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Cameroun : Paul Biya, Un Authentique Démocrate Et Libéral Convaincu

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Le ministre de l’Enseignement Supérieur et Secrétaire à la communication du Comité Central du RDPC, Jacques FAME NDONGO, a récemment publié un article en réponse à un article du quotidien français « Le Monde » qui qualifiait le président du Cameroun, Paul BIYA, d’autocrate et de tortionnaire, et prédisait une « tempête crépusculaire » pour le pays. Selon M. FAME NDONGO, ces affirmations sont infondées et trompeuses.

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Dans son article, M. FAME NDONGO affirme que le président BIYA est un « authentique démocrate » et un « libéral convaincu » qui a procédé à l’ouverture démocratique du pays peu de temps après son accession au pouvoir en 1982. Aujourd’hui, le Cameroun compte 329 partis politiques qui concourent librement à l’expression du suffrage, conformément aux canons universels de la démocratie et aux prédicats de la Constitution.

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M. FAME NDONGO souligne également que les libertés individuelles sont garanties au Cameroun et que l’expression des opinions est libre de toute entrave. La justice est indépendante et les magistrats disent le droit au nom du peuple camerounais. Selon M. FAME NDONGO, l’image d’un pouvoir judiciaire « aux ordres » est un subterfuge destiné à discréditer l’intelligence et la moralité des magistrats camerounais.

En réponse à l’article du « Monde » sur l’affaire Martinez Zogo, M. FAME NDONGO rappelle que le président BIYA a pris ses responsabilités régalien et a prescrit une enquête en cours. Il exhorte les journalistes à respecter la procédure judiciaire qui a sa cadence, son rythme, ses normes et son code, et à ne pas préjuger des résultats de l’enquête.

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M. FAME NDONGO critique également l’utilisation de l’épithète « monarchique » pour qualifier le fonctionnement des institutions républicaines camerounaises et les prévisions pessimistes sur l’avenir du régime en place. Il rappelle que le journalisme est fondé sur la démarche scientifique prescrite par Gaston Bachelard : observation, hypothèse, vérification, loi. Selon lui, les affirmations pessimistes sur l’avenir du Cameroun ne sont pas vérifiables de manière scientifique et apodictique.

En conclusion, M. FAME NDONGO exhorte les journalistes à retourner aux fondamentaux du métier : liberté, vérité, objectivité. Il rappelle que le journalisme n’est ni un oracle, ni un partisan à charge, mais un historien rigoureux et non subjectif de l’instant. En somme, pour M. NDONGO, les affirmations du « Monde » sont trompeuses et infondées, et il exhorte les journalistes à faire preuve de rigueur et de prudence dans leur travail.

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TTSO / 237online.com

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L’opposant sénégalais Ousmane Sonko confronté à un nouvel

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Ousmane Sonko,432

La Caisse des dépôts et consignations de l’État sénégalais a refusé d’encaisser la caution nécessaire pour la validation de la demande de candidature à la présidentielle de l’opposant. La raison est que Ousmane Sonko a été radié des listes électorales et n’est donc plus éligible.

Dans la course à la présidentielle, le paiement de la caution était une étape obligatoire pour pouvoir être candidat.

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Alors qu’un représentant d’Ousmane Sonko a voulu payer les 29 265 750 FCFA (environ 45 000 euros) de caution ce jeudi 30 novembre, la demande a été rejetée parce que l’opposant a été radié des listes électorales suite à sa condamnation à deux ans de prison pour corruption de la jeunesse et ne peut donc pas prétendre à la candidature présidentielle.

Pour ses partisans, la décision de radiation d’Ousmane Sonko des listes électorales n’est pas définitive vu que l’affaire a été renvoyée devant un autre tribunal.

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les députés de l’opposition empêchent le Premier ministre de prendre la parole

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Les élus d’au moins quatre partis de l’opposition accusent le gouvernement de violer la loi portant régime financier de l’État du Cameroun, notamment en ce qui concerne le délai du dépôt du projet de loi de Finances.

Au Cameroun, les députés de l’opposition ont empêché le Premier ministre Joseph Dion Ngute de présenter le programme économique financier, social et culturel de l’État pour l’exercice 2024.

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Selon la député Rolande Ngo Issi, député du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale, le principal parti de l’opposition qui était en première ligne de front, « les députés du PCRN, de l’UDC, du SDF et l’honorable Michel Nitcheu ont empêché au Premier Ministre chef du gouvernement de prendre la parole pour présenter le programme économique, social et culturel du gouvernement pour l’année 2024. En prélude au projet de loi de finances déposé le même jour ». 

Les députés des partis de l’opposition cités dénoncent une « violation grave de loi de 2018 portant régime financier de l’Etat du Cameroun en ses articles 56 et 57 qui stipulent entre autres que, le projet de loi de finances doit être déposé au parlement au moins 15 jours avant le début de la session budgétaire de chaque année. Fort de ce mépris, les députés de l’opposition sus cités ont trouvé qu’il était inadmissible de continuer à laisser prospérer cette forfaiture. Au bout de plus de deux heures de blocus les concertations engagées avec le gouvernement n’ayant pas abouti à un report pour la convocation d’une session extraordinaire, en vue de l’examen minutieux et méticuleux de ce projet de loi afin d’y apporter les amendements conséquents et au regard de la pression des députés du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), parti au pouvoir les députés de l’opposition battus au niveau du nombre se sont retirés de la salle des débats. En laissant un parlement monologue », explique la députée de l’opposition. 

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A noter que le projet de loi de finances déposé à l’Assemblée nationale est arrivé de manière partielle dont 122 pages sur les 15.000 pages, des documents annexes attendus. 

Essama Aloubou

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quel espoir pour la libération de l’opposante Reckya Madou

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Membre du parti Les Démocrates, Reckya Madougou vient de compter 1 000 jours en détention à la prison civile de Missérété, à la périphérie de la capitale béninoise Porto-Novo. Face au refus du chef de l’État béninois d’accorder la grâce présidentielle à sa cliente, son avocat Renaud Agbodjo invite Patrice Talon à « transcender ses ressentiments, ses rancœurs à l‘égard d’opposants politiques ».

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a condamné l’ex-ministre Reckya Madougou à 20 ans de prison pour « financement du terrorisme ».

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Malgré plusieurs appels à la libération de l’opposante, le président béninois Patrice Talon a réaffirmé ce 27 novembre en conférence de presse « qu’il ne comptait pas la gracier ».

« La contradiction principale à la libération de madame Reckya Madougou, ce n’est plus la justice, ou ça n’a jamais été la justice béninoise, c’est monsieur Patrice Talon lui-même qui a déclaré qu’il n’entendait pas libérer madame Reckya Madougou et donc qu’il n’entendait pas mettre à exécution l’avis du GTDA (ndlr, Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies) », regrette son avocat Renaud Agbodjo, cité par Rfi.

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En effet, le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a réclamé la remise en liberté de l’opposante et ex-ministre en jugeant « la privation de liberté de Reckya Madougou arbitraire ».

L’avocat Renaud Agbodjo « invite le chef de l’État à avoir le sens du pardon comme n’étant pas une erreur, parce que le pardon n’est jamais une erreur. Le pardon est organisé dans la loi sous la forme d’une amnistie, même sous la forme d’une grâce, sous la forme d’une liberté conditionnelle. Le pardon est juridiquement reconnu et traduit dans la loi pénale ».

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L’opposante et cadre du parti Les démocrates ne peut donc compter que sur la magnanimité du président béninois Patrice Talon pour sa remise en liberté.

L’ancien président Boni Yayi, chef du parti Les Démocrates, met toute son espérance dans la proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale visant à accorder l’amnistie aux « prisonniers et détenus politiques ».

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Rejoint le groupe WhatsApp

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