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“Je ne suis candidat à rien”, dixit Yayi Boni

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Alors que les élections générales sont prévues en 2026 au Bénin, l’ancien chef de l’État béninois Thomas, Boni Yayi, dit qu’il ne sera pas candidat. Ayant déjà exercé deux mandats, ce dernier a atteint la limite d’âge de 70 ans. « Je ne suis candidat à rien », indique le leader du parti « Les Démocrates ».

Dans le cadre de cette triple confrontation électorale : communales, législatives, présidentielle, Boni Yayi fait par ailleurs, une requête spéciale à l’endroit de la Cédéao, l’Union africaine, la francophonie, les Nations unies, l’Union européenne.

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Le président du parti « Les Démocrates », réclame un audit international sur tout le processus électoral en place.

Pour justifier sa démarche, il explique que l’opposition n’est présente nulle part dans les instances qui organisent les votes.

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Le cadre institutionnel « n’est pas inclusif » avec une absence de l’opposition dans les instances en charge d’organiser le vote, regrette le président des Démocrates.  Il vise également le fichier électoral, pas fiable aux yeux de son parti.

« Je les sollicite pour aider le Bénin à organiser enfin des scrutins transparents et pacifiques », explique Boni Yayi.

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Avant qu’il ne prenne la tête du parti le 15 octobre dernier, son prédécesseur Eric Houndete avait formulé les mêmes revendications dans ses prises de paroles. 

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Alex Gustave Azebazé : « On ne peut pas accepter que l’administration s’érige de fait en juge des différends entre militants de partis politiques »

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Inacceptable, Mme le sous-préfet de Kribi II

Le journaliste n’est pas d’accord avec la décision de l’autorité sous-préfectorale de Kribi II et invite les démocrates à s’insurger de l’intrusion de l’autorité sur les affaires internes d’un parti politique.

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« Madame le sous-préfet, les dissensions internes font partie de la vie de toute organisation active. Ce que vous commencez là, est extrêmement dangereux pour la paix et la tranquillité dans ce pays. D’autant qu’il y a moins d’un mois, il s’est bel et bien tenu à Yaoundé le congrès du SDF malgré les dissensions internes marquées par plusieurs procédures en instance devant les juridictions nationales. À qui veut-on faire croire qu’il suffit qu’un militant saisisse l’autorité administrative voire la justice d’une requête pour que les activités statutaires classiques du parti dont il est membre soient mises sous le boisseau? Non et non.  Cette affaire ne concerne pas que Cabral Libii et ses supporters. En cette année veille des échéances électorales de 2025 (municipales, législatives et présidentielle) c’est intriguant. Ça doit inquiéter tous les démocrates voire tous les partisans de l’État de droit.  On ne peut pas accepter que l’administration s’érige de fait en juge des différends, réels ou supposés, entre membres ou militants de partis politiques. Qui pis, ont saisi la justice qui, en attendant qu’elle vide son instance, ne peut et ne doit être d’aucune justification d’une violation des droits fondamentaux des délégués du PCRN à se réunir où ils le souhaitent tant qu’il n’y a pas une décision juridictionnelle les en privant », écrit l’éditorialiste indépendant sur Facebook, le vendredi 24 novembre 2023.

L’Avocat Akere Muna est monté au créneau pour dénoncer l’acte d’interdiction de madame le Sous-préfet de Kribi II.

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Cameroun: L’équation à mille inconnus de l’affaire PCRN

Par quelque bout qu’on la prenne, je ne serai pas surpris que l’affaire du congrès interdit du PCRN à Kribi, en raison de prétendues dissensions internes, ait un lien avec les manœuvres ayant cours à l’intérieur du groupe autour du Rdpc, parti administratif au pouvoir. Un indicateur frappant : la décision du sous-préfet de Kribi de rapporter le récépissé de déclaration du 1er congrès ordinaire du parti camerounais pour la réconciliation nationale est intervenue quelques jours après la violente charge portée contre Franck Biya par le secrétaire national à la communication de ce parti. C’était lors de l’édition de Club d’élites sur Vision 4 du dimanche 6 novembre 2023, le jour anniversaire des 42 ans de l’accession de Paul Biya à la magistrature suprême camerounaise.

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Rappel: à 6000 kms de là, à Nice en France, le fils Biya à qui certains milieux prêtent l’ambition de succéder à son père, faisait son coming out. Le repositionnement de Franck Biya au sein du Rdpc, qui signifie qu’il n’exercerait aucune ambition supposée en dehors du parti fondé et dirigé par son père mais dont les spin-doctors essaient désormais de le présenter, à la différence des barons quinquagénaires impatients du régime, comme représentant la frange jeune et moderne, entrerait en concurrence avec le positionnement de Cabral Libii, et dans une certaine mesure, celle prêtée à Samuel Eto’o qui lui-même a multiplié des signes de rapprochement avec l’appareil partisan de M. Biya. Du moins depuis les polémiques sur sa gestion de la Fecafoot.

Dans ce contexte, abattre ou affaiblir Cabral Libii à la tête du PCRN et ainsi pousser certains de ses jeunes supporters qui ont toujours misé sur un positionnement modéré vis-à-vis de l’appareil gouvernant, au contraire de ceux, par exemple, du MRC, réputés extrêmement anti-Biya, peut servir cet objectif là. Ainsi, dans le doute sur la capacité de leur leader à affronter frontalement le régime au pouvoir, ils pourraient basculer derrière les mouvements en soutien à Franck Biya.

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Les prochains mois pourraient être palpitants dans les cercles qui ont toujours misé sur un changement tout en douceur.

AGA

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Guibai Gatama à Cavaye Yeguié Djibril : « dites à Paul Biya que le grand Nord a besoin de route »

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Le président de l’Assemblée nationale a visité le chantier du Nouveau siège de la chambre basse du parlement camerounais. Dans une vidéo en circulation de ladite visite du chantier, la troisième personnalité a scandé le nom du Chef de l’Etat. « Paul Biya oyeee », a-t-il clamé.

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Poser les problèmes du grand Nord au président de la République

L’élite du septentrion, Guibai Gatama pense qu’il ne faut plus seulement scander le nom du locataire d’étoudi, mais il faut poser les vrais problèmes et surtout le manque de travail des jeunes cette aire géographique du pays. « Il ne suffit plus seulement de dire Paul Biya Oyeee…. Ajoutez aussi que Paul Biya, le Grand-Nord a besoin de routes…, Paul Biya les jeunes Nordistes veulent du travail… Ne vous cachez plus derrière Paul Biya, faites votre aggiornamento pendant qu’il est encore temps », écrit le journaliste et directeur de publication de l’œil du Sahel.

Retour du pouvoir au Nord

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« Dès 1982, le Grand-Nord a été un fidèle lieutenant de Paul Biya. Depuis et malgré les embûches, il a fait ses preuves et a porté le grade de colonel en 2011. Il aspire désormais, légitimement, à celui de général et commandant en chef après le départ de Paul Biya », précise l’acteur sociopolitique.

Le gouvernement a annoncé la baisse du prix du ciment à Yaoundé et à Douala. « Combien coûte alors le sac de ciment dans le Septentrion ? », s’interroge Guibai Gatama.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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