Connect with us

Actualité

Poutine En Afrique Du Sud Pour Le Sommet BRICS : La CPI Se Moque-t-elle D’elle-même ?

Published

on

Spread the love

Poutine en Afrique du Sud

Le président russe Vladimir Poutine est arrivé en Afrique du Sud pour participer au sommet BRICS, qui rassemble les dirigeants de la Russie, de la Chine, de l’Inde, du Brésil et de l’Afrique du Sud. Mais la Cour pénale internationale (CPI) a-t-elle les moyens d’arrêter Poutine si elle le souhaitait ?

Il est intéressant de noter que la CPI a émis un mandat d’arrêt international contre Poutine pour des allégations de crimes de guerre en Ukraine. Cependant, il est peu probable que la CPI puisse procéder à l’arrestation du président russe lors de sa visite en Afrique du Sud.

Cette situation soulève la question de savoir si la CPI se moque d’elle-même en émettant des mandats d’arrêt qu’elle n’a pas les moyens d’exécuter. Certains experts affirment que cela peut discréditer l’autorité de la CPI et rendre ses enquêtes et ses mandats d’arrêt inefficaces.

Malgré cela, la CPI continue de jouer un rôle important dans la lutte contre l’impunité pour les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et les génocides. Cependant, il est clair que la CPI doit être en mesure de prendre des mesures concrètes pour faire appliquer ses décisions, afin de conserver sa crédibilité et son autorité.

Advertisement

La visite de Poutine en Afrique du Sud soulève des questions sur l’efficacité de la CPI et sur la crédibilité de ses mandats d’arrêt. Si la CPI veut conserver sa pertinence dans la lutte contre les crimes internationaux, elle doit être en mesure de faire appliquer ses décisions, y compris l’arrestation des personnes recherchées.

Papain Levin / 237online.com

Click to comment

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Actualité

Un élève poignardé à mort par son camarade de classe à Bertoua

Published

on

Spread the love

L’incident malheureux a eu lieu ce jeudi 28 mars 2024 au Lycée Bilingue de Bertoua

La scène macabre s’est produite en mi-journée de ce 28 mars 2024, jour de remises des bulletins au Lycée Bilingue de Bertoua. Le jeune Ekosso, chef de la classe de Form 4 A a été grièvement poignardé dans la cour de l’établissement scolaire par son camarade qui a par la suite pris la poudre d’escampette. Conduit à l’hôpital, la victime a malheureusement succombé à ses blessures.

Deux versions fusent sur le mobile de cet acte funèbre. Une source révèle que l’élève assassin n’aurait pas pu digérer la défaite de son équipe d’un match de football scolaire au sein de l’établissement, d’où il s’est emparé d’un poignard pour commettre l’irréparable. D’autres  sources affirment plutôt  que l’assaillant serait exclu pour absentéisme. « Le chef de classe étant celui qui garde les fiches d’appel et qui parfois fait l’appel surtout pendant les heures creuses; son camarade aurait donc estimé que le jeune EKOSSO était responsable de son sort avant de décider d’en finir avec lui. D’où l’agression à l’arme blanche qui débouche sur le décès du chef de classe en question », note Paul Chouta.

Et tout se passe derrière l’établissement sous les arbres c’est pourtant connu, l’établissement n’est pas dans l’enclos et un élève peut bien préméditer son acte et passe n’importe où pour accéder à sa salle de classe échappant ainsi au contrôle des surveillants, contrairement à l’établissement d’en face donc ce genre d’actes ont juste tardé

Le corps se trouve en ce moment à la morgue de Bertoua. Une traque a été lancée contre l’assassin fugitif.   Il nous revient que le lycée Bilingue de Bertoua n’a pas d’enclos. Les quartiers périphériques de ce lycée sont réputés pour être des endroits par excellence de trafic de drogue.

 « Il y a toujours eu une relation incestueuse entre les élèves et les consommateurs de stupéfiants venant des quartiers Tindamba, Nyangansa,  Enia et Gaïkada. Et tout se passe derrière l’établissement sous les arbres c’est pourtant connu, l’établissement n’est pas dans l’enclos et un élève peut bien préméditer son acte et passe n’importe où pour accéder à sa salle de classe échappant ainsi au contrôle des surveillants, contrairement à l’établissement d’en face donc ce genre d’actes ont juste tardé » témoigne un riverain. De source bien introduite, une enquête est ouverte pour établir les responsabilités.

Advertisement

CLIQUEZ ICI POUR LIRE L’ARTICLE ORIGINAL SUR actucameroun.com

Continue Reading

Actualité

Le Réseau des médecins de district du Cameroun demande à son tour à Manaouda Malachie de réhabiliter Dr Assamba Mpom

Published

on

Spread the love

La corporation des médecins au Cameroun, représentée par le Réseau des médecins de district (Remedic), a pris position en faveur du Dr Assamba Mpom, directeur de l’hôpital de district de Messamena dans la région du Centre. Le réseau demande au ministre de la Santé publique, Malachie Manaouda, d’annuler la suspension de sa solde et de son poste. Dans leur demande de recours gracieux, le Remedic soutient que le Dr Assamba a fait preuve à maintes reprises de dévouement envers ses patients et d’engagement envers les normes les plus élevées de pratique médicale, lit-on.

Aux origines de la suspension du médecin

Cette affaire a débuté le 23 janvier dernier, lorsque le sous-préfet de Messamena a adressé une demande d’explication au Dr Serge Assamba Mpom pour son absence du poste entre le 14 et le 21 janvier. Le médecin a de son côté, dénoncé un harcèlement administratif. La situation s’est empirée le 18 mars, lorsque le ministre Malachie Manaouda a suspendu le Dr Assamba de son poste de directeur de l’hôpital de district de Messamena pour des manquements graves à l’éthique et à la déontologie médicale.

Cette décision a suscité une vive réaction au sein de la communauté médicale. L’Ordre national des médecins du Cameroun (ONMC) a qualifié la sanction de disproportionnée et a plaidé en faveur de l’abandon de cette mesure par le ministère de la Santé. L’ONMC a également proposé une conciliation entre le Dr Assamba Mpom et le sous-préfet. Pour l’instant, le ministre Malachie Manaouda n’a pas annulé la suspension, qui est censée durer trois mois.

Actualité

Un militaire burkinabè arrêté en Côte d’Ivoire

Published

on

Spread the love

Un militaire burkinabè a été arrêté dans le nord-est de la Côte d’Ivoire. Il était en compagne d’un Volontaire pour la défense de la patrie (VDP). Ils ont été tous deux interpellés le mercredi 27 mars 2024.

Côte d’Ivoire : un VDP et un militaire burkinabè arrêtés à Téhini

Un militaire burkinabè et un VDP sont dans les mains de l’armée ivoirienne. Selon Jeune Afrique qui a rapporté l’information, les deux Burkinabè ont été appréhendés après avoir franchi la frontière entre leur pays et la Côte d’Ivoire à Téhini.

Ce n’est pas la première fois que ce genre de situation intervient entre les deux pays. En septembre 2023, deux gendarmes ivoiriens ont été interpellés, accusés d’avoir franchi la frontière pour se retrouver en territoire burkinabè. La situation reste floue autour de cette affaire. Aucun des deux pays n’a communiqué formellement sur le dossier.

À Abidjan, les autorités se contentent de rassurer les familles des concernés en indiquant qu’ils vont bien et que des tractations sont en cours pour leur libération. Plus de 7 mois déjà, mais toujours rien.

Advertisement

On se souvient encore de cette affaire tumultueuse des 49 soldats ivoiriens appréhendés au Mali. Qualifiés de mercenaires, ils ont été détenus de juillet 2022 à janvier 2023 où ils ont été libérés suite à la grâce présidentielle accordée par le président Assimi Goita.

Continue Reading

Trending