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Camrail annonce la réhabilitation du chemin de fer du Cameroun hauteur de 3,3 milliards

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L’entreprise Cameroon Railway (Camrail) a annoncé un investissement de 3,3 milliards de FCFA pour l’achat de matériaux nécessaires aux travaux de rénovation et de réhabilitation du chemin de fer. Cette initiative comprend l’acquisition de 1 835 barres de rails, pesant au total 1 784 tonnes, équivalentes à 33 000 mètres linéaires, ainsi que de 14 appareils de voie adaptés aux rails de 54 kg.

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Ces barres de rail seront utilisées pour les travaux de maintenance courante sur les sections Douala-Yaoundé et Belabo-Ngaoundéré, en attendant le début des travaux de renouvellement prévus par l’État et les bailleurs de fonds internationaux (AFD, BEI, Banque mondiale). Les 14 appareils de voie adaptés aux rails de 54 kg seront déployés sur les voies principales de certaines gares du réseau.

Camrail précise que l’ensemble de l’investissement, soit 3,3 milliards de FCFA, est entièrement financé par l’entreprise elle-même. Cet équipement, acquis sur fonds propres, vise à améliorer la sécurité et la fluidité du trafic, avec une réduction significative des incidents. En 2022, Camrail a enregistré 14 collisions de trains sur les 139 passages à niveau du réseau ferroviaire national, soit une augmentation de 7,14% par rapport à l’année précédente.

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288 milliards investis en 24 ans

Camrail précise avoir injecté plus de 700 milliards de FCFA dans l’économie nationale depuis 1999. Une déclaration faite à l’issue d’une visite de la Commission de la production et des échanges de l’Assemblée nationale en août 2023 indique que sur cette somme, 288 milliards de FCFA ont été investis dans les infrastructures ferroviaires au cours des 24 dernières années. Au fil du temps, plus de 330 km de voies ont été renouvelés, 224 km de voies et 1800 ouvrages hydrauliques ont été rénovés, et 68 ponts métalliques ont été réhabilités de 2017 à 2021. Chaque année, Camrail assure la maintenance de son réseau avec une injection annuelle d’environ 16 000 ml de rail et 53 000 traverses.

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Guibai Gatama à Cavaye Yeguié Djibril : « dites à Paul Biya que le grand Nord a besoin de route »

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Le président de l’Assemblée nationale a visité le chantier du Nouveau siège de la chambre basse du parlement camerounais. Dans une vidéo en circulation de ladite visite du chantier, la troisième personnalité a scandé le nom du Chef de l’Etat. « Paul Biya oyeee », a-t-il clamé.

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Poser les problèmes du grand Nord au président de la République

L’élite du septentrion, Guibai Gatama pense qu’il ne faut plus seulement scander le nom du locataire d’étoudi, mais il faut poser les vrais problèmes et surtout le manque de travail des jeunes cette aire géographique du pays. « Il ne suffit plus seulement de dire Paul Biya Oyeee…. Ajoutez aussi que Paul Biya, le Grand-Nord a besoin de routes…, Paul Biya les jeunes Nordistes veulent du travail… Ne vous cachez plus derrière Paul Biya, faites votre aggiornamento pendant qu’il est encore temps », écrit le journaliste et directeur de publication de l’œil du Sahel.

Retour du pouvoir au Nord

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« Dès 1982, le Grand-Nord a été un fidèle lieutenant de Paul Biya. Depuis et malgré les embûches, il a fait ses preuves et a porté le grade de colonel en 2011. Il aspire désormais, légitimement, à celui de général et commandant en chef après le départ de Paul Biya », précise l’acteur sociopolitique.

Le gouvernement a annoncé la baisse du prix du ciment à Yaoundé et à Douala. « Combien coûte alors le sac de ciment dans le Septentrion ? », s’interroge Guibai Gatama.

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Décès suspect à Douala : un homme meurt en visitant son collègue malade

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Christophe Mekam, un homme de 48 ans, est décédé à l’hôpital alors qu’il rendait visite à son collègue malade à Douala, dans la région du Littoral au Cameroun.

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Selon des rapports locaux, le défunt rendait visite à son collègue malade, Nicolette Missongui, dans une clinique à Bessengue, Douala, et s’est effondré sur le lit de cette dernière.

Selon Le Popoli, un journal satirique camerounais, « Le personnel médical est entré en urgence dans la pièce. Avec les yeux révulsés et son corps tremblant, comme s’il s’agissait d’une crise d’épilepsie, le visiteur a finalement rendu son dernier souffle et est décédé. »

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Le média a également rapporté que l’épouse du défunt, quelques instants plus tard, s’est précipitée à l’hôpital, incrédule, affirmant qu’ils venaient de se séparer avant qu’il ne se rende à l’hôpital.

« Ce couple avait déjeuné ensemble plus tôt dans la journée avant que Christophe ne se rende à cet hôpital », a ajouté Le Popoli.

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Réagissant à l’incident, une utilisatrice de Facebook, Michelle Michou, a exhorté les gens à s’abstenir de s’asseoir sur les lits des malades lorsqu’ils rendent visite à des proches ou des amis malades.

« Il y a des choses que vous ne devriez tout simplement pas faire de nos jours, comme s’asseoir sur le lit d’une personne malade car vous ne savez pas de quoi souffre le patient. Évitez même de vous y rendre car la compétition dans les entreprises peut pousser certaines personnes à tout faire, voire à prendre le travail des autres. »

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Entre-temps, d’autres ont spéculé sur un acte malveillant de la part du défunt. « On ne sait jamais ; la mission de ce gars aurait pu être de finir avec la fille, mais quand il n’a pas réussi, les membres sont venus et lui ont donné le coup fatal. »

Les forces de sécurité ont lancé des investigations pour déterminer les circonstances exactes ayant conduit au décès de Christophe Mekam.

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le gouvernement reconnait enfin une tentative de coup d’état

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Il s’agissait d’une opération pour « subvertir illégalement et renverser le gouvernement démocratiquement élu », a déclaré officiellement le ministre de l’Information, Chernor Bah.

Dans le cadre des enquêtes, les autorités ont publié une liste d’une trentaine de personnes dont des civils et militaires, activement recherchées.

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Pour rappel, des inconnus armés ont attaqué des baraquements militaires, une armurerie, des centres de détention dimanche dernier semant la panique à Freetown. Ce mardi, les autorités ont reconnu qu’il s’agissait d’une tentative de putsch organisée par des soldats actifs ou à la retraite. Le dernier bilan indique 21 morts dont 14 soldats et trois assaillants.

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Rejoint le groupe WhatsApp

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