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Haller et Konaté sur le banc, voici le 11 entrant des Éléphants

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Les Éléphants de Côte d’Ivoire affrontent ce lundi soir les Scorpions de la Gambie dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

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Gambie-Côte d’Ivoire : Voici le 11 entrant des Eléphants

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Après l’écrasante victoire contre les Seychelles au stade Alassane Ouattara il y a quatre jours, les Éléphants vont tenter d’enchaîner. Pour ce deuxième match, c’est en Tanzanie que les Scorpions reçoivent Serge Aurier et ses coéquipiers. Pour ce match, le sélectionneur Jean-Louis Gasset a dévoilé sa composition de départ.

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Certains des grands artisans de la large victoire contre les Seychelles sont laissés au banc à l’image du milieu de terrain Ibrahim Sangaré et des attaquants Karim Konaté et Sébastien Haller. En cas de victoire, la Côte d’Ivoire va lancer parfaitement la course à la Coupe du monde 2026 prévue aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada.

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La composition des Éléphants

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les députés de l’opposition empêchent le Premier ministre de prendre la parole

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Les élus d’au moins quatre partis de l’opposition accusent le gouvernement de violer la loi portant régime financier de l’État du Cameroun, notamment en ce qui concerne le délai du dépôt du projet de loi de Finances.

Au Cameroun, les députés de l’opposition ont empêché le Premier ministre Joseph Dion Ngute de présenter le programme économique financier, social et culturel de l’État pour l’exercice 2024.

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Selon la député Rolande Ngo Issi, député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, le principal parti de l’opposition qui était en première ligne de front, « les députés du PCRN, de l’UDC, du SDF et l’honorable Michel Nitcheu ont empêché au Premier Ministre chef du gouvernement de prendre la parole pour présenter le programme économique, social et culturel du gouvernement pour l’année 2024. En prélude au projet de loi de finances déposé le même jour ». 

Les députés des partis de l’opposition cités dénoncent une « violation grave de loi de 2018 portant régime financier de l’Etat du Cameroun en ses articles 56 et 57 qui stipulent entre autres que, le projet de loi de finances doit être déposé au parlement au moins 15 jours avant le début de la session budgétaire de chaque année. Fort de ce mépris, les députés de l’opposition sus cités ont trouvé qu’il était inadmissible de continuer à laisser prospérer cette forfaiture. Au bout de plus de deux heures de blocus les concertations engagées avec le gouvernement n’ayant pas abouti à un report pour la convocation d’une session extraordinaire, en vue de l’examen minutieux et méticuleux de ce projet de loi afin d’y apporter les amendements conséquents et au regard de la pression des députés du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), parti au pouvoir les députés de l’opposition battus au niveau du nombre se sont retirés de la salle des débats. En laissant un parlement monologue », explique la députée de l’opposition. 

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A noter que le projet de loi de finances déposé à l’Assemblée nationale est arrivé de manière partielle dont 122 pages sur les 15.000 pages, des documents annexes attendus. 

Essama Aloubou

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quel espoir pour la libération de l’opposante Reckya Madou

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Membre du parti Les Démocrates, Reckya Madougou vient de compter 1 000 jours en détention à la prison civile de Missérété, à la périphérie de la capitale béninoise Porto-Novo. Face au refus du chef de l’État béninois d’accorder la grâce présidentielle à sa cliente, son avocat Renaud Agbodjo invite Patrice Talon à « transcender ses ressentiments, ses rancœurs à l‘égard d’opposants politiques ».

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a condamné l’ex-ministre Reckya Madougou à 20 ans de prison pour « financement du terrorisme ».

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Malgré plusieurs appels à la libération de l’opposante, le président béninois Patrice Talon a réaffirmé ce 27 novembre en conférence de presse « qu’il ne comptait pas la gracier ».

« La contradiction principale à la libération de madame Reckya Madougou, ce n’est plus la justice, ou ça n’a jamais été la justice béninoise, c’est monsieur Patrice Talon lui-même qui a déclaré qu’il n’entendait pas libérer madame Reckya Madougou et donc qu’il n’entendait pas mettre à exécution l’avis du GTDA (ndlr, Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies) », regrette son avocat Renaud Agbodjo, cité par Rfi.

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En effet, le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a réclamé la remise en liberté de l’opposante et ex-ministre en jugeant « la privation de liberté de Reckya Madougou arbitraire ».

L’avocat Renaud Agbodjo « invite le chef de l’État à avoir le sens du pardon comme n’étant pas une erreur, parce que le pardon n’est jamais une erreur. Le pardon est organisé dans la loi sous la forme d’une amnistie, même sous la forme d’une grâce, sous la forme d’une liberté conditionnelle. Le pardon est juridiquement reconnu et traduit dans la loi pénale ».

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L’opposante et cadre du parti Les démocrates ne peut donc compter que sur la magnanimité du président béninois Patrice Talon pour sa remise en liberté.

L’ancien président Boni Yayi, chef du parti Les Démocrates, met toute son espérance dans la proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale visant à accorder l’amnistie aux « prisonniers et détenus politiques ».

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« confier le leadership aux communautés »

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La journée mondiale de la lutte contre le VIH Sida, initiée chaque 1er décembre depuis son lancement en 1988 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), est une occasion d’informer et de sensibiliser le grand public sur la prévention et les traitements de l’infection au VIH. « Pour emprunter la voie qui met fin au sida, le monde doit confier le leadership aux communautés » est le thème retenu pour cette année 2023.

Selon la Directrice exécutive de l’ONUSIDA, les communautés constituent des collectifs de personnes vivant avec le VIH ou exposées au risque d’infection et, elles sont au cœur des progrès réalisés en matière de lutte contre le Sida.

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En Afrique du Sud, on note particulièrement une baisse du nombre de personnes atteintes du VIH sur les cinq dernières années. Une note d’espoir alors que l’Afrique du Sud représente à elle seule un tiers des cas sur le continent, avec plus de 85 000 décès annuels dus au Sida ces dernières années.

« Nous avons commencé ces études en 2002, c’est le 6e rapport que nous publions et c’est la première fois que nous observons une baisse du nombre de cas. Dans le passé, nous avons toujours vu au contraire une augmentation constante du nombre de porteurs du VIH. En 2017, 14% de la population était porteuse du virus, 12,7% en 2022. Nous sommes donc passés de 7,9 à 7,8 millions de porteurs. C’est 100 000 personnes de moins », détaille dans un entretien à Rfi Dr Sean Jooste de l’équipe du Human Sciences Research Council (HSRC), l’institut public sud-africain qui a mené les études scientifiques sur le terrain.

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Pour rappel, en début d’année la PrEP (pour prophylaxie préexposition), un médicament proposé aux personnes à risque pour les protéger du VIH, a été approuvée par les autorités de régulation des médicaments en Afrique du Sud.

Sous forme de comprimé, la PrEP offre un taux de protection de plus de 90% en empêchant le virus de se fixer dans le corps après la contamination. Par ailleurs, une injection à base de cabotégravir, à administrer tous les deux mois, serait beaucoup plus efficace.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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