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L’acteur Mr Ibu de Nollywood amputé d’une jambe

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Le célèbre acteur nigérian, John Okafor alias Mr Ibu vient de perdre une partie de sa jambe. Rongé par un mal et pour le sauver, il était impérieux de l’amputer rapidement.

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Le célèbre acteur nigérian Mr Ibu amputé d’une jambe

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Le monde cinématographique de Nollywood au Nigéria vit actuellement une situation difficile. L’un de ses grands acteurs a failli perdre la vie. Le célèbre homme de cinéma, John Okafor alias Mr Ibu est dans une mauvaise impasse en ce moment. L’acteur nigérian avait dans une vidéo lancé un appel à l’aide financière à ses collègues et à ses fans pour un traitement médical immédiat sinon il allait avoir une jambe amputée.

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L’appel a été entendu et plusieurs acteurs de Nollywood et des fans ont réuni des fonds pour aider l’acteur nigérian. Héliporté dans un hôpital du pays pour recevoir des soins adéquats, Mr Ibu a vu sa jambe être amputée.

L’information a été donnée sur les réseaux sociaux par sa fille du prénom de Jasmine qui a indiqué que son père a subi 7 opérations chirurgicales pour le sauver la vie et l’amputation de la jambe était inévitable. ‘’Bonjour nigérians, nous voulons remercier tous ceux qui sont venus en aide à notre père. Dire que nous sommes reconnaissants est un euphémisme et seul le bon Dieu peut vous remercier suffisamment pour toute l’aide que vous nous avez apportée. Papa a subi 7 opérations chirurgicales réussies, mais pour le maintenir en vie et augmenter ses chances de guérison, une de ses jambes a dû être amputée. Cette évolution a été difficile pour nous tous, mais nous avons dû le faire. Acceptez-le comme la nouvelle réalité de papa pour le garder en vie’’, explique-t-elle.

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Il faut noter que le célèbre acteur avait déjà été opéré de la jambe le 31 octobre dernier et les nigérians n’avaient connaissance de la gravité de son mal. Mr Ibu avait aussi célébré son 62ème anniversaire sur son lit d’hôpital à cette période.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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le gouvernement reconnait enfin une tentative de coup d’état

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Il s’agissait d’une opération pour « subvertir illégalement et renverser le gouvernement démocratiquement élu », a déclaré officiellement le ministre de l’Information, Chernor Bah.

Dans le cadre des enquêtes, les autorités ont publié une liste d’une trentaine de personnes dont des civils et militaires, activement recherchées.

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Pour rappel, des inconnus armés ont attaqué des baraquements militaires, une armurerie, des centres de détention dimanche dernier semant la panique à Freetown. Ce mardi, les autorités ont reconnu qu’il s’agissait d’une tentative de putsch organisée par des soldats actifs ou à la retraite. Le dernier bilan indique 21 morts dont 14 soldats et trois assaillants.

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[Point de vue] Consolider la paix au sein du parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN) par l’entremise du dialogue

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Le dialogue entre camarades du parti et au-delà du parti apparaît comme un imperium necessitae pour prévenir toutes formes de conflits, de crises qui peuvent à terme conduire à la dispersion des troupes. Point n’est besoin de faire un exposé sur les conséquences des crises au sein d’une organisation pour en mesurer les effets néfastes. Le dialogue vise à réduire cette envahissante justification de soi, cet orgueil, cette arrogance des hommes, cette peur des « autres », qui depuis la nuit des temps a souvent conduit à des scènes de violences indescriptibles. Le refus de se parler contribue à éloigner les uns des autres et à faire naître la méfiance et la répulsion des autres. Et ce refus de se parler a souvent été exploité sans vergogne et à leur corps défendant par les entrepreneurs de la division de toutes sortes pour justifier ou légitimer les situations crisogènes, mortifères entre les peuples.

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Mais, il y a un autre aspect du dialogue dont on se préoccupe très peu souvent ; qui pourtant témoigne de ce qui nous distingue ou nous singularise des autres espèces du règne animal : celui d’apporter un peu de ce que nous sommes et que nous avons à l’autre. Oui, dialoguer est une situation de don et de contre don. En situation de dialogue, nous donnons ce que nous avons en nous et nous recevons en retour de l’autre ce que nous n’avons pas en nous. En clair, le dialogue est une situation d’enrichissement mutuellement bénéfique. Qu’est-ce à dire sinon, tout simplement, d’essayer de rendre cette vie un peu plus vertueuse, un peu meilleure. En ayant recours au dialogue, nous sommes amenés à nous voir comme nous sommes et dont on n’a pas souvent pas conscience à travers les yeux de l’autre et dans la même veine d’exorciser si pas complètement, du moins autant que faire se peut, le péché capital commun à la grande majorité des religions : l’orgueil.

Oui, le dialogue est mère de la Paix. Cette Paix qui est inscrite au fronton de la devise du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), Vérité-Amour-Paix. En effet, le dialogue contribue à la création d’une société de Paix. Une société qui participe à rendre les hommes qui y vivent meilleurs. Car travers le dialogue nous prenons conscience de la vanité, de l’inhumanité et de l’orgueil qui nous pousse à nous comporter de manière inconséquente et antisocial. Se considérant parfois comme le centre du monde et exigeant des autres qu’il nous voue un culte ou que sais-je d’autre. Le dialogue nous permet de prendre conscience de notre frêle condition humaine et à s’ouvrir aux autres dans un processus de collaboration, de coopération et d’entraide mutuelle. Seuls ceux qui dialoguent savent déceler chez les autres ce qu’ils n’ont pas et qu’ils peuvent de manière compensatoire obtenir chez l’autre.

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Le dialogue devrait apparaître dans notre quotidienneté comme une nécessité et non comme une alternative. Si nous refusons de dialoguer, cette belle dynamique que nous poussons chacun avec ses singularités, ses particularismes, risque de s’écrouler et de disparaître. L’histoire des sociétés humaines est riche d’exemples de sociétés qui ont disparu parce qu’elles avaient minimisé le dialogue dans leur matrice existentielle. Car comme nous l’avons dit plus haut, c’est grâce au dialogue entre le leader et ses lieutenants, entre les responsables territoriaux et les militants de la base, entre les militants et les populations sur le terrain que nous parviendrons à construire quelque chose d’extrêmement fort et de puissant.

Le Président National du PCRN, l’honorable Cabral Libii  mû par la clairvoyance et l’ensemble  des valeurs humaines et spirituelles qui structurent son leadership politique a décidé d’organiser des concertations avec le Directoire national du parti pour parvenir à un consensus dans le cadre de la résolution de la crise larvé qui retient l’attention de plus d’un. C’est avec une grande satisfaction et beaucoup de sérénité que nous accueillons ces assises qui démarrent ce jour avec la rencontre des Régionaux et qui se poursuivra samedi avec les Membres du Bureau politique National, les Vice-présidents et les Elus en leur qualité respective (Députés titulaires et Magistrats municipaux).

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Restons mobilisés et préparons sereinement le congrès ordinaire de Kribi comme cela nous a été recommandé par le Président National.

Un autre Cameroun est possible, un Cameroun dans lequel le Dialogue, la Réconciliation et la Libération des Energies seront le cœur même de la Gouvernance politique.

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Aristide Bitouga, PhD

Président du Bureau politique National

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Rejoint le groupe WhatsApp

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