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Les coulisses de la “réconciliation” entre Samuel Eto’o et Yannick Noah

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L’ancienne gloire camerounaise de football et l’ex star franco-camerounaise de tennis ont-elles fumé le calumet de paix ? Des photos partagées sur la toile, l’ont laissé envisager. Cependant, des sources du journaliste Boris Bertolt, leur interaction a eu lieu par hasard lors d’une fête organisée chez un ministre de la République il y a quelques semaines.

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Cette prétendue réconciliation intervient dans un contexte de tensions entre la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) et son ancien équipementier, Le Coq Sportif. Suite à la rupture de son contrat, l’équipementier des procédures judiciaires réclamant plus de 10 milliards FCFA en dédommagement.

La manœuvre politique de Grégoire Owona ?

L’événement qui a réuni les deux personnalités sportives était l’inauguration d’un terrain de golf par le ministre du Travail, Grégoire Owona. Ce dernier aurait vu dans cette rencontre une opportunité politique et aurait orchestré, avec la médiation de Constance Owona, une mise en scène pour montrer une apparente réconciliation entre Eto’o et Noah, explique Boris Bertolt.

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Lors de la rencontre, Yannick Noah aurait été pris au dépourvu en découvrant la présence de Samuel Eto’o, notamment après un voyage ensemble six mois auparavant. Malgré des échanges de politesses, Eto’o aurait promis de recontacter Noah, une promesse qui n’aurait jamais été concrétisée, poursuit le lanceur d’alerte.

Bien que des photos aient immortalisé des sourires entre les deux personnalités, les coulisses de cette rencontre laissent entretenir des dissensions persistantes. Le litige financier entre Le Coq Sportif, dont Noah est actionnaire, et la Fecafoot reste un point de discorde majeur, rassure l’ancien journaliste de Mutations.

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“Les Lions indomptables ne sont pas favoris de la CAN en Côte d’Ivoire” : un ancien coach du Cameroun tranche

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Lors d’une apparition sur le plateau de l’émission Fou Fou Foot sur CRTV Sports le 27 novembre, Alexandre Belinga a déclaré que le Cameroun n’était pas parmi les favoris pour remporter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire. Toutefois, les quintuples champions d’Afrique peuvent se montrer imprévisibles comme à leur habitude. « Le Cameroun n’est pas parmi les favoris pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, mais peut surprendre, » a déclaré Belinga.

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2017 est encore dans les mémoires

À un mois et demi du début de la CAN 2024, le Cameroun traverse une période délicate, avec des incertitudes et des critiques autour du sélectionneur Rigobert Song. Cependant, l’expérience passée montre que les Lions indomptables peuvent compter su sa détermination pour défier tous les pronostics. Lors de l’édition de la CAN 2017, le Cameroun, loin d’être favori, a finalement décroché son 5e titre continental. Les hommes de l’entraîneur d’antan Hugo Bross et son adjoint Alexandre Belinga avaient tour à tour, éliminé le pays organisateur le Gabon en poules, le favori sénégalais en quarts de finale, le Ghana en demies puis l’Egypte en finale.

Vincent Aboubakar et ses coéquipiers, bien conscients des défis qui les attendent, entrent dans le tournoi avec l’intention de montrer qu’ils peuvent encore surprendre le monde du football. Les Lions indomptables savent qu’un supplément d’âme peut souvent faire la différence, même lorsque les attentes ne sont pas à leur avantage. La CAN 2023 s’annonce comme un nouveau défi pour le Cameroun, et les fans espèrent que l’équipe pourra puiser dans l’esprit qui les a conduits à la victoire en 2017.

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Une adolescente de 17 ans tuée par son conjoint à l’Est Cameroun

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Au Cameroun, les cas tragiques de violence conjugale continuent de susciter l’inquiétude. Une nouvelle victime, Audrey Nguele, une adolescente de 17 ans élève au lycée de Diang, a succombé aux coups de son concubin, ajoutant son nom à la liste des femmes malheureusement tuées par leur partenaire. Audrey Nguele a été transportée d’urgence à l’hôpital régional de Bertoua après avoir subi des violences, entraînant une hémorragie interne. Malheureusement, malgré les efforts médicaux, elle n’a pas survécu et a perdu la vie tôt le matin du 28 novembre 2023. Le conjoint présumé, Bekobe Éric, accusé d’avoir tué Audrey Nguele à coups de poing, a été appréhendé par les gendarmes et est actuellement détenu à la gendarmerie de Ngodi Bakoko à Douala.

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Les violences des femmes devenues monnaie courante

Cette tragédie survient après d’autres incidents récents de violence conjugale au Cameroun, dont le meurtre brutal d’une enseignante à Douala et celui d’une autre femme dans le village du Sud Cameroun nommé Bikop. Ces événements mettent en évidence la nécessité de sensibiliser davantage sur les violences domestiques et de prendre des mesures pour protéger les femmes et les jeunes filles contre de tels actes barbares. Selon le mouvement Stop féminicides 237, on dénombre au moins 50 décès de femmes des mains d’un homme depuis le début d’année 2023. Une statistique alarmante qui rappelle s’il en était encore besoin, que la situation est grave.

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Un nouveau sous-préfet au cœur d’un scandale

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Selon plusieurs témoignages, André Christian Olomo, sous-préfet d’Okala, aurait abusé de son pouvoir en exigeant des services gratuits dans une laverie locale. Les informations confirmées par nos confrères d’Actu Cameroun, indiquent que le « Chef de terre »  avait l’habitude de déposer sa voiture et celle de sa femme, en demandant aux employés de les nettoyer sans payer.

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Ce privilège, qui aurait été toléré par les jeunes laveurs pendant un certain temps, a finalement conduit à un affront. Vendredi dernier, les travailleurs ont décidé de ne plus accepter cette exigence gratuite et ont fermé la laverie, refusant de se plier à la demande du sous-préfet.

En réponse, André Christian Olomo aurait fait intervenir la gendarmerie locale pour arrêter plusieurs jeunes laveurs qui avaient osé refuser ses demandes. Certains ont été arrêtés de manière brutale, en violation des principes de l’État de droit.

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Fermeture exigée de la laverie

Pire encore, le sous-préfet aurait demandé la fermeture complète de la laverie qui avait osé s’opposer à ses demandes. Cette réaction autoritaire soulève des questions sur les dérives autocratiques de certains hauts fonctionnaires, mettant en lumière des abus de pouvoir choquants. Face à ce qu’elle considère comme de l’abus de pouvoir de l’autorité administrative, la laverie n’a malheureusement aucun moyen de riposte.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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