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La Côte d’Ivoire présente ses acquis en matière de sécurité

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Vagondo Diomandé a pris part à Milipol 2023, un événement mondial de la sûreté et de la sécurité intérieure des États. Le ministre ivoirien de l’Intérieur et de la Sécurité s’est réjoui de sa participation.

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Côte d’Ivoire : Vagondo Diomandé a pris part au Milipol 2023

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Milipol Paris 2023 s’est tenu du 14 au 17 novembre. L’événement a réuni plusieurs professionnels de la sécurité.

La Côte d’Ivoire représentée par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Général Vagondo Diomandé, totalise de nombreux acquis. “Cette visite nous a permis de faire le point des nombreuses avancées technologiques en matière de sécurité. Nous venons de voir une proposition très intéressante qui consiste à surveiller les frontières de manière efficace. Ce sont des solutions dont nos pays ont besoin. Une fois que nous aurons acquis cette technologie, beaucoup de problèmes à nos frontières vont être résolus avec une efficacité que nous recherchons tous”, a laissé entendre Vagondo Diomandé.

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Milipol 2023 a connu un franc succès confirmant ainsi le dynamisme du secteur et confortant l’événement comme le rendez-vous incontournable de la sécurité intérieure des États. Ce salon a été aussi bénéfique pour la Côte d’Ivoire.

En marge de l’événement, le ministre ivoirien de la Sécurité et son homologue français, Gérald Darmanin, ont passé en revue le renforcement de la coopération en matière de sécurité entre la Côte d’Ivoire et la France, notamment la question de l’immigration irrégulière, la lutte contre la fraude documentaire et l’organisation de la CAN 2023.

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“Il est important que notre partenaire, la France, dont la voix porte auprès de l’Union européenne comprenne les efforts qui sont faits par la Côte d’Ivoire et qu’elle puisse nous accompagner sur les différents projetse, a dit Vagondo Diomandé. Il faut noter que des experts français sont attendus prochainement à Abidjan. Cette mission renforcera les préparatifs sécuritaires entamés et confortera les initiatives prises par le gouvernement ivoirien.

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Plusieurs rendez-vous B to B avec des experts de la sécurité mondiale, des interviews accordées et la participation à des panels ont également meublé le riche séjour du général Vagondo. “Je suis satisfait de ce salon et je repars avec la certitude que, non seulement notre pays est à un niveau où il peut être envié par les autres pays, mais qui a besoin d’améliorer son dispositif avec des solutions qui nous ont été proposées ici. L’essentiel est qu’il fasse bon vivre en Côte d’Ivoire, que tous ceux et toutes celles qui fréquentent notre pays se sentent en sécurité et soient effectivement en sécurité”, s’est-il exprimé.

À en croire le sécurocrate ivoirien, la sécurité publique en Côte d’Ivoire connait une avancée très notable aujourd’hui. Toutefois, il reconnait que de nouveaux outils d’anticipation pourraient rendre plus efficace l’action du gouvernement pour la sécurité des personnes et des biens surtout dans le cadre des enquêtes, de la gestion d’une crise ou de la gestion d’un évènement important.

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“L’évènement que nous avons aujourd’hui en ligne de mire c’est la coupe d’Afrique des Nations (CAN 2023) prévue à partir du mois de janvier 2024. Toute notre attention est portée sur cet évènement. Au passage, les fêtes de fin d’année vont s’inviter dans le débat. Au regard de ce que j’ai pu bien voire ici, nous ne sommes pas aussi mal lotis. Il y a des améliorations à apporter et des esquisses de solutions ont été trouvées ici. Nous verrons comment acquérir dans le plus bref délai ce qu’il nous faut pour que la Côte d’Ivoire reste ce pays fréquentable”, a affirmé M. Vagondo.

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Milipol Paris est l’événement mondial de la sûreté et de la sécurité intérieure des États. Il réunit tous les deux ans, les acteurs internationaux de la sécurité intérieure, et est l’épicentre de toutes les innovations en matière de sécurité.

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L’opposant sénégalais Ousmane Sonko confronté à un nouvel

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Ousmane Sonko,432

La Caisse des dépôts et consignations de l’État sénégalais a refusé d’encaisser la caution nécessaire pour la validation de la demande de candidature à la présidentielle de l’opposant. La raison est que Ousmane Sonko a été radié des listes électorales et n’est donc plus éligible.

Dans la course à la présidentielle, le paiement de la caution était une étape obligatoire pour pouvoir être candidat.

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Alors qu’un représentant d’Ousmane Sonko a voulu payer les 29 265 750 FCFA (environ 45 000 euros) de caution ce jeudi 30 novembre, la demande a été rejetée parce que l’opposant a été radié des listes électorales suite à sa condamnation à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse et ne peut donc pas prétendre à la candidature présidentielle.

Pour ses partisans, la décision de radiation d’Ousmane Sonko des listes électorales n’est pas définitive vu que l’affaire a été renvoyée devant un autre tribunal.

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les députés de l’opposition empêchent le Premier ministre de prendre la parole

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Les élus d’au moins quatre partis de l’opposition accusent le gouvernement de violer la loi portant régime financier de l’État du Cameroun, notamment en ce qui concerne le délai du dépôt du projet de loi de Finances.

Au Cameroun, les députés de l’opposition ont empêché le Premier ministre Joseph Dion Ngute de présenter le programme économique financier, social et culturel de l’État pour l’exercice 2024.

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Selon la député Rolande Ngo Issi, député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, le principal parti de l’opposition qui était en première ligne de front, « les députés du PCRN, de l’UDC, du SDF et l’honorable Michel Nitcheu ont empêché au Premier Ministre chef du gouvernement de prendre la parole pour présenter le programme économique, social et culturel du gouvernement pour l’année 2024. En prélude au projet de loi de finances déposé le même jour ». 

Les députés des partis de l’opposition cités dénoncent une « violation grave de loi de 2018 portant régime financier de l’Etat du Cameroun en ses articles 56 et 57 qui stipulent entre autres que, le projet de loi de finances doit être déposé au parlement au moins 15 jours avant le début de la session budgétaire de chaque année. Fort de ce mépris, les députés de l’opposition sus cités ont trouvé qu’il était inadmissible de continuer à laisser prospérer cette forfaiture. Au bout de plus de deux heures de blocus les concertations engagées avec le gouvernement n’ayant pas abouti à un report pour la convocation d’une session extraordinaire, en vue de l’examen minutieux et méticuleux de ce projet de loi afin d’y apporter les amendements conséquents et au regard de la pression des députés du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), parti au pouvoir les députés de l’opposition battus au niveau du nombre se sont retirés de la salle des débats. En laissant un parlement monologue », explique la députée de l’opposition. 

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A noter que le projet de loi de finances déposé à l’Assemblée nationale est arrivé de manière partielle dont 122 pages sur les 15.000 pages, des documents annexes attendus. 

Essama Aloubou

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quel espoir pour la libération de l’opposante Reckya Madou

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Membre du parti Les Démocrates, Reckya Madougou vient de compter 1 000 jours en détention à la prison civile de Missérété, à la périphérie de la capitale béninoise Porto-Novo. Face au refus du chef de l’État béninois d’accorder la grâce présidentielle à sa cliente, son avocat Renaud Agbodjo invite Patrice Talon à « transcender ses ressentiments, ses rancœurs à l‘égard d’opposants politiques ».

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a condamné l’ex-ministre Reckya Madougou à 20 ans de prison pour « financement du terrorisme ».

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Malgré plusieurs appels à la libération de l’opposante, le président béninois Patrice Talon a réaffirmé ce 27 novembre en conférence de presse « qu’il ne comptait pas la gracier ».

« La contradiction principale à la libération de madame Reckya Madougou, ce n’est plus la justice, ou ça n’a jamais été la justice béninoise, c’est monsieur Patrice Talon lui-même qui a déclaré qu’il n’entendait pas libérer madame Reckya Madougou et donc qu’il n’entendait pas mettre à exécution l’avis du GTDA (ndlr, Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies) », regrette son avocat Renaud Agbodjo, cité par Rfi.

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En effet, le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a réclamé la remise en liberté de l’opposante et ex-ministre en jugeant « la privation de liberté de Reckya Madougou arbitraire ».

L’avocat Renaud Agbodjo « invite le chef de l’État à avoir le sens du pardon comme n’étant pas une erreur, parce que le pardon n’est jamais une erreur. Le pardon est organisé dans la loi sous la forme d’une amnistie, même sous la forme d’une grâce, sous la forme d’une liberté conditionnelle. Le pardon est juridiquement reconnu et traduit dans la loi pénale ».

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L’opposante et cadre du parti Les démocrates ne peut donc compter que sur la magnanimité du président béninois Patrice Talon pour sa remise en liberté.

L’ancien président Boni Yayi, chef du parti Les Démocrates, met toute son espérance dans la proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale visant à accorder l’amnistie aux « prisonniers et détenus politiques ».

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Rejoint le groupe WhatsApp

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