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le déploiement des policiers kényans une nouvelle fois reporté

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Le déploiement des policiers kényans en Haïti, prévu pour lutter contre la montée en puissance des gangs, a été une nouvelle fois reporté. Pour se justifier, Nairobi invoque des conditions de formation et de financement non remplies.

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Haïti : le déploiement des policiers kényans une nouvelle fois reporté

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Le déploiement des policiers kényans en Haïti, a été une nouvelle fois reporté. Le report annoncé jeudi constitue un coup dur pour Haïti, où des pans entiers du pays sont sous le contrôle des gangs, plongeant la nation dans une situation infernale, selon Pierre Espérance, directeur exécutif du Réseau national de défense des droits de l’homme en Haïti. Les liens entre les gangs et les autorités étatiques persistent, créant un climat d’insécurité chronique depuis le gouvernement de Jovenel Moise.

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Le mois dernier, l’ONU avait confié au Kenya le commandement d’une mission multinationale destinée à endiguer la menace gangrenant le pays. Cependant, l’absence de gouvernement opérationnel en Haïti, combinée à l’affaiblissement des institutions clés, dont la police, pose des défis majeurs à toute force étrangère, souligne Pierre Espérance.

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Le gouvernement d’Ariel Henry est critiqué pour ne pas avoir réussi à rétablir la stabilité et avoir potentiellement renforcé l’insécurité, permettant aux gangs de gagner du terrain.La situation sécuritaire précaire est soulignée par le fait que la police haïtienne, débordée, a perdu 32 membres depuis le début de l’année, témoignant de la difficulté à faire face aux gangs armés.

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Guibai Gatama à Cavaye Yeguié Djibril : « dites à Paul Biya que le grand Nord a besoin de route »

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Le président de l’Assemblée nationale a visité le chantier du Nouveau siège de la chambre basse du parlement camerounais. Dans une vidéo en circulation de ladite visite du chantier, la troisième personnalité a scandé le nom du Chef de l’Etat. « Paul Biya oyeee », a-t-il clamé.

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Poser les problèmes du grand Nord au président de la République

L’élite du septentrion, Guibai Gatama pense qu’il ne faut plus seulement scander le nom du locataire d’étoudi, mais il faut poser les vrais problèmes et surtout le manque de travail des jeunes cette aire géographique du pays. « Il ne suffit plus seulement de dire Paul Biya Oyeee…. Ajoutez aussi que Paul Biya, le Grand-Nord a besoin de routes…, Paul Biya les jeunes Nordistes veulent du travail… Ne vous cachez plus derrière Paul Biya, faites votre aggiornamento pendant qu’il est encore temps », écrit le journaliste et directeur de publication de l’œil du Sahel.

Retour du pouvoir au Nord

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« Dès 1982, le Grand-Nord a été un fidèle lieutenant de Paul Biya. Depuis et malgré les embûches, il a fait ses preuves et a porté le grade de colonel en 2011. Il aspire désormais, légitimement, à celui de général et commandant en chef après le départ de Paul Biya », précise l’acteur sociopolitique.

Le gouvernement a annoncé la baisse du prix du ciment à Yaoundé et à Douala. « Combien coûte alors le sac de ciment dans le Septentrion ? », s’interroge Guibai Gatama.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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le gouvernement reconnait enfin une tentative de coup d’état

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Il s’agissait d’une opération pour « subvertir illégalement et renverser le gouvernement démocratiquement élu », a déclaré officiellement le ministre de l’Information, Chernor Bah.

Dans le cadre des enquêtes, les autorités ont publié une liste d’une trentaine de personnes dont des civils et militaires, activement recherchées.

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Pour rappel, des inconnus armés ont attaqué des baraquements militaires, une armurerie, des centres de détention dimanche dernier semant la panique à Freetown. Ce mardi, les autorités ont reconnu qu’il s’agissait d’une tentative de putsch organisée par des soldats actifs ou à la retraite. Le dernier bilan indique 21 morts dont 14 soldats et trois assaillants.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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