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le Burkina se rapproche de la Russie et du Rwanda

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Les autorités militaires du Burkina Faso ont décidé de diversifier leurs partenariats militaires pour renforcer la lutte contre le terrorisme. C’est ce qui justifie en grande partie, des discussions que Ouagadougou a récemment initiées avec Kigali et Moscou.

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Coopération militaire : le Burkina se rapproche de la Russie et du Rwanda

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Après avoir mis la France au dehors, le Burkina a décidé de diversifier ses partenariats stratégiques dans le domaine militaire. Désormais, Ouagadougou se penche davantage pour la Russie, mais pas que. Le Rwanda, une référence dans la lutte contre le terrorisme en Afrique, semble être aussi sur les tablettes des autorités militaires du Burkina Faso.

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En effet, le général de brigade Célestin Simporé, chef d’état-major général des armées burkinabè, a effectué une visite historique à Kigali, marquant ainsi le début d’une coopération militaire entre le Burkina Faso et le Rwanda. La rencontre, qui a eu lieu au quartier général des Forces armées rwandaises, a été l’occasion de discuter des moyens de renforcer la coopération en matière de défense. Le général Simporé a été accueilli par le lieutenant général Mubarak Muganga et le ministre de la Défense Juvenal Marizamunda.

Parallèlement, le ministre burkinabè de la Défense, le Général de Brigade Kassoum Coulibaly, a tenu des échanges avec son homologue russe Sergey Shoigu. Ces discussions, centrées sur la coopération militaire, visent à consolider les liens de défense bilatéraux entre les deux nations. Le ministre Coulibaly a salué le partenariat avec la Russie, le qualifiant de « vraie phase pratique ». De son côté, Sergey Shoigu a souligné la « dynamique positive » des relations russo-burkinabè, fondées sur le respect mutuel et la considération des intérêts de chaque pays.

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Depuis l’accession au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré en septembre 2022, le Burkina Faso s’est engagé dans une diversification des partenariats militaires pour renforcer sa capacité à lutter contre le terrorisme qui sévit depuis huit ans dans la région.

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Guibai Gatama à Cavaye Yeguié Djibril : « dites à Paul Biya que le grand Nord a besoin de route »

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Le président de l’Assemblée nationale a visité le chantier du Nouveau siège de la chambre basse du parlement camerounais. Dans une vidéo en circulation de ladite visite du chantier, la troisième personnalité a scandé le nom du Chef de l’Etat. « Paul Biya oyeee », a-t-il clamé.

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Poser les problèmes du grand Nord au président de la République

L’élite du septentrion, Guibai Gatama pense qu’il ne faut plus seulement scander le nom du locataire d’étoudi, mais il faut poser les vrais problèmes et surtout le manque de travail des jeunes cette aire géographique du pays. « Il ne suffit plus seulement de dire Paul Biya Oyeee…. Ajoutez aussi que Paul Biya, le Grand-Nord a besoin de routes…, Paul Biya les jeunes Nordistes veulent du travail… Ne vous cachez plus derrière Paul Biya, faites votre aggiornamento pendant qu’il est encore temps », écrit le journaliste et directeur de publication de l’œil du Sahel.

Retour du pouvoir au Nord

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« Dès 1982, le Grand-Nord a été un fidèle lieutenant de Paul Biya. Depuis et malgré les embûches, il a fait ses preuves et a porté le grade de colonel en 2011. Il aspire désormais, légitimement, à celui de général et commandant en chef après le départ de Paul Biya », précise l’acteur sociopolitique.

Le gouvernement a annoncé la baisse du prix du ciment à Yaoundé et à Douala. « Combien coûte alors le sac de ciment dans le Septentrion ? », s’interroge Guibai Gatama.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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le gouvernement reconnait enfin une tentative de coup d’état

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Il s’agissait d’une opération pour « subvertir illégalement et renverser le gouvernement démocratiquement élu », a déclaré officiellement le ministre de l’Information, Chernor Bah.

Dans le cadre des enquêtes, les autorités ont publié une liste d’une trentaine de personnes dont des civils et militaires, activement recherchées.

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Pour rappel, des inconnus armés ont attaqué des baraquements militaires, une armurerie, des centres de détention dimanche dernier semant la panique à Freetown. Ce mardi, les autorités ont reconnu qu’il s’agissait d’une tentative de putsch organisée par des soldats actifs ou à la retraite. Le dernier bilan indique 21 morts dont 14 soldats et trois assaillants.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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