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Drame à Yaoundé : Miss Ngatcho, Comédienne, Meurt Tragiquement Dans Un Accident De Moto

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Miss Ngatcho

La scène artistique camerounaise est en deuil ce jour suite à la perte tragique de Miss Ngatcho, une comédienne talentueuse et appréciée du public.

Selon les informations recueillies par 237online.com, l’accident a eu lieu à Nkoabang, un quartier de Yaoundé, où la jeune femme a été victime d’un accident de moto.

Plus tôt dans la journée, Miss Ngatcho avait partagé sur Facebook la promotion de son spectacle prévu pour ce soir. Malheureusement, le destin en a décidé autrement, et la comédienne n’aura pas l’occasion de monter sur scène une dernière fois.

Les circonstances exactes de l’accident restent encore floues, mais il est certain que la perte de Miss Ngatcho laisse un vide immense dans le monde du théâtre et de la comédie camerounaise. Ses fans et ses proches sont sous le choc et peinent à croire à cette triste nouvelle.

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237online.com souhaite exprimer ses condoléances à la famille et aux amis de Miss Ngatcho et restera attentif aux éventuelles mises à jour sur les circonstances de ce drame. Nous invitons nos lecteurs à témoigner leur soutien aux proches de la comédienne et à se rappeler de son talent et de son sourire qui illuminait les scènes qu’elle foulait.

Restez connectés à 237online.com pour suivre cette histoire et d’autres actualités locales et nationales. Ensemble, rendons hommage à Miss Ngatcho et prions pour que son âme repose en paix.

TTSO / 237online.com

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La force en attente de la CEDEAO sera déployée pour aider à lutter contre le terrorisme

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Alors que trois pays de la CEDEAO ont accusé l’organisation de ne pas leur porter une réelle assistance dans la lutte contre le terrorisme, le représentant de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, Leonardo Santos Simao, estime que la CEDEAO travail dans la lutte contre le terrorisme et qu’elle continuera à le faire efficacement dans la région. 

Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, ont accusé la CEDEAO de rester insensible à leur peine face au terrorisme depuis des années. Ceci, a été entre autres, l’un des motifs qui a poussé ces trois pays du Sahel, à quitter l’organisation ouest africaine. Interrogé sur la capacité de la CEDEAO à mener une lutte efficace contre le terrorisme après ces départs en son sein, le responsable de l’ONU a répondu: « Oui, car il y a deux initiatives ici ».

Il a été décidé lors d’un sommet de la CEDEAO à Bissau en juillet dernier « de relancer la force en attente de la CEDEAO », a noté l’envoyé de l’ONU, dans un entretien avec l’agence de presse TASS. « Cette force militaire sera déployée pour aider ce pays à lutter contre le terrorisme. C’était début juillet. Fin juillet, il y a eu ce coup d’État au Niger, qui a tout changé. Mais maintenant, cette décision de relance a été reprise par la CEDEAO. « La CEDEAO travaille actuellement sur les aspects pratiques de la relance de cette force en attente. Elle viendra donc comme un soutien pratique à ces pays », a-t-il expliqué, ajoutant que « les modalités vont être discutées entre la CEDEAO et chacun des pays ».

Dans le même temps, Simao a déclaré que ces efforts de l’organisation régionale africaine, vont être soutenus par le Conseil de sécurité de l’ONU, par le biais de l’Union africaine (UA). « Par l’intermédiaire de l’Union africaine, le soutien à la lutte contre le terrorisme sera acheminé vers les organisations régionales et, en fin de compte, vers chacun des pays qui en ont besoin. Cela signifie donc que la convergence de ces deux sources de soutien, ainsi que les accords bilatéraux de chacune d’entre elles, ce que ce pays a fait, renforcera la capacité de la région à lutter contre le terrorisme », a conclu Simao.

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Le Burkina Faso lance un complexe textile de 165 milliards Fcfa

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Le gouvernement de la transition au Burkina Faso a annoncé la construction imminente du premier complexe textile du pays dans la Province de Boulkiemdé, située dans la région du Centre-Ouest. Le lancement officiel de ce projet d’envergure sera effectif le vendredi 29 mars 2024 à Sourgou.

Le Burkina Faso va construire son premier complexe textile

Sourgou a été sélectionné comme site pour abriter le projet de la construction du premier complexe textile au Burkina Faso dont l’objectif primordial est de renforcer l’industrie textile nationale. La pose de première pierre est prévue pour le vendredi 29 mars 2024.

En effet, ce complexe, nommé IRO-TEXBURKINA SA, représente une initiative majeure pour transformer localement les matières premières du Burkina Faso, notamment le coton, et développer le secteur industriel pour stimuler la croissance économique et l’emploi.

À en croire le ministre du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises, des emplois directs seront créés, ainsi que des milliers d’emplois indirects dans le cadre de ce projet. Ainsi, le projet « (…) va permettre de créer plus de 5 000 emplois directs et de milliers d’emplois indirects», a précisé le ministre.

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D’un coût global estimé à 165 milliards de francs CFA, ce complexe va permettre la transformation annuelle de 20 000 tonnes de fibres de coton en divers produits textiles, y compris des fils, des tissus, des vêtements et des produits médicalisés. Une stratégie qui consiste à valoriser la filière coton, tout en encourageant la consommation locale.

En plus du complexe textile, le président Ibrahim Traoré a lancé d’autres projets industriels dans le pays, tels qu’une unité de transformation de tomates à Bobo Dioulasso et une raffinerie d’or, dans le but de renforcer la souveraineté économique du Burkina Faso. Cette série d’initiatives industrielles s’inscrit dans la vision du gouvernement de transition qui vise à stimuler l’économie nationale et à consolider la position du pays sur la scène politique et économique.

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Sénégal : Bassirou Diomaye Faye président, que deviendra Ousmane Sonko ?

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A 44 ans, Bassirou Diomaye Faye qui a remplacé la figure de l’opposition, Ousmane Sonko, aux élections présidentielles du 24 mars a été élu par les Sénégalais dès le premier tour. Cette victoire inattendue de celui qui a toujours été dans l’ombre de Sonko a été possible grâce à une stratégie qui a mis en avant les idées et non une personne.

On pourrait dire que le slogan : « Diomaye moy Sonko, Sonko moy Diomaye » (« Diomaye c’est Sonko, Sonko c’est Diomaye ») a eu de l’écho.

Ce plan B du parti des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), dissout depuis juillet par les autorités sénégalaises, accède ainsi aux plus hautes fonctions de l’État.

Quelle sera désormais la place d’Ousmane Sonko ?

« Il n’y a pas de banc présidentiel, il y a qu’un fauteuil présidentiel, et ce fauteuil, il est fait pour une seule paire de fesses », a rappelé l’analyste Francis Kpatindé, lors de l’édition spéciale de RFI.

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Alors que certains craignent la fin de la collaboration entre les deux hommes, d’autres indiquent qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter.

Seydi Gassama, directeur d’Amnesty Sénégal, cité par Rfi prend l’exemple de « ce qui s’est produit en Gambie entre Ousseynou Darboe et Adama Barrow », tout en faisant confiance à l’entente jusqu’ici préservée entre les deux hommes.

Pour Amadou Ba, ancien Premier ministre et candidat malheureux, il faudra trouver à Ousmane Sonko une place qui lui convienne parce qu’il a « un rôle important à jouer dans la vie du pays ».

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