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La CAF autorise les sélections à convoquer 27 joueurs

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La Confédération africaine de football a autorisé les pays qualifiés pour la Coupe d’Afrique des Nations 2023 à convoquer 27 joueurs pour la compétition.

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CAN 2023 : La CAF autorise les sélections à convoquer 27 joueurs

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Pour la CAN 2023, prévue du 13 janvier au 11 février 2024 en Côte d’Ivoire, la CAF a autorisé les sélectionneurs des pays qualifiés à élargir leur liste à 27 joueurs. La décision du comité exécutif de l’instance faîtière du football africain a été notifiée aux fédérations des 24 pays en lice pour le tournoi continental.

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L’annonce a été faite Yacine Idriss Diallo, président de la Fédération ivoirienne de football (FIF). Cette décision survient à moins de deux mois du coup d’envoi de cette CAN. Auparavant, la CAF avait autorisé des listes élargies à plus de 23 joueurs durant la période de la Covid-19 notamment à la CAN 2021 au Cameroun.

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Coup de tonnerre : Jean Pierre Amougou Belinga et Maxime Eko Eko sont libres

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L’affaire Amougou Belinga, qui défraie la chronique depuis près d’un an au Cameroun, vient de connaître un nouveau rebondissement. Ce vendredi 1er décembre 2023, le juge d’instruction militaire Sikati Kwamo, a ordonné la mise en liberté de Jean-Pierre Amougou Belinga, patron du groupe l’Anecdote et principal accusé dans l’assassinat du journaliste Martinez Zogo. Le même juge a aussi ordonné la remise en liberté de Maxime Eko Eko, patron de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE), l’un des accusés dans le meurtre du journaliste.

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Ces décisions ont provoqué la stupeur et l’indignation au sein de l’opinion publique camerounaise, qui réclame justice pour le journaliste tué le 15 février 2023 à Yaoundé. Martinez Zogo, qui travaillait pour la radio Amplitude FM, avait été enlevé, torturé et assassiné par des hommes armés, après avoir dénoncé sur les ondes les pratiques mafieuses et les détournements de fonds publics impliquant le groupe l’Anecdote et ses alliés politiques.

Selon les enquêtes menées par la commission mixte police-gendarmerie, Jean-Pierre Amougou Belinga serait le commanditaire du crime, ayant payé des mercenaires pour exécuter le journaliste. Maxime Eko Eko, quant à lui, aurait fourni les armes et les moyens logistiques aux tueurs. Les deux hommes ont été arrêtés le 6 février 2023, ainsi que d’autres complices, dont le journaliste Bruno Bidjang et l’ancien commandant de la Garde présidentielle, le colonel à la retraite Raymond Thomas Etoundi Nsoe qui avaient été relaxés quelques jours plus tard.

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Une libération qui va sans doute faire parler

Depuis lors, l’affaire Amougou Belinga a suscité de nombreuses réactions et manifestations, tant au Cameroun qu’à l’étranger, pour demander que la lumière soit faite sur ce crime odieux et que les coupables soient punis. Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme et de la liberté de la presse, comme Amnesty International, Reporters sans frontières ou le Comité pour la protection des journalistes, ont condamné le meurtre de Martinez Zogo et appelé les autorités camerounaises à garantir un procès équitable et transparent. Or, la libération de Jean-Pierre Amougou Belinga et de Maxime Eko Eko vient remettre en cause le sérieux et l’indépendance de la justice camerounaise, qui semble selon certaines sources, céder aux pressions et aux influences des puissants.

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Affaire Martinez Zogo : Amougou Belinga et Maxime Eko Eko sont maintenant libres

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Une nouvelle inattendue secoue l’affaire Martinez Zogo ce vendredi 1er décembre 2023. Selon des sources fiables, le juge d’instruction militaire Sikati Kwamo a décidé de libérer Amougou Belinga, dirigeant du groupe l’Anecdote et principal accusé dans l’assassinat du journaliste Martinez Zogo.

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Cette décision de mise en liberté concerne également Maxime Eko Eko, responsable de la Direction Générale de la Recherche Extérieure (DGRE), également impliqué dans cette affaire.

Cette annonce de libération est surprenante dans le contexte de cette affaire qui a défrayé la chronique. Amougou Belinga et Maxime Eko Eko étaient tous deux impliqués dans l’enquête autour du meurtre du journaliste Martinez Zogo, une affaire qui a suscité une forte attention publique et médiatique.

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Ces remises en liberté font suite à une série de rebondissements dans l’affaire, marquée par des controverses et des spéculations depuis le début de l’enquête.

Il est attendu que cette décision soulève de nombreuses interrogations et discussions au sein de l’opinion publique, car elle pourrait avoir des implications majeures sur l’évolution du dossier et sur la justice entourant cet assassinat.

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Amougou Belinga, Cameroun Actuel

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le chef de la garde nationale mis aux arrêts

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En Guinée-Bissau, l’état-major a annoncé ce 1er décembre, une situation « sous contrôle » et l’arrestation du chef de la Garde nationale, impliqué dans une nuit d’affrontements dans la capitale.

Depuis cette nuit, cette unité, retranchée dans une caserne de Bissau, affrontait les forces spéciales. Ces échanges de tirs faisaient suite à ce qui s’apparente à une tentative d’évasion de deux hautes personnalités de l’État soupçonnées de corruption. 

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Le commandant qui dirigeait cette opération s’est finalement rendu.

Plusieurs de ses éléments ont aussi été arrêtés. Les autres sont en fuite. Le ministre Seidi et le secrétaire d’État Monteiro ont tous les deux été récupérés sains et saufs. Ils ont été remis dans leur cellule. 

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À l’origine de ces événements, les deux membres du gouvernement avaient été convoqués hier matin par la justice, avant d’être placés en garde à vue. Ils étaient interrogés sur le retrait suspect de 10 millions de dollars des caisses de l’État.

Des événements qui se sont déroulés alors que le président du pays, Umaro Sissoco Embalo, est en déplacement à Dubaï pour la COP 28.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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