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Jean Paul Choun Nyat : « Roméo Ngoula et Junior Ayissi sont licenciés pour avoir refusé de me désigner comme l’auteur souterrain de leur revendication »

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Depuis quelques jours, Jean Paul Choun Nyat a décidé d’en découdre avec ses anciens patrons à trvers une série de publication des textes dénonciateurs du management de ce support médiatique. Il dit avoir été accusé d’instiguer les revendications. « C’est alors que j’apprends que selon Monsieur Biamou m’accuse d’avoir instrumentalisé les nouvelles recrues à aller revendiquer leurs salaires auprès de Tata Makoudjou Florence, les autres ayant déjà perçu les leurs dans les banques depuis 03 semaines. Et ce qui énerve Théophile Biamou, c’est le fait que ces jeunes gens allant exiger leurs dus, ont tout révélé au PDG Séverin Tchounkeu en l’absence la toute puissante Directrice Administrative et Financière de l’alpha et l’oméga des souffles de vie à distribuer aux minables nécessiteux à ses yeux. Quelle aubaine pour Tooon Thiophy qui saisit la balle au bond, relatant à son grand frère que je suis l’instigateur en sous-marin de la mini << revendication sourde-muette >>, d’ailleurs Roméo Ngoula et Junior Ayissi ont beau me dédouaner de leur initiative, ils sont licenciés pour avoir refusé de me désigner comme l’auteur souterrain de leur action, le motif officiel affiché étant essai concluant au bout de quasiment d’un an de service. Je suis ahuri de l’apprendre sans être étonné des méthodes Biamou », déclare-t-il.

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Confirmation de Michel Ngatchou

Les propos allégués par le sociétaire du groupe Balafo médias sont approuvés par son ancien collègue qui n’y travaille plus aussi. « Jean Paul Choun Nyat devrais-je rappeler ici que c’est dans cet endroit infecte que nous nous y sommes reclus durant 8 mois avec Donald Brice Nkamgang ? Le peuple de Facebook est prompt à réagir à chaque sortie de ta part et d’y voir un sabotage pourtant tu nous relates les faits et je suis témoin de la profondeur de ces narrations. Ton silence m’impressionnait toujours dans cette fameuse « cellule » que nous partageons. Les cas de Roméo NGOULA et AYISSI c’est toute la vérité. Ces ex-collègues ont été chassés pour avoir revendiqué leur salaire après un an. C’est vrai. Tu sais je ne cesserai d’écrire pour t’accompagner et rappeler aux « insulteurs Facebooktiques » que cet homme est allé aussi loin dire à son frère aîné que dans ta résilience à céder à ses provocations «ou c’est lui ou c’est toi son grand frère doit choisir » il s’appelle BIAMOU NDJEUYA THÉOPHILE. Je t’ai dit n’arrête pas. Tu dois étaler ce truc qui détruit les carrières, tu dois alerter les parents qui laissent leurs enfants aller travailler là-bas, tu dois préparer ceux qui entrent, tu dois mettre à nu ce spécimen dangereux pour le groupe, les journalistes et le grand public. Que les injures pleuvent c’est comme de l’eau versé sur la roche tagni des triplés », écrit-t-il en commentaire de la publication.

Ci-dessous, l’intégralité de l’acte 4 de la dénonciation

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Acte iv

Les faits, tous les faits et rien que les faits. Vos insultes et railleries ne transformeront jamais la vérité, elle voyage sans passeport.

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La Can de football achevée en février 2022, retour à notre train-train quotidien. Monsieur le Directeur d’Exploitation Biamou Djeuya Théophile toujours pas satisfait de ne pas me voir choqué et bouleversé par sa décision de m’avoir mis à l’écart de la couverture de la Can dans les villes de Garoua, Limbe, Bafoussam, Yaoundé et Douala, l’homme a le cou gonflé de me voir, le visage tout rayonnant sans qu’il puisse déceler une quelconque gêne en moi.

Je ne suis programmé sur rien mais assidu comme toujours aux conférences de rédaction, contribuant très activement à la construction de l’édition du journal de 20 heures, orientant les angles de traitement des sujets quand ils sont mal formulés, me mettant à disposition des reporters pour la relecture et correction de leurs papiers ainsi que l’accompagnement à la présentation de la grande édition du 20 heures et ce jusqu’à mon départ en congés.

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Et de retour, deux semaines après, Monsieur Biamou Djeuya Théophile me demande de ne plus mettre les pieds à la rédaction sans toutefois que je comprenne de quoi il s’agit. Venu en personne m’ordonner sous un ton menaçant de quitter la salle, il pointe du doigt un coin lugubre dont je ne saurai dire si c’est un bureau – magasin – poubelle. Ça et là des déchets de toutes sortes : meubles pourris, des morceaux pouilleux de mousse, une casse de vieux appareils aux composants électroniques dangereux éparpillés, des morceaux de polystyrène, des excréments et urines de souris, infestés de cafard, c’est désormais mon cadre de travail sans meubles convenables où m’assoir dans un espace sans ouverture pour la circulation d’air et quelques fois sans éclairage, non sans demander que << mon BUREAU >> ne soit point nettoyé.

Waouh allez-vous crier que c’est incroyable n’est-ce pas ! À cet instant T, ce cadre de travail n’est pas encore ma préoccupation, moi cherchant toujours à comprendre les raisons de mon exclusion de la salle de rédaction. Le Directeur d’Exploitation très content de lui n’hésitant pas à me traiter toute honte bue de << prisonnier >>, rigolant pour son grand exploit. J’observais son délire en posant des actes dont certainement il ignorait leur portée présente et future.

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C’est alors que j’apprends que selon Monsieur Biamou m’accuse d’avoir instrumentalisé les nouvelles recrues à aller revendiquer leurs salaires auprès de Tata Makoudjou Florence, les autres ayant déjà perçu les leurs dans les banques depuis 03 semaines. Et ce qui énerve Théophile Biamou, c’est le fait que ces jeunes gens allant exiger leurs dus, ont tout révélé au PDG Séverin Tchounkeu en l’absence la toute puissante Directrice Administrative et Financière de l’alpha et l’oméga des souffles de vie à distribuer aux minables nécessiteux à ses yeux.

Quelle aubaine pour Tooon Thiophy qui saisit la balle au bond, relatant à son grand frère que je suis l’instigateur en sous-marin de la mini << revendication sourde-muette >>, d’ailleurs Roméo Ngoula et Junior Ayissi ont beau me dédouaner de leur initiative, ils sont licenciés pour avoir refusé de me désigner comme l’auteur souterrain de leur action, le motif officiel affiché étant essai concluant au bout de quasiment d’un an de service. Je suis ahuri de l’apprendre sans être étonné des méthodes Biamou. (La suite à l’acte 5)

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Tooon Ten B. voilà des photos de votre << Cellule Spéciale Biamou >> Désormais c’est preuves à l’appui.

bureauJPCN

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Alex Gustave Azebazé : « On ne peut pas accepter que l’administration s’érige de fait en juge des différends entre militants de partis politiques »

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Inacceptable, Mme le sous-préfet de Kribi II

Le journaliste n’est pas d’accord avec la décision de l’autorité sous-préfectorale de Kribi II et invite les démocrates à s’insurger de l’intrusion de l’autorité sur les affaires internes d’un parti politique.

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« Madame le sous-préfet, les dissensions internes font partie de la vie de toute organisation active. Ce que vous commencez là, est extrêmement dangereux pour la paix et la tranquillité dans ce pays. D’autant qu’il y a moins d’un mois, il s’est bel et bien tenu à Yaoundé le congrès du SDF malgré les dissensions internes marquées par plusieurs procédures en instance devant les juridictions nationales. À qui veut-on faire croire qu’il suffit qu’un militant saisisse l’autorité administrative voire la justice d’une requête pour que les activités statutaires classiques du parti dont il est membre soient mises sous le boisseau? Non et non.  Cette affaire ne concerne pas que Cabral Libii et ses supporters. En cette année veille des échéances électorales de 2025 (municipales, législatives et présidentielle) c’est intriguant. Ça doit inquiéter tous les démocrates voire tous les partisans de l’État de droit.  On ne peut pas accepter que l’administration s’érige de fait en juge des différends, réels ou supposés, entre membres ou militants de partis politiques. Qui pis, ont saisi la justice qui, en attendant qu’elle vide son instance, ne peut et ne doit être d’aucune justification d’une violation des droits fondamentaux des délégués du PCRN à se réunir où ils le souhaitent tant qu’il n’y a pas une décision juridictionnelle les en privant », écrit l’éditorialiste indépendant sur Facebook, le vendredi 24 novembre 2023.

L’Avocat Akere Muna est monté au créneau pour dénoncer l’acte d’interdiction de madame le Sous-préfet de Kribi II.

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Cameroun: L’équation à mille inconnus de l’affaire PCRN

Par quelque bout qu’on la prenne, je ne serai pas surpris que l’affaire du congrès interdit du PCRN à Kribi, en raison de prétendues dissensions internes, ait un lien avec les manœuvres ayant cours à l’intérieur du groupe autour du Rdpc, parti administratif au pouvoir. Un indicateur frappant : la décision du sous-préfet de Kribi de rapporter le récépissé de déclaration du 1er congrès ordinaire du parti camerounais pour la réconciliation nationale est intervenue quelques jours après la violente charge portée contre Franck Biya par le secrétaire national à la communication de ce parti. C’était lors de l’édition de Club d’élites sur Vision 4 du dimanche 6 novembre 2023, le jour anniversaire des 42 ans de l’accession de Paul Biya à la magistrature suprême camerounaise.

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Rappel: à 6000 kms de là, à Nice en France, le fils Biya à qui certains milieux prêtent l’ambition de succéder à son père, faisait son coming out. Le repositionnement de Franck Biya au sein du Rdpc, qui signifie qu’il n’exercerait aucune ambition supposée en dehors du parti fondé et dirigé par son père mais dont les spin-doctors essaient désormais de le présenter, à la différence des barons quinquagénaires impatients du régime, comme représentant la frange jeune et moderne, entrerait en concurrence avec le positionnement de Cabral Libii, et dans une certaine mesure, celle prêtée à Samuel Eto’o qui lui-même a multiplié des signes de rapprochement avec l’appareil partisan de M. Biya. Du moins depuis les polémiques sur sa gestion de la Fecafoot.

Dans ce contexte, abattre ou affaiblir Cabral Libii à la tête du PCRN et ainsi pousser certains de ses jeunes supporters qui ont toujours misé sur un positionnement modéré vis-à-vis de l’appareil gouvernant, au contraire de ceux, par exemple, du MRC, réputés extrêmement anti-Biya, peut servir cet objectif là. Ainsi, dans le doute sur la capacité de leur leader à affronter frontalement le régime au pouvoir, ils pourraient basculer derrière les mouvements en soutien à Franck Biya.

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Les prochains mois pourraient être palpitants dans les cercles qui ont toujours misé sur un changement tout en douceur.

AGA

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Guibai Gatama à Cavaye Yeguié Djibril : « dites à Paul Biya que le grand Nord a besoin de route »

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Le président de l’Assemblée nationale a visité le chantier du Nouveau siège de la chambre basse du parlement camerounais. Dans une vidéo en circulation de ladite visite du chantier, la troisième personnalité a scandé le nom du Chef de l’Etat. « Paul Biya oyeee », a-t-il clamé.

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Poser les problèmes du grand Nord au président de la République

L’élite du septentrion, Guibai Gatama pense qu’il ne faut plus seulement scander le nom du locataire d’étoudi, mais il faut poser les vrais problèmes et surtout le manque de travail des jeunes cette aire géographique du pays. « Il ne suffit plus seulement de dire Paul Biya Oyeee…. Ajoutez aussi que Paul Biya, le Grand-Nord a besoin de routes…, Paul Biya les jeunes Nordistes veulent du travail… Ne vous cachez plus derrière Paul Biya, faites votre aggiornamento pendant qu’il est encore temps », écrit le journaliste et directeur de publication de l’œil du Sahel.

Retour du pouvoir au Nord

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« Dès 1982, le Grand-Nord a été un fidèle lieutenant de Paul Biya. Depuis et malgré les embûches, il a fait ses preuves et a porté le grade de colonel en 2011. Il aspire désormais, légitimement, à celui de général et commandant en chef après le départ de Paul Biya », précise l’acteur sociopolitique.

Le gouvernement a annoncé la baisse du prix du ciment à Yaoundé et à Douala. « Combien coûte alors le sac de ciment dans le Septentrion ? », s’interroge Guibai Gatama.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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