que le « Chef de terre »  avait l’habitude de déposer sa voiture et celle de sa femme, en demandant aux employés de les nettoyer sans payer.

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Ce privilège, qui aurait été toléré par les jeunes laveurs pendant un certain temps, a finalement conduit à un affront. Vendredi dernier, les travailleurs ont décidé de ne plus accepter cette exigence gratuite et ont fermé la laverie, refusant de se plier à la demande du sous-préfet.

En réponse, André Christian Olomo aurait fait intervenir la gendarmerie locale pour arrêter plusieurs jeunes laveurs qui avaient osé refuser ses demandes. Certains ont été arrêtés de manière brutale, en violation des principes de l’État de droit.

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Fermeture exigée de la laverie

Pire encore, le sous-préfet aurait demandé la fermeture complète de la laverie qui avait osé s’opposer à ses demandes. Cette réaction autoritaire soulève des questions sur les dérives autocratiques de certains hauts fonctionnaires, mettant en lumière des abus de pouvoir choquants. Face à ce qu’elle considère comme de l’abus de pouvoir de l’autorité administrative, la laverie n’a malheureusement aucun moyen de riposte.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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